Heterodiadematidae

Smith & Wright, 1993, p.218

nomen correctum Archiacidae

Genre type : Archiacia Agassiz in Agassiz & desor, 1847

Description succincte de la famille : système apical de grande taille, plaques très rarement en place. Structure ambulacraire trigéminée, les pores étant disposés en colonnes unisériées. Les interambulacres portent un seul tubercule primaire qui est perforé et crénelé. Bouche avec des indentations péristoméales profondes et étroites.

 

   

 

Genre Heterodiadema  Cotteau, 1862

Echinides nouveaux ou peu connaus, 1re partie, p.75

Espèce type  Hemicidaris libyca Desor, 1846  désignation originale

Extension stratigraphique (bibliographique, non vérifiée) : Cénomanien

 
 
description du genre par Cotteau
Paléontologie française, terrains crétacé, tome VII, p.521

4e Genre. HETERODIADEMA. Cotteau, 1862.

Pseudodiadema (pars), Cotteau, 1859 ; Coquand, 1863.

     Test circulaire, légèrement renflé en dessus, presque plane en dessous. Zones porifères composées de pores simples du sommet au péristome. Tubercules ambulacraires et interambulacraires, à peu près d'égale grosseur sur chacune des aires, diminuant assez sensiblement de volume au-dessus de l'ambitus, crénelés, perforés, sub-scrobiculés. Péristome petit, sub-circulaire, à fleur du test, marqué d'entailles distinctes. Appareil apicial non solide, sub-pentagonal, très-allongé, se prolongeant au milieu de l'aire interambulacraire, qu'il entaille profondément. Nous ne connaissons pas la structure de cet organe, mais l'empreinte qu'il a laissée, remarquable par sa longueur, fait présumer que le péristome était rejeté en arrière par suite de l'adjonction d'une plaque supplémentaire, ou plutôt en raison de la forme anormale de quelques-unes des plaques oviducales ou ocellaires.

 

     Radioles allongés, grêles, sub-cylindriques, marqués de stries fines et longitudinales.

     Rapports et différences. - Très-voisin des Pseudodiadema par sa forme générale et ses tubercules crénelés et perforés, ce genre s'en éloigne nettement par la petitesse de son péristome et la forme toute particulière de son appareil apicial. Ce dernier caractère rapproche le genre Heterodiadema de certaines espèces d'Acrosalenia, et notamment des A. decorata et patella ; si plus tard il était démontré que l'anus est réellement excentrique, et doit cette position anormale à l'adjonction d'une ou plusieurs plaques supplémentaires, ce serait dans la famille des Salénidées, près des Acrosalenia, qu'il faudrait placer notre nouveau genre.

     Le genre Heterodiadema ne renferme jusqu'ici qu'une seule espèce, assez abondamment répandue dans l'étage turonien de France et d'Algérie.

 

 

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846)

 
 

N° 2506. Heterodiadema libycum, Cotteau, 1864.

(Desor, 1846.)

Pl. 1124.

 

     T. 14.

     Espèce de taille moyenne, sub-circulaire, très-légèrement pentagonale, plus ou moins renflée en dessus, presque plane en dessous. Zones porifères droites, un peu déprimées, composées, dans toute leur étendue, de pores simples, arrondis, directement superposés, ne se multipliant pas près du péristome. Aires ambulacraires à peine renflées, commençant à l'élargir à peu de distance du sommet, garnies de deux rangées de tubercules finement crénelés et perforés, scrobiculés, au nombre de vingt-trois à vingt-quatre par série. Ces tubercules, placés très-près des zones porifères, sont assez gros vers l'ambitus, et diminuent sensiblement de volume à la face supérieure ; l'intervalle qui sépare les deux rangées est large et couvert de granules abondants, serrés, homogènes, qui forment en outre, à la face supérieure, sur le bord des zones porifères, une rangée sub-onduleuse. De petites verrues microscopiques, apparentes seulement dans les exemplaires parfaitement conservés, se mêlent çà et là aux granules. Aires interambulacraires étroites aux approches du sommet, larges vers l'ambitus, pourvues de deux rangée de tubercules à peu près identiques à ceux qui recouvrent les ambulacres, un peu plus gros cependant, notamment à la face supérieure, au nombre de dix-sept à dix-huit par série. Tubercules secondaires nuls. Zone miliaire assez large, nue et sub-déprimée à la face supérieure. Granules intermédiaires très-abondants, serrés, inégaux, finement mamelonnés, d'autant plus gros qu'ils se rapprochent des zones porifères et de la place occupée d'ordinaire par les tubercules secondaires ; ces granules forment des cercles assez réguliers autour des tubercules plus espacés de la face supérieure. De petites verrues microscopiques, éparses, accompagnent les granules, et affectent autour d'eux une disposition hexagonale plus ou moins prononcée. Les interambulacres présentent de chaque côté, aux approches du péristome, une bande lisse et déprimée qui s'atténue et disparaît au fur et à mesure qu'elle remonte vers la région inframarginale. Péristome de petite taille, circulaire, muni de fortes entailles, s'ouvrant à fleur du test ; les bords ambulacraires sont à peine aussi larges que ceux qui correspondent aux interambulacres. Appareil apicial, d'après l'empreinte qu'il a laissée, très-allongé, pentagonal, anguleux, pénétrant profondément au milieu de l'aire interambulacraire impaire.

     Hauteur, 14 millimètres ; diamètre, 31 millimètres. Individu de grande taille et plus renflé : hauteur, 19 millimètres ; diamètre, 35 millimètres.

     Radiole allongé, grêle, sub-cylindrique, garni de stries fines et longitudinales. Collerette très-étendue, striée, plus étroite que la tige dont elle est séparée par un bourrelet oblique et épais. Bouton relativement assez développé ; anneau saillant ; facette articulaire petite, crénelée.

     Cette espèce varie un peu dans sa forme, qui est plus ou moins renflée. Quant aux autres caractères, ils persistent avec une constance remarquable dans tous les exemplaires que nous connaissons, et aucune différence digne d'être signalée ne sépare les échantillons assez nombreux qu'on rencontre en Algérie de ceux qui ont été recueillis aux environs des Martigues. Ces derniers cependant sont en général un peu plus épais, plus élevés, et M. Desor, dès 1846,les avait distingués en en faisant la variété inflata.

     Rapports et différences. - Cette espèce forme le type du genre Heterodiadema, et sera toujours facilement reconnaissable à ses pores directement superposés depuis le sommet jusqu'au péristome, au nombre et à la disposition de ses tubercules, qui diminuent sensiblement de volume à la face supérieure, à l'absence de tubercules secondaires, à ses granules abondants, serrés, mamelonnés, accompagnés de petites verrues, à son péristome étroit, fortement entaillé et ayant les lèvres ambulacraires moins larges que les autres, à la forme toute particulière de son appareil apicial, à ses radioles grêles, aciculés, unis d'une longue collerette.

 

     Histoire. - Cette curieuse espèce a été mentionnée pour la première fois par M. Desor, en 1846, dans le Catalogue raisonné des Echinides, sous les nom de Hemicidaris libyca : la face supérieure un peu usée de l'exemplaire d'Egypte, qui servait de type à l'espèce, ne permettait pas de reconnaître l'empreinte si remarquable de l'appareil apicial. Dès cette époque, M. Desor réunit à son Hemicidaris Libyca les échantillons des Martigues, comme variété plus renflée (var. inflata). Dans le Synopsis des Echinides fossiles, cette espèce est reportée avec raison parmi les Pseudodiadema, avec lesquels elle présente évidemment beaucoup plus d'affinité qu'avec les Hemicidaris. En 1859, nous avons décrit et figuré, sous le nom de Pseudod. Martinianum, la variété renflée des Martigues, en insistant sur le développement anormal de l'appareil apicial, et en 1862 nous en avons fait le type du genre Heterodiadema. Depuis M. Coquand a de nouveau décrit et figuré cette même espèce. Il lui a d'abord donné le nom de Pseud. Batnense ; revenant ensuite sur cette opinion dans le supplément publié à la fin de son ouvrage, il a cru devoir la réunir au genre Pygaster, trompé sans doute par le prolongement extraordinaire de l'appareil apicial. Il suffit d'examiner avec attention la physionomie générale de cette espèce, la forme et la disposition de ses tubercules et des granules qui les accompagnent, la structure même de l'appareil apicial pour se convaincre qu'elle ne saurait, en aucune façon, se rapprocher des Pygaster, et qu'elle appartient par tous ses caractères à la division des Echinides réguliers. En la maintenant dans notre genre Heterodiadema, nous lui avons rendu le nom de Libycum, qui lui avait été donné en 1846.

     Localités. - Environs des Martigues (Bouches-du-Rhône), associé à l'Ostrea columba ; Batna, Tebessa et au col de Sfa (M. Coquand), environs de l'oasis de Mograr-Tahtania, au bord du grand désert (M. Dastugue) (Algérie). Egypte. Assez rare. Etage turonien.

     Suivant M. Hébert, cette espèce, ainsi que le Pseud. Marticense, se montre aux Martigues au-dessous de la zone à Caprina adversa, et appartient à l'étage cénomanien de d'Orbigny.

     Coll. de l'Ecole des mines, de la Sorbonne, coll. Péron, Schlumberger, Coquand, Honoré Martin, Flouest, Dastugue, ma collection.

     Explication des figures. - Pl. 1124, fig. 1, H. Libycum, de Batna, de la coll. de M. Schlumberger, vu de côté ; fig. 2, face sup. ; fig. 3, face inf. ; fig. 4, aire ambul. grossie ; fig. 5, plaques ambul. grossies ; fig. 6, plaques interambul. grossies ; fig. 7, tubercule grossi, vu de profil ; fig. 8, empreinte de l'appareil apicial grossie ; fig. 9, autre exemplaire, var. inflata, de la craie des Martigues, de ma collection, vu de côté ; fig. 10, face sup. ; fig. 11, face inf. ; fig. 12, 13, 14 et 16 radioles de différente taille, grandeur naturelle et grossis, pris sur un exemplaire de Batna.

Pl. 1124 (extrait)

   
 
figurés, conservés au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
figurés in Neraudeau, Busson & Cornée, 1993, Les échinides du Cénomanien supérieur et du Turonien inférieur du Tinrhert oriental et central (Sahara algérien), p.283
 

http://coldb.mnhn.fr/catalognumber/mnhn/f/r55362

spécimen MNHN.F.R55362

crédit RECOLNAT (ANR-11-INBS-0004) Peter MASSICARD

NERAUDEAN & al., p. 283 pl. 1 fig. B

http://coldb.mnhn.fr/catalognumber/mnhn/f/r55363

spécimen MNHN.F.R55363

crédit RECOLNAT (ANR-11-INBS-0004) Peter MASSICARD

NERAUDEAN & al., p. 283 pl. 1 fig. C

http://coldb.mnhn.fr/catalognumber/mnhn/f/r55365

spécimen MNHN.F.R55365

crédit RECOLNAT (ANR-11-INBS-0004) Jocelyn FALCONNET

NERAUDEAN & al., p. 283 pl. 1 fig. D

 
figuré, conservé au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
figuré in Neraudeau & 1997, Cenomanian and Turonian echinoids from Nigeria, p.839
 

http://coldb.mnhn.fr/catalognumber/mnhn/f/r55290

spécimen MNHN.F.R55290

crédit RECOLNAT (ANR-11-INBS-0004) Jocelyn FALCONNET

Neraudeau & Courville, p. 839 text-fig. 6-6

 

 

 
figuré, conservé au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
figuré in cotteau, Peron & Gauthier, 1879, Echinides fossiles de l'Algérie - Terrains secondaires - Etage Cénomanien, fasc. 5, t. 1, p.201
 

http://coldb.mnhn.fr/catalognumber/mnhn/f/j06277

spécimen MNHN.F.J06277

crédit RECOLNAT (ANR-11-INBS-0004) Peter MASSICARD

Neraudeau & Courville, p. 201 pl. 15 fig. 5

 

 

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 48 mm

 
 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 26 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 33 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 35 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 35 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 36 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 37 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 43 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 48 mm

 
 

Heterodiadema libycum (Desor,1846) - Cénomanien, Maroc, 36 mm

 

 

Heterodiadema ouremense de Loriol,1884

 
description de l'espèce par de Loriol, 1887
Recueil d'études paléontologiques sur la faune crétacique du Portugal, volume II, p. 44
 

HETERODIADEMA OUREMENSE, P. de Loriol

Pl. VIII, fig. 2-4

S y n o n y m i e

Heterodiadema ouremense, P. de Loriol, 1884. Notes pour servir à l'étude des Echinid. Recueil Zoologique Suisse, t. I, p. 696, pl. XXXIII, fig. 1-6.

Heterodiadema ouremense, Choffat, 1885. Monogr. stratigr. sur le Syst. crétacique du Portugal, I, p. 62.

     D i m e n s i o n s

Diamètre................................................  28 à 53 mill.

Hauteur, par rapport au diamètre................  0,56 à 0,89

     Test circulaire, élevé, renflé au pourtour, souvent subconique en dessus, et également rétréci à la face supérieure et à la face inférieure ; quelquefois presque rotulaire. La face inférieure n'est jamais enfoncée autour du péristome, et rarement un peu aplatie et déprimée au centre ; dans la presque totalité des cas elle est uniformément convexe, et souvent très fortement.

     C'est dans l'aire interambulacraire postérieure impaire que s'étend l'échancrure de l'appareil apical, tout au moins on le suppose, car l'absence de la plaque madréporique ne permet pas d'orienter l'oursin ; sa longueur égale ordinairement le diamètre de l'appareil apical, quelquefois elle le dépasse un peu, comme il arrive aussi qu'elle est un peu moins longue. Le diamètre du vide occupé par l'appareil est presque toujours à peu près égal à celui du péristome ; il est régulièrement pentagonal, avec les angles un peu enfoncés.

     Zones porifères rectilignes, fort étroites, et à fleur du test. Les pores, arrondis, disposés par simples paires régulièrement superposées, sont fort rapprochés dans chaque paire, et les paires sont fort peu éloignées l'une de l'autre. On compte trois paires de pores pour une plaque ambulacraire.

     Aires ambulacraires assez larges ; leur largeur est contenue un peu plus de 2 1/2 fois dans une aire interambulacraire. Chacune de leurs plaques composées est formée de trois plaques primaires étroites, dont la médiane, extrêmement rétrécie sur le mamelon du tubercule, plus près des zones porifères que du milieu de l'aire, est beaucoup plus large du côté interne que du côté externe ; les deux autres plaques primaires, sont, au contraire, renflées dans la même région ; chacune des trois porte une paire de pores à son extrémité externe. A la face inférieure les aires ambulacraires portent deux séries de tubercules contigus aux zones porifères, scrobiculés, perforés, crénelés, à mamelons fort petits, mais supportés par une base élevée ; ils augmentent rapidement et régulièrement jusqu'à l'ambitus, où se trouvent les plus volumineux, et où ils cessent brusquement, pour être remplacés par d'autres, extrêmement petits, à peine scrobiculés, et à peine saillants, qui n'ont plus que l'apparence de gros granules, et se continuent jusqu'à l'appareil apical. Les granules miliaires sont très fins, écartés les uns des autres, mamelonnés, légèrement scrobiculés, et entourés de verrues microscopiques ; le milieu de l'aire, depuis la moitié environ de la hauteur, sur un espace assez étroit, est enfoncé et absolument dégarni.

     Aires interambulacraires larges, avec deux rangées de tubercules placés un peu plus près de la suture médiane de l'aire que des zones porifères, du reste tout à fait semblables à ceux des aires ambulacraires, de même volume, interrompus à la même hauteur, et remplacés de la même manière. Les granules miliaires sont également identiques, et, de même, très peu apparents à l'oeil nu ; le milieu de l'aire, sur une bande étroite, déprimée vers le sommet, est totalement dégarni.

 

     Péristome très petit, nullement enfoncé ; son diamètre est de 0,22 à 0,24 dans la presque totalité des exemplaires ; la proportion 0,28 n'a été constatée que dans un seul individu. Les entailles sont étroites et relativement très profondes, leur lèvre externe est repliée, en formant une petite gouttière, qui se continue un peu sur le test, sous la forme d'une étroite impression lisse.

     Variations. - J'ai déjà indiqué (loc. cit.) les variations de la forme, observées sur des exemplaires nombreux et fort remarquables. Presque tous les individus sont de grande taille, très élevés et très renflés au pourtour. La face supérieure parait comme tout à fait dégarnie de tubercules ; le volume relatif des granules tuberculiformes est sensiblement le même dans tous les individus ; le nombre des vrais tubercules, qui cessent toujours brusquement, varie un peu, je le trouve de sept, au minimum, par série, et de neuf, au maximum. La longueur de l'entaille de l'appareil apical varie légèrement, ainsi qu'il a été dit. Tous les autres caractères sont identiques dans tous les échantillons.

     Rapports et différences. - Lorsqu'on compare une série d'exemplaires de l'Heter. ouremense avec une série d'individus de l'Heter. lybicum bien typiques, de Batna, par exemple, on est frappé, tout d'abord, par une forme et des proportions entièrement différentes, puis, par la convexité de la face inférieure des premiers, au milieu de laquelle s'ouvre, à fleur du test, un bien plus petit péristome muni d'entailles singulièrement profondes. Ces caractères suffisent pour distinguer les deux espèces ; il faut encore ajouter que, dans la première, les tubercules cessent toujours bien plus brusquement, et ne sont, à proprement parler, remplacés que par des granules, le milieu des aires ambulacraires est enfoncé et dégarni, les granules miliaires sont plus petits et plus délicats proportionnellement, aussi plus écartés, l'appareil apical est relativement plus étroit, les petites rigoles lisses qui continuent les entailles du péristome sont relativement plus courtes.

     Localités. - Nazareth.

     Niveau à Pterocera cfr. incerta.

     Environs d'Ourem (principale localité) ; Olival ; Figueira de Foz. Barcoico près Sargento-Mor. Alcantara, près Lisbonne. Monte Serves.

     Rhotomagien.

Pl. VIII (extrait)

   
 

Heterodiadema ouremense de Loriol,1884 - Cénomanien, Hammamat Ma'in, Jordanie, 29 mm

 
 

Heterodiadema ouremense de Loriol,1884 - Cénomanien supérieur, Vilanova de Ourem, Portugal, 30 mm

 
     
 

Heterodiadema ouremense de Loriol, 1884, Cenomanien, Hammamat Ma In, Jordanie, 28 mm

 
 

Heterodiadema ouremense de Loriol, 1884, amb, Cenomanien, Hammamat Ma In, Jordanie, 33 mm