Scutellidae
Gray, 1825, p.427
Genre type : Scutella
Lamarck, 1816 (diagnose
émendée par Durham, 1955, p.150)
Description succinte de la famille : 4 pores
génitaux. Séparations internes dans une thèque très aplatie. Pétales fermés
distalement, bien développés. Pore externe divisé.
syn.
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Genre Scutella
Lamarck, 1816,
p.7
Histoire naturelle
des animaux sans vertèbres,
présentant les caractères, généraux et particuliers de ces animaux, leurs
distribution, leurs classes, leurs familles,
leurs genres et la citation synonymique
des principales
espèces qui s'y rapportent
Espèce type
Scutella subrotunda
Lamarck, 1816,
par désignation subséquente de
Agassiz,1841
in Des scutelles :
Monographies d'échinodermes vivans et fossiles, Mon.2, VI, p.11.
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Oligocène -
Miocène inférieur |
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Scutella subrotunda
(Lamarck,1816) |
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diagnose originale de
l'espèce par Lamarck,1816 |
Histoire des animaux
sans vertèbres, p.11 |
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14. Scutelle ronde. Scutella
subrotunda.
Sc.
orbicularis, dorso convexiuscule ; ambulacris quinis subovalis, apice
coarciatis ; ano infrà marginem.
Echinodiscus subrotundus. Leske sp. Klein, p. 206, tab. 47 f.7.
Scilla corp. mar. tab. 8. f. 1-3.
Habite.
. . Fossile des environs de Douai. Mon cabinet. |
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Description de
l'espèce par Agassiz,1841 |
Monographies
d'échinodermes, seconde monographie, échinites, familles des clypéastroides,
des Scutelles, p.76 |
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I.
Scutella subrotunda Lam.
Tab.17
Syn. Scutclla
subrotunda Lam. Tom. III, p. 284, N° 14. — DeFr. Dict. sc. nat. T.
48, p. 230. — DeBl. Zooph. p. 201.— DesMoul. Tabt. syn. p. 232—, Bronn
Lethaea p. 138. — Ag. Cat. syst. Ectyp. Mus. Neoc. p. 6.
Rien n'était plus facile que de déterminer cette espèce lorsqu'elle
était la seule Scutelle connue ayant l'anus inframarginal , le bord
entier et les cinq ambulacres resserrés à leur extrémité. Mais depuis
que l'on a reconnu dans les nombreux exemplaires confondus sous le nom
de S. subrotunda , des variations constantes , les caractères
diagnostiques indiqués par Lamarck (*) sont devenus
insuffisans comme caractères spécifiques et ne peuvent plus
s'appliquer qu'au genre. Il importe par conséquent maintenant , pour
distinguer le S. subrotunda de ses congénères , d'entrer dans
l'examen détaillé de son test et d'avoir égard à tontes les
particularités de sa structure.
L'espèce à laquelle je conserve le nom de Sc. subrotunda est
celle que Lamarck désignait ainsi et dont M. Valenciennes m'a fait
voir au Muséum de Paris des exemplaires portant encore l'étiquette
écrite de la main de Lamarck. Elle est de forme subcirculaire ,
légèrement ondulée sur son pourtour par suite des sinuosités qui
correspondent au milieu des aires ambulacraires ; le côté postérieur
est tronqué et séparé du reste du test par les deux sinus des aires
ambulacraires paires postérieures ; le diamètre transversal est un peu
plus grand que le diamètre longitudinal.
(*)
Scutella orbicularis, dorso convexiuscula; anibulacris quinis
subovatis, apice cortrctatis; ano infra marginem.
La hauteur du test égale à peine le sixième de la longueur et le
septième de la largeur ; les bords sont minces sans être aussi
tranchans que dans le Sc. truncata. La surface entière du test
est revêtue d'une granulation homogène , composée de tubercules
spinifères surgissant du milieu d'une aire hexagonale entourée d'une
quantité de tubercules miliaires. La fig. 11 représente quelques
tubercules de la face inférieure sous un grossissement de plusieurs
diamètres. ,Ceux de la face supérieure sont moins gros; d'où je
conclus que les soies devaient être plus développées à la face
inférieure qu'à la face supérieure. La disposition des plaques se
reconnaît souvent à travers cette granulation, surtout dans les
exemplaires dont la surface est un peu usée. On peut voir par mes
figures que les plaques sont proportionnellement bien moins larges à
la face sapépérieure qu'à la face inférieure ; autour de la rosette
buccale qui est formée de pièces prismatiques disposées en rayons ,
elles affectent même souvent une forme allongée plus on moins
irrégulière.
L'étoile ambulacraire est très régulière et ne fait nullement saillie
au-dessus du test. Par suite de la convergence des zones porifères ,
les pétales s'arrondissent à leur extrémité , mais sans se fermer
complètement; les postérieurs sont à peine de quelques lignes plus
longs que les antérieurs. L'espace intermédiaire entre les deux zones
porifères est un peu moins large que ces zones elles-mêmes ; les pores
des rangées externes sont allongés , tandis que ceux des rangées
internes sont petits et ronds ; les sillons qui les unissent sont
dirigés obliquement de dedans en dehors. La rosette apiciale
représente un pentagone régulier; les pores génitaux, au nombre de
quatre, sont fort distincts et placés à l'extrémité des angles du
pentagone ; les trous ocellaires, beaucoup plus petits, sont à
l'origine des pétales, dans le sinus du pentagone apicial (fig. 6). La
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face
inférieure est plane ; les sillons ambulacraires y sont assez profonds
, mais irrégulièrement ramifiés. La bouche est centrale, petite et
ondulée. La rosette buccale est grande et très reconnaissable
dans cette espèce ; il n'est pas une suture que l'on ne distingue
parfaitement (fig. 2). L'anus est inframarginal, petit et très
rapproché de l'échancrure du bord postérieur qui est très prononcée
dans cette espèce.
L'intérieur du test présente sur ses bords un labyrinthe très
compliqué de piliers, de cellules et de canaux (fig. ra. 5), ensorte
que la cavité centrale est très restreinte ; et si l'on considère que
l'appareil dentaire (fig: 7) en occupait une bonne partie, il faut
convenir qu'il ne restait que peu de place pour les parties molles de
l'animal. La fig. 4 montre dans son bord gauche, et la fig. 5 dans son
bord droit , le canal qui traverse l'extrémité postérieure de
l'intestin. Le test lui-même est d'une épaisseur médiocre ; près de la
bouche il est même très mince.
L'appareil masticatoire est admirablement conservé dans l'exemplaire
figuré. La fig. 7 le montre d'en haut , les cinq mâchoires étant
réunies. Dans la fig. 8 , le même organe est vu d'en bas , les cinq
mâchoires étant séparées. De même que dans les genres précédens , les
mâchoires antérieures (a a) sont plus petites et plus
symétriques que les latérales (l. l.), dont l'une des branches
est sensiblement plus longue que l'autre. La mâchoire impaire est la
plus développée de toutes (p); la fig. 10 représente cette
dernière de profil montrant son épaisseur qui est assez considérable;
la fig. 9 la représente en face , pour faire voir sa forme ondulée et
la hauteur des lames calcaires dont elle est hérissée.
Cette espèce parait être particulière au terrain tertiaire de
Bordeaux. Au moins je n'en connais pas d'exemplaires provenant d'une
autre- localité ; l'exemplaire figuré fait partie de la belle
collection de M. Deshayes. L'espèce figurée par M. de Grateloup (Tab.
1, fig. 3) a la plus grande ressemblance avec le S. subrotunda,
au point qu'il serait difficile de l'en -distinguer, si l'auteur ne
disait expressément que l'anus est sensiblement rapproché du centre ;
ce qui me fait supposer que c'est le Sc. propinqua.
Planche 17
(extrait)
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Scutella subrotunda
(Lamarck,1816)
- Lower
Globigerina beds, Miocène inférieur, Dwejra, San Lawrenz, gozo, Malte,
129 mm |
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Scutella checchiae
occidentalis Desio,1934 |
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Scutella checchiae occidentalis
Desio,1934
- Burdigalien
inférieur, Désert de Syrte, Libye, 102 mm |
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Scutella subrotundaeformis
Schauroth,1865 |
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1655.
Scutella
subrotundaeformis n., a. sp., Tab. IX, fig. 1.
Sc. testa
depressa, ambigu subpentagono ; supra petaloidiis stellue magnas
latis, suarginern versus depressa ; plana.
Ln
Nummulitenkalk des Vicentinischen kommen flache Skutellen mit breit
blätteriger Zeichnung nicht salien vor. Dieselben gleichen Allgemeinen
der vorigen Art Sc. eubrotonde, unterscheiden sich aber von ihr durch
mehr, viereckigen oder weniger runden thurne und dadurch, dus die
Wôlbung der oberen Suite gegen den Rand hin etwaa niedergedriickt ist,
während Sc. aubrotunda L k. regelämssig
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flach gewölbt erscheint. In
Hinsicht auf die Aehnlichkeit mit Scutella subrotunda baben wir sis,
wie oben gesoheben pst, benannt.
Planche IX
(extrait)
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descriptionde
l'espèce par Stefanini, 1919 |
Fossili del
Neogene Veneto, Parte seconda, Brachiopoda, Echinodermata, p.9 |
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Sctttella
subrotuudaeformìs Schaur Tav. XIV [Vili], flg. 2-
Questa specie si distingue per le sue mediocri dimensioni, per gli
ambulacri grandi, le zone interambidacrali piuttosto strette, il
guscio dilatato.
Si riconosce dalla S. forumjidiensis n. sp. per le sue dimensioni
minori, per la forma larga e dilatata del guscio, e per U minore
svOuppo dei petali.
Quest'ultimo è un carattere evolutivo, che, come fu posto in rilievo
dal Douvillé, denota forme relativamente basse nella serie
filogenetica.
Un esemplare di S. Michele di Bassano, figurato a tav. Vili, fig. 2, è
teratologico, per avere quattro soli ambulacri : questo caso, assai
raro negli echinidi, e specialmente negli scuteUidi, ha portato con sé
una completa asimmetria del guscio e un assetto molto irregolare deUe
placche nell'interambulacro impari.
Distribuzione. — Questa specie, il cui tipo è veneto, fu indicata dal
Lambert nel Langhiano di Venee; ma fu già osservato dal Cottreau e
ammesso dal Lambert medesimo, che si tratta di un tipo diverso,
indicato poi col nome di S. Guehhardi.
Distribuzione nel Veneto. — Aquitaniano. È una delle specie più
caratteristiche dell'Aquitaniano veneto : abbonda al castello di Schio
(Coli. Meneguzzo) e ai Grumi di Schio (Mus. di Padova) ; a Sarcedo
(Coli. Fabiani); a Cava Brocchi, Osteria Munari e a cava Agostinelli
presso S. Michele (Coli. Secco); a Nogarolo e presso C. Valcalda nei
dintoni di Vittorio (CoU. Stefanini, De Toni ecc.); a€astel Tesino in
Valsugana (Mus. diMrenze). |
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È citata da Oppenheim ai Castelli presso Possagno, e a ScureUe in
Valsugana ; da Airaghi a M. Moscai,
Mont.e Brione,
Canale Lonata) ; da Fabiani a Scurelle in Santa Libera di Malo. L'es.
di M. Moscai figurato da Airaghi è un po' diverso dai tipi e
apparterrebbe, secondo il Cottreau, alla S. paulensis. Fu
citata anche dai calcari a Lepidocicline e Wummuliti dell' Oligocene
superiore dei Serici, ma ritengo si possa" trattare di altra specie.
Planche XIV(extrait)
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figuré, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert, 1906,
Etude
sur les échinides de la molasse de Vence, p.6 |
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Scutella subrotundaeformis
Schauroth,1865
- Miocène
inférieur, Santalibera di Malo, Vicence, Italie, 50 mm |
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Scutella subrotundaeformis
Schauroth,1865
- Lower Coralline
Limestone, Scutella Bed, Gozo, Malte, 79 mm |
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Scutella subtrigona
Koch,1884 |
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Scutella
subtrigona, nov. sp.
Taf. VI, Fig. 4 a—c.
Scutella subtetragona,
Grat. Hauer U. Stache..
Geologie Siebenbürgens p. 615.
"
" "
Pavay E. Die geol.
Verh. etc.... (19) p, (63) 413.
Der Umriss des Gehäuses
ist mehr oder weniger abgerundet drei‑eekig, mit schwach
ausgebuchteten Seiten, stets etwas breiter, als lang, die vordere
Seite sehmaler, ais die hintere. An der hinteren Seite folgen,
beginnend von dern kleinen Einschnitte. in welchem die Afteröffnung
liegt, zu beiden Seiten symmetriseh liegend, eine oder zwei
Einbuchtungen, und weiler die am weisten vorspringenien Stellen der
Seitenlinien, worauf diese, kaum etwas wellig gebogen, naell vorne
zusammenbiegen, um an der Spitze des Dreieckes, weniger oder mehr
abgestumpft oder abgerundet, endigen.
Der Rand des Gehäuses ist
beinahe Minn: von hier erhebt sich der Rücken bis zu den Petalen
allmälig, von hier bis zum Scheitelpunkt aber etwas steiler zu
einem sehr flachen Conus. Die untere Seite des Gehäuses ist,
entsprechend der Erhebung des Rückens, vom Rande bis zur centralen
Mundöffnung gleichmässig schwach eingebogen.
Die Grössenverhältnisse der verschiedenen Exemplare sind :
Die Petalen sind kurz,
reichen nicht bis zur Mitte des Radius des
Gehäuses. und sind schmal. Am abgebildeien
Exemplare (Fig. 4a) beträgt deren Linge 12 Mm., die breite 4 Mm. Die Poren-
und Interporenzonen sind nahezu gleich breit. Die Poren der äusseren
Reihen sind komma‑ähnlich, jene der inneren Haien punktformig.
Auf dem feinporösen
Seheiteiraum sieht man 4 deutliche Genital‑poren. Der Scheitelpunkt ist nicht vollkommen
eentral, sondern nähert sich etwas
entweder dem Vorder- oder dem Hinterrande. Nahezu
im mittelpunkte der schwach eingebogenen unteren Seite
liegt die kleine rude Mundöffnung, mit 5 deutlichen, obzwar sehr
schmalen und seichten Mundrinnen, welche gegen die Ränder verzweigen
(Fig. 4b). Die Afteröffnung, wie schon erwähnt. liegt in der Mitte
des hinteren Randes in einem kleinen Einschnitte.
Die Asseln sind an ganz
unversehrten Gehäusen weniger deutlich, an etwass abgeriebenen Exemplaren aber sehr deulich
sichtbar ; oben und unten ist die Körnelung sehr rein und dicht.
Die Form des Umlanges
unsererer Art in Betraeht gezogen, finden sich in der Gegend von Klassenburg
eigentlich zwei Varietäten vor.
α) Typ. Vorderes Ende des Gehäuses weiter vorragend, weniger
abgestumpft, une deshalb bedeutend schmäler, als das hintere Ende ;
die ganze Form nähert sich am meisten einem abgerundeten Dreieck. Der
Scheitelpunkt liegt näher zum hinteren Rande (Fig. 4a).
β) Var. rotundatifrons. Das vordere Ende stärker abgestumpft,
weniger vorragend, aber immer noch schmäler, als das hintere Ende ;
die ganze Form errinnert deshalb eher an ein abgerundetes Trapez. Des
Scheitelpunkt liegt näher zum vorderen Rande (Fig. 4b).
Aehnlichkeiten und Verschiedenheiten. Ich kenne blos zwei Formen von
dieser Grösse une von ähnlichem Alter, mit welchen unsere Art
verglichen werden kann. Die eine ist die durch
G. Laube von Gnata di
Salcedo beschriebene und abgebildete Sc. tenera und die von
W. Dames ebenfalls
hierher einbezogene Sc. cavipetala,
Laube. Diese Art
unterscheidet sich aber durch die ovale, beinahe herzförmige Gestalt
ihres Umrisses, und durch die bedeutend grössere Breite ihrer Petalen
von der unseren. Di zweite Form ist die bei Biarritz (Rocher du
Goulet) vorkommende Scut. subtetragona,
Grat., mit deren durch
G. Cotteau (Echinides .
. . etc. (13), p. 83, Pl. III, Fig. 4, 5) mitgetheilten Beschreibung
und Abbildung ich unsere Art verglich. In der That ist die
Aehnlichkeit sehr gross, besonders mit unserer β) Varietät, so dass
A. Pavay nach zwei
unvollständigen Exemplaren keine sicherere Bestimmung geben konnte.
Der Hauptunterschied liegt in der Gestalt selbst. Bei Scut.
subtetragona sind die beiden Einbuchtungen an dem hinteren Rande
des Gehäuses so bedeutend, dass dadurch drei auffallende, abgestumpfte
Vorsprünge entstehen, wozu sich der bedeutend stumpfere Theil des
vorderen
|
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Endes als vierter Vorsprung gesellt, um die Viereck-Form
herzustellen. Der Scheitelpunkt liegt auch hier näher zum vorderen
Rand, ist also auch in dieser Hinsicht unserer Art, var. β) ähnlich.
Ein anderer Unterschied liegt ferner darin, dass die Breitedifferenzen
der Ambulacral- und Interambuladral-Felder gegen den Rand des Gehäuses
bei der Sc. subtrigona bedeutend geringer sind, als bei der Sc.
subtetragona. Nämlich :
Endlich ist auch die
Verschiedenheit der geologischen Horizonte, in welchen beide Arten
vorkommen, beachtenswerth. Die Sc. subtetragona kommt nach
Cotteau's Rectifizirung
bei Biarritz im Eupatagus ornatus-Horizonte vor ; dieser ist
auch bei uns vorhanden, liegt aber bedeutend tiefer, als jener, in
welchem die Sc. subtrigona sich vorfindet.
Vorkommen.
In der tertiären Schichtenreihe Siebenbürgens kam diese Art bisher
blos in dn Méraer Schichten vor, welche der Molluskenfaune nach den
Caster-Gomberto-Schichten Vicenza's entsprechen.
A. Pavay, der die von
ihm erwähnten zwei unvollständigen Exemplare dieser Art nicht selbst
sammelte, kannte ihr Vorkommen noch nicht, war also im Irrthum, als er
es für wahrscheinlich hielt, dass sie in den dem Ornatus-Horizonte
von Biarritz entsprechenden Schichten bei uns vorkäme.
Fundorte. Bei Klausenburg fanden sich im Weinberge Hoja, nahe zum
Törökvagas, ferner bei Kardosfalva, am Rande des Waldes, Bruchstücke
dieser Art. Die vollständigsten Exemplare [(α) Typ., Fig. 4a] fand ich
an der Mündung des Papfalvaer Thales, gegenüber dem
Aszupatak-Thälchen, in den dortigen mergelig-kalkigen
Sandstein-Schichten.
Ein
weiterer ausgezeichneter Fundort ist Méra, wo am Anfange der Schlucht
"Ördögorrarka" eine 2 M. dicke Kalkmergelbank vorherrschend aus dicht
zusammengehäufter Scut. subtrigona-Schalen besteht. Die hier
vorkommenden Exemplare gehören der β) Varietät an (Fig. 4b). Sie kommt
gerner bei M. Sard, an den Abhängen der Berge Orhegy une Akasztelare
vor, doch erhielt ich auch hier blos Bruchstücke ; solche fand ich
noch bei Faarkasmezo (Gegend von Sibo) u. M. Bikal. Aus dem
Aufnahmsgebiete des Herrn Dr.
Karl Hofmann liegen in der kgl. ung. geol. Anstalt Exemplare
von folgenden Orten : NW. von Csoma ; östl. von Henyes ; Valea
Talhoras, in dem gegen das Meszes-Wirthshaus ziehenden Bergzweig ;
NOO. von Varaju ; SW. vom Gipfel des Ciaru Vaszli, hier im Hojaer
Kalkstein. Dr. G. Stache
erwähnt diese Art (unter dem Namen Sc. subtetragona) von
Klausenburg und Bébény.
Sammlungen. Sieb. Mus.; Kgl. ung. geol. A.
Planche VI(extrait)
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Scutella subtrigona
Koch,1884
- Oligocène,
province de Cluj Mera, Roumanie, 44 mm |
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Scutella tarraconensis
Lambert,1902 |
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diagnose originale de
l'espèce par Lambert, 1902 |
Echinides de la
province de Barcelone, p.79 |
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SCUTELLA
TARRACONENSIS Lambert
(Pl. VII, fig. 1, 2)
Scutella paulensis
Carez (non Agassiz) : Étude des Terr. Crét. et Tert. du Nord de
l'Espagne, p. 253. — 1881.
—
— Almera (non Agassiz) : Description y cortes locales de
esta comarca, p. 5. — 1897.
Grande espèce subdiscoidale, plus large que longue, déprimée, mesurant
141 mm. de longueur et i48 de largeur sur 22 de hauteur sous l'apex;
ses bords, non tranchants, sont légèrement sinueux, avec inflexions
correspondant aux. aires ambulacraires. Face supérieure convexe au
centre, plus déclive sous l'étoile ambulacraire que sur les marges,
qui sont un peu étalées ; les bords sont moins épais en arrière, où la
marge s'étend un peu en expansion tronquée, légèrement sinueuse
derrière le périprocte, mais sans véritable échancrure. Apex
subcentral, à peine plus éloigné (i mm. 1/2) du bord postérieur. Face
inférieure plane.
Ambulacres à fleur du test, dont les pétales sont relativement étroits
et peu développés (long. 4o mm., larg. 16); l'impair à peine plus long
que les autres. Zones porifères composées de pores conjugués dont
chaque paire est séparée de sa voisine par une surface ornée d'environ
20 très petits tubercules scrobiculés; zone interporifère étroite,
n'atteignant pas en largeur la moitié de celle d'une des zones
porifères et formant une bande progressivement rétrécie vers l'apex,
un peu étranglée vers l'extrémité des pétales et couverte de. très
petits tubercules scrobiculés, très serrés. Sillons de la face orale
assez profonds et anastomosés comme ceux de la plupart des espèces du
genre.
Péristome central, subpentagonal, étroit (3 mm. de diamètre).
Périprocte petit (1mm. 1/2), peu éloigné, à 7 mm. du bord auquel il
n'est pas relié, appartenant par conséquent très nettement à la face
orale. Surface du test couverte de très fins tubercules scrobiculés,
très serrés, séparés entre eux par un rang de granules microscopiques.
Rapports et différences. — Cette belle Scutelle a été signalée
sous les noms de S. paulensis par MM. Carez et Aimera ; mais
l'examen que j'ai fait d'un individu bien dégagé, n'est pas venu
confirmer cette détermination. En effet le S. paulensis type,
tel qu'il a été figuré par Agassiz (Monog. des Scutelles, tab. xix,
fig. 8, 10), est plus régulièrement convexe en-dessus, ses bords sont
plus amincis, tranchants ; ses pétales plus larges, ont leurs zones
interporifères moins étroites ; il est plus nettement tronqué en
arrière ; son périprocte enfin est plus
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sensiblement
rapproché du bord. D'ailleurs si le S. paulensis dépasse
souvent la taille du type figuré, il n'atteint jamais les grandes
proportions de la Scutelle de Tarragone et il ne me parait pas
possible de confondre les deux espèces. Quant au S. striatula
M. de Serres, de l'Helvétien de l'Hérault, il est plus petit, plus
convexe en-dessus ; ses marges sont plus confuses ; ses zones
porifères plus développées sont ornées de tubercules encore plus
petits et plus nombreux, sur deux rangées entre les zygopores du côté
externe.
D'autre part les caractères indiqués ci-dessus séparent nettement
notre espèce du S. Bofilli. Le. S. integra de forme plus
circulaire, plus tronqué en arrière, me parait plus régulièrement
convexe en-dessus et a des pétales à zones interporifères beaucoup
plus larges. S. lusitanica a au contraire ses pétales avec
zones interporifères encore plus étroites, linéaires ; il est moins
déprimé, a sa marge plus déclive, plus épaisse, avec bords très
arrondis. L'espèce portugaise présente en outre à la face inférieure
des dépressions interambulacraires qui manquent, ou sont moins
apparentes chez S. tarraconensis. Il est. d'ailleurs superflu
de comparer ce dernier avec les espèces à périprocte très éloigné du
bord, comme S. subrotunda, S. Faujasi, ou des espèces
munies d'une échancrure postérieure, comme S. leognanensis,
bien plus aplati, S. Bonali, etc.
Localité. — Roda, près Tarragone, dans les couches inférieures
du Burdigalien. —Coll. J. Almera.
Planche VII
(extrait)
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Scutella tarraconensis
Lambert,1902
- Serravalien,
Algarve, Portugal, 130 mm |
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Genre Dendraster
Agasiz in
Ag. & Desor,
1847, p.135
Catalogue raisonné des
échinides, p.135
Espèce type
Scutella excentricus
Eschscholtz, 1831,
par monotypie.
Zoologischer Atlas,
p.19
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Miocène
supérieur -
Actuel |
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Dendraster gibbsii (Remond,1863) |
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diagnose originale de
l'espèce par Rémond, 1862 |
Description of two species of scutella, p.13 |
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S. Gibbsii
Rernond.
Disk oblong-sub-oval, rounded
before and truncated behiud, posteriorly convex above, slightly depressed in
front ; inferior surface flat, somewhat concave about the mouth. Apex about midway between the center and posterior margin ;
ambulacral star non-symmetrical petals unequal, open at their extremities. Anterior petal straight,
longer than the others ; the lateral orles nearly straight, cliverging from the
apex with an angle of about eighty degrees posterior petals very short, sub-oval,
having the anterior side lune curved. Four rows of pores in each petal the
inner pores transverse, the outer ones pointed obliquely inwards, Mouth
posteriorly sub-central ; anal-aperture small, submarginal. Ambulacral furrows
double, nearly symmetrical, slightly ramified. Each ambulacral and
interambulaeral
space is occupied by two rows of irregular plates, either pentagonal
or hexagonal. Tubercles nurnerous, crowded in the ambulacral furrows, but much worn off in the specimens examined.
Locality Kern Lake, Buena Vista
County.
The speeimens described are in
the collection of the Acaderny ; they were found by Dr. Gibbs, to whom the
species is dedicated.
Obs.—This species, considered by
Mr. Gabb as of probably rniocene age, is closely allied to the S.
striatula which is found living on the Californien toast, and occurs fossil in the
faluns
(miocene formation) of Bordeaux, France ; but it differs from it in the
outlines and the size of the shell, the former being comparatively small and longer than
broad, while the latter is broader than long. Besides, the iapex of the
S. Gibbsii is situated more posteriorly, and the lateral petals, in the
S. striatula,
diverge from the apex, with an angle of from one hundred and ten to one hundred
and fifteen degrees ; this latter has also its ambulacral
furrows more rarnified at their extremities.
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figuré, conservé
à University of California
Museum of Paleontology |
figuré in
Woodring, Steward & Richards,
1940, Geology
of the Kettleman Hills Oil Field, California, pl.40, fig
2-4 |
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plesiotype, conservé
à University of California
Museum of Paleontology |
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Catalog Number: |
11021 |
ID UCPM: |
urn:catalog:UCMP:I:11021 |
Scientific Name (As Filed): |
Dendraster gibbsii Remond |
Type Status: |
plesiotype |
data set: |
7ddf754f-d193-4cc9-b351-99906754a03b |
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specimen conservé
à University of California
Museum of Paleontology |
|
Catalog Number: |
83819 |
rights holder: |
Charlie Smith |
Scientific Name (As Filed): |
Dendraster gibbsii Remond |
Type Status: |
none |
data set: |
7ddf754f-d193-4cc9-b351-99906754a03b |
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|
figuré, conservé
à University of California
Museum of Paleontology |
figuré in
Woodring, Steward & Richards,
1940, Geology
of the Kettleman Hills Oil Field, California |
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Catalog Number: |
124065/ UCMP slab 11660 |
ID UCPM: |
urn:catalog:UCMP:I:124065 |
Scientific Name (As Filed): |
Dendraster gibbsii Remond in
Woodring & al. |
Type Status: |
figuré |
data set: |
7ddf754f-d193-4cc9-b351-99906754a03b |
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Dendraster gibbsii (Remond,1863)
- Pliocène, San
Joaquin formation, Californie, 66 mm |
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Dendraster venturaensis
(Kew,1920) |
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diagnose originale de
l'espèce par Kew, 1920 |
Cretaceous and
Cenozoic echinoidea from the Pacific coast of North America, p.120 |
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DENDRASTER DIEGOENSIS
VENTURAENSIS Kew, n. suhsp.
Plate 29, figures 1a, 1b ; plate
30, figure 1
Dendraster excentricus.
Clark and Twitchell, U. S. Geol. Surv. Mon., vol..54, 1915, pp.
223-225, pl. 105, figs. 1a, 1b, 1c. 1d.
Holotype.—No, 11351 Univ. Calif. Coll. Invert. Pal.
This subspecies is characterized by an exceedlingly large test.
Measurements of speeimen no. 11351: anteroposterior diameter 46.5mm.
,transverse diameter 104.7 mm., greatest height 7.8 mm.; also by the
marked elevation of the abactinal surface within the area by the
length of the petals, which gives it a humped appearance.
Geologic horizon—Upper Fernando formation, Upper Pliocene and
Pleistoeene (?) ; associated with Stroilgylocentrutus franciscanus
A. Agassiz.
Localities.— Holotype from Santa Clara Valley, -Ventura County,
California; also occurs north of San Fernando Valley, Los Angeles
County, California and Las Posas Hills, Ventura County, California.
planches 29 et 30 (extraits)
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Dendraster venturaensis
(Kew,1920)
- Pléistocène,
Baja, Californie, 56 mm |
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Dendraster venturaensis
(Kew,1920)
- Pliocène, Los
Posas formation, Ventura County, Californie, 98 mm |
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Dendraster venturaensis
(Kew,1920)
- Pliocène, Los
Posas formation, Ventura County, Californie, 100 mm |
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Genre Eoscutum
Lambert
in Lambert & Thiery,
1914
Essai de nomenclature
raisonnée des échinides, p.293
Espèce type
Porpitella doncieuxi
Lambert, 1905,
par désignation originale.
Note sur les échinides
éocéniques de l'Aude et de l'Hérault, p.136
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Miocène
inférieur et moyen |
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Eoscutum doncieuxi
(Lambert,1905) |
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diagnose originale de
l'espèce par Lambert, 1905 |
Echinides
éocéniques de l'Aude et de l'Hérault, p.136 |
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Porpitella
Doncieuxi Lambert.
[Pl. V, fig. 18-22]
Espèce de petite taille, mesurant chez le type décrit 7
millimètres de longueur sur 7 de largeur et 1 1/2 d'épaisseur,
atteignant chez un autre individu 9X9X2. Elle est arrondie, légèrement
subpentagonale, déprimée, sa face inférieure un peu concave,
subpulvinée, avec vagues dépressions correspondant aux ambulacres,
mais sans sillons ; péristome central, assez grand, pentagonal. Face
supérieure très déprimée, ayant sa plus grande hauteur vers l'apex et
de ce point assez régulièrement déclive jusqu'aux bords qui sont
arrondis et surtout en arrière dessinent un léger bourrelet. Pétales
semblables, occupant un peu plus de la moiLié de l'espace entre l'apex
et le bord, composés de pores assez espacés, arrondis, non conjugués,
dont la rangée interne, dans chaque zone porifère, forme une ligne
droite, tandis que la rangée externe décrit une arc très sensible, en
se rapprochant de la première ligne, vers l'extrémité des pétales.
Ceux-ci semblent donc se fermer, bien qu'en réalité ils restent
ouverts ; la zone qui s'étend entre ces pores est couverte de la même
granulation que le reste du test ; zone interporifère à peu près de la
largeur de l'une des zones porifères. Apex central, en forme de bouton
finement spongieux. Périprocte supra-marginal, arrondi. A l'intérieur
du test, on remarque de fortes et saillantes nervures qui le
renforcent, aussi bien en dessus qu'en dessous. Sur les bords, ces
nervures se rejoignent pour former des cloisons marginales semblables
à celles des Scutellina. Toute la surface du test est couverte
de petits tubercules scrobiculés, épars dans une fine granulation,
plus développés et un peu plus serrés à la face inférieure qu'en
dessus.
Chez certains individus l'état du test permet
d'observer la disposition et la forme des plaques. Les interambulacres
très réduits en dessus, ne formant plus entre les pétales qu'une bande
étroite, se rétrécissent vers le bord; en dessous, ils restent à peu
près de même largeur jusqu'au voisinage du péristome où les aires
ambulacraires sont proportionnellement moins développées. Sur aucun je
n'ai pu observer près du péristome la disposition connue sous le nom
de rosette buccale et dont l'absence est considérée comme
caractéristique de la famille des Proscutichr et en particulier de la
sous-famille Fibulariae.
On remarque chez ce Porpitella certaines variations ;
quelques-uns sont plus longs que larges (longueur 8 mm, 1/2, largeur 7
mm. 1/2), ce qui ne saurait d'ailleurs permettre de les séparer des
autres.
Rapports et différences. — Le genre
Porpitella a été proposé par Pomel pour les anciens Scatellina
à periprocte supère; il ne comprend qu'un très petit nombre d'espèces
la plupart éocéniques. Le type est P. Hayesiana Desmoulins
Cassidulus), décrit et figuré par Agassiz et Cotteau sous le nom
de Scutellina supera et d'après lequel Pomel a établi sa
diagnose générique. Ce P. Hayesiana est plus allongé, plus
épais que le P. Doncieuxi : son apex est excentrique en avant ;
ses pétales à pores externes en ligne droite sont plus ouverts,
proportionnellement plus longs. Le périprocte s'ouvre à la face
supérieure plus loin da bord. P. calvimontana, Gotteau (Scutellina),
qui devra sans doute reprendre le nom de fibularoïdes Desmoulins (Cassidulus),
est une très petite espèce ovalaire, assez renflée, peu concave en
dessous et qui paraît former transition de Porpitella aux
Scutellina ; elle ne saurait donc être confondue avec notre
espèce. Scutellina concava Gauthier, de l'Eocène inférieur de
Tunisie, paraît encore être un Porpitella et ses ambulacres
d'aspect plus pétaloïde le rapprochent de l'espèce de l'Hérault, dont
l'éloignent d'ailleurs sa forme plus épaisse, plus élargie en arrière,
ses pétales plus développés s'étendant presque jusqu'aux bords et ne
laissant pas de place à des marges distinctes.
Le Scutella germanica Beyrich, des
Samlandischen Tertiars, a été pour la première fois figuré par
Nœtling, mais il est facile de voir que cet auteur a confondu sous ce
nom deux espèces : l'une en assez fâcheux état ne peut être rapportée
que sous toutes réserves au genre Porpitella dont elle diffère
par l'étendue de ses marges o et surtout la forme de ses aires
interambulacraires à peu près aussi larges que les ambulacraires ;
l'autre, le vrai Scutella germanica-, plus grande, à très
larges marges, avec pétales courts, fermés, composés de pores
allongés, conjugués et dont le périprocte paraît marginal, présente à
l'intérieur des cloisons très compliquées, différentes de celles de
Scutellina et de tous les Fibularidae. Ce n'est donc
certainement pas un Porpitella. Nœtling a voulu en faire un
Echinarachnius, genre attribué par erreur à Van Phels et dont il
donne une interprétation absolument inadmissible. Scutella
germanica semble avoir plutôt ses rapports avec Praescutella
et surtout avec une forme du Stampien de la Gironde ordinairement
confondue avec Porpitella porpita Desmoulins (Cassidulus),
petite espèce qui diffère du P. Doncieuxi par ses marges plus
étendues, plus amincies, abords tranchants.
Le groupe des Porpitella, en y comprenant les
espèces cidessus énumérées est d'ailleurs encore assez hétérogène pour
que je ne puisse rapporter que provisoirement à ce genre le P.
Doncieuxi.
Sans doute de nouvelles études permettront de
distinguer à côté de la forme de l'Eocène parisien un certain nombre
d'autres. Il est même douteux que les grands individus de Grignon
soient génériquement identiques à la forme moyenne du Porpitella
Hayesiana. Chez ces grands individus, en effet, on remarque à la
face inférieure, près du péristome, des amorces de sillons
ambulacraires, dans lesquels s'ouvrent de petits pores nombreux et
très serrés. Ce caractère très remarquable paraît avoir échappé à
Cotteau qui ne l'a ni signalé, ni figuré.
Le Porpitella Doncieuxi a été recueilli dans le
Nummulitique de la colline de Notre-Dame de Nazareth près
Saint-Chinian l'Hérault). — Collections Doncieux, Miquel. Lambert.
planche V (extrait)
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syntype, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert, 1905,
Notes
sur quelques échinides éocéniques de l'Aude et de l'Hérault, p.136 |
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Eoscutum
doncieuxi
(Lambert,1905)
- Thanétien,
Environs de Lagrasse, Aude, 6 mm |
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Genre Merriamaster
Lambert,
1911, p.64
Revue critique de
paléozoologie, p.64
Espèce type
Scutella perrini
Weaver, 1908,
par désignation originale.
New echinoid from the
tertiary of California, p.273
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Pliocène
syn.
-
Orchoporus
Lambert, 1914, p.293 ; espèce
type : Orchoporus koehleri
Lambert,1914, synonyme
subjectif plus récent.
-
Twitchellia
Lambert, 1916, p.171 ; espèce
type : Astrodaspis merriami
Clarck & Twitchell,1915, synonyme subjectif plus récent.
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Merriamaster perrini
(Weaver,1908) |
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diagnose originale de
l'espèce par Weaver, 1909 |
New echinoids from the
Tertiary of California, p.273 |
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SCUTELLA
PERRINI, n. sp.
Pl. 22, fig.
2.
The outline of the test from above is circular to elliptical. The
upper surface is very slightly arched and the margin of the test is
moderately thin. The apical system is excentric and small. The
ambulacral petals are rather broad, sometimes very slightly elevated,
open at the ends, and extending to within a short distance of the
margin. The poriferous zone is about two-thirds as broad as the
enclosec ambulacral space. The anal pore is marginal.
The lower surface of the test is slightly concave. Faint undivided
ambulacral grooves pass from the mouth to the margin. The tubercles
are of the same size on the upper and lower surfaces.
Scutella perrini differs from Scutella breweriana in
that the petals are of uneven length and the apical system excentric,
while in S. breweriana the apical system is central. The test
of S. perrini also reaches greater size than is known in S.
breweriana.
Dimensions : Maximum width 40 mm. ; maximum length 45 mm. ; maximum
thickness 6 mm.
Occurence : In beds presumably of Miocene age near Coalinga,
California. Other specimens closely resembling this form have been
found at San Gregorio, California, in the Purisima formation.
planche 22 (extrait)
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figuré, conservé
à University of California
Museum of Paleontology |
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Catalog Number: |
114834/ UCMP slab 11574 |
ID UCPM: |
uurn:catalog:UCMP:I:114834 |
Scientific Name (As Filed): |
Scutella perrini Weaver |
Type Status: |
figuré |
data set: |
7ddf754f-d193-4cc9-b351-99906754a03b |
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Merriamaster perrini
(Weaver,1908)
- Pliocène, san
Joaquin formation, Kings County, Californie, 25 mm |
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Genre Parascutella
Durham,
1953
Type species of
Scutella, p.349
Espèce type
Scutella leognanensis
Lambert, 1903,
par désignation originale.
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Miocène |
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Parascutella
bonali
(TOURNOUER in
Fallot,1895)
- Miocène
inférieur, Aquitanien, Gironde, 88 mm |
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Parascutella
faujasi
(Defrance, 1827) |
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diagnose originale de
l'espèce par Defrance, 1827 |
Dictionnaire des
Sciences Naturelles, tome 48, p.230 |
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Scutelle de Faujas ;
Scutella Faujasii , Def. Cet échinite est très-aplati ; ses
ambulacres sont plus raccourcis et plus finement exprimés , et l'anus
est plus rapproché du centre que dans l'espèce précédente; mais, du
reste, elle a avec elle beaucoup de rapports, et pourroit n'en être
qu'une variété. Diamètre, trois pouces et demi. Nous ignorons où elle
a vécu. |
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Parascutella
faujasi
(Defrance, 1827)
- Miocène
inférieur, Helvétien, Indre et Loire, 83 mm |
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Parascutella forumjuliensis
(Stefanini,1919) |
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diagnose originale de
l'espèce par Stefanini, 1919 |
Fossili del
Neogene Veneto, Parte seconda, Brachiopoda, Echinodermata, p.10 |
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Scutella
forumjuliensis sp. n. — Tav. XIV [VIII], fìg. 1.
Guscio
di grandi dimensioni (lungh. nini. 114, largh. circa mm. 117) di forma
discoidale, schiacciata, a contorno subcircolare, poco dilatato
posteriormente, leggermente più largo che lungo e pochissimo sinuoso
in corrispondenza degli ambulacri; faccia superiore debolmente
convessa, profilo uniformemente obliquo in avanti, lievemente espanso
in dietro ; margini sottilissimi, quasi taglienti; faccia inferiore
uniformemente pianeggiante. I solchi ambulacrali actinali si biforcano
assai vicino al peristoma, ma i particolari della loro ramificazione
non sono conosciuti. Zone ambulacrali petaloidee. Petalo impari un po'
più lungo di quelli anteriori e altrettanto più corto dei posteriori;
essi raggiungono in media lalunghezza di circa 0.70 rispetto alla
distanza dal loro punto di origine al margine del guscio, presa come
unità, e sono larghi circa 0.40 rispetto alla loro propria lunghezza,
e risultano così assai ampi ed estesi, di una forma che va
gradatamente, regolarmente dilatandosi dall'apice fino all'estremità.
Questa è arrotondata e leggermente aperta, mentre l'estremità
prossimale è assottigliata. Dato che i petali anteriori pari sono un
po' più corti degli altri, e che tutti hanno eguale larghezza, ne
risulta per i'primi una forma un po' più ovale, meno snella. Le zone
porifere sono molto ampie, costituite di pori numerosi, coniugati per
mezzo di lunghi e sottili solchi, disposti quasi ad angolo retto con
l'asse longitudinale del petalo: i solchi si fanno però obliqui e un
poco curvi verso l'estremità distale, che tendono così a chiudere
imperfettamente. Le zone interporifere, un poco rigonfie, sono molto
strette (circa 1/3 di ciascuna delle zone porifere), e raggiungono una
larghezza massima di mm. 2,5 : esse sono fusiformi, con la massima
larghezza presso l'estremità distale, e vanno da quel punto
assottigliandosi più gradatamente nel tratto verso l'apice, più
rapidamente nel tratto opposto.
Zone interambulacrali leggerissimamente rigonfie presso l'apice.
Apparato apicale monobasale con placca madreporica stellata, coperta
di idrotremi, e quattro pori genitali. L'apice è un poco m avanti, a
circa 48/100 della lunghezza totale del guscio.
Peristoma subcentrale, non ben visibile negli esemplari in esame.
Periprocto circolare, piccolo, nettamente infero, alquanto distante
dall'orlo (circa 7 mm.).
I tubercoli, assai fitti e minuti, hanno una fine scrobicola incisa.
Sulle strisciole di guscio comprese fra un solco e l'altro degli
zigopori, i tubercoli si dispongono in due file alternanti.
Gli esemplari, assai numerosi e discretamente conservati, che
appartengono a questa specie, furono dagli autori attribuiti alla S.
siibrotunda, con la quale essa non ha in realtà che rapporti molto
lontani, sia che si ammetta col Lambert, che il tipo di questa specie
sia la Scutella di Malta, sia che la s'intenda come la grande
maggioranza degli autori. |
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Le caratteristiche principali della S. forumjuliensis sono
costituite dalla sua grande statura, dall'ampiezza dei petali, dalla
estrema sottigliezza delle zone interporifere, dal contorno sinuoso e
dalla posizione del periprocto.
In base ad esse è facile riconoscerla anche dalla S.
subrotundaeformis del Miocene inferiore di Schio.
Tra le forme più strettamente alleate alla nostra sono da noverarsi la
S. vindobonensis Lbe.,
subito riconoscibile per la statura anche maggiore e per la singolare
forma del suo profilo, fortemente elevato verso il centro ; la S.
tarraconensis Lamb.,
che ha statura anche maggiore, petali meno ampi ed estesi, zone
porifere più strette, sia assolutamente, sia anche relativamente alle
interporifere ; la S. lusitanica
Lor., distinta da zone
interporifere anche più sottili, addirittura lineari, periprocto più
vicino al margine, margini meno sottili, faccia inferiore provvista di
sentite depressioni, in corrispondenza della parte media degli
ambulacri e degl' interambulacri.
Più vicine alla nostra specie sono la S. Bonali dell'
Aquitaniano d'Aquitania e la S. paulensis
Lamb. di Sardegna, che
diversifica alquanto dal tipo di Agassiz per una maggior sottigliezza
delle zone interporifere e per i petali più chiusi. Quest'ultima si
riconosce anche dalla nostra specie per avere i petali più piccoli e
più chiusi e per la posizione del periprocto più vicino al margine. La
S. Bonali appartiene indubbiamente allo stesso gruppo della
nostra nuova specie; ma se ne distingue per la minore statura, per la
foima alquanto più dilatata, e soprattutto pel minore sviluppo dei
petali e per la posizione più inframarginale dell'ano. Sono tutti
caratteri evolutivi, che denotano nella specie d'Aquitania una fase
meno avanzata nello sviluppo filogenetico e quindi un tipo più arcaico.
Distribuzione. Langhiano inferiore. Arenarie con granelli
glauconiosi di Pozzuolo in Friuli (Coli. Marinelli, Taramelli, Pirona,
Pietri ecc.). Il tipo è noi Museo di Firenze ; altri esemplari nel R.
Istituto Tecnico di Udine.
Planche XIV (extrait)
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Parascutella forumjuliensis
(Stefanini,1919)
- Miocène
inférieur, Déserte de Syrte, Libye, 104 mm |
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Parascutella smithiana
(Agassiz,1841) |
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diagnose originale de
l'espèce par Agassiz,1841 |
Monographies
d'échinodermes, Echinites, famille des Clypéastroides, seconde
monographie, des Scutelles, p.84 |
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XI.
Scutella Smithiana Ag.
Tab. 19a, fig.
5 et 6,
Cette espèce est jusqu'ici la seule qui ait été signalée dans les
terrains molassiques. Quoique l'exemplaire que je possède soit
très-imparfait, j'ai cependant cru devoir le figurer, parce que j'ai
tout lieu de croire qu'il constitue une espèce à part, très-voisine du
Sc. subrotunda et qui étant entière, paraît avoir eu des
dimensions assez considérables, ainsi qu'on peut en juger par la
figure ci jointe, qui représente un exemplaire dont le bord antérieur
est en grande partie enlevé. Un caractère cependant la distingue de
l'espèce précitée, c'est la largeur proportionnellement plus grande
des pétales ambulacraires, qui, quoique arrondis à leur extrémité, ne
se ferment cependant pas entièrement. Je n'ai pas pu réussir à dégager
la face inférieure ensorte que la position de l'anus m'est demeurée
inconnue. Le profil (fig. 6) fait voir que c'est une espèce très
aplatie.
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L'original m'a été communiqué par M. Smith de Jordan-Hill ; il
provient de la molasse des environs de Lisbonne. C'est jusqu'ici le
seul exemplaire connu.
planche 19a
(extrait)
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Parascutella smithiana
(Agassiz,1841)
- Miocène moyen,
Praia de Marinha, entre Cavoeira et albufeira, Algarve, Portugal, 159
mm |
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Genre Parmulechinus
Lambert,1906
dans revue critique de
Paléozoologie, 10, p.63 (faisant référence à Lambert in Doncieux 1905,
Catalogue descriptif des fossiles nummulitiques de l'Aude et de l'Hérault,
p.139)
Espèce type
Stenaster labrei
Lambert,1905,
par désignation originale.
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Oligocène -
Miocène inférieur
syn.
-
Stenaster
Lambert, 1905, non
Billings,1858 ; espèce
type : Stenaster labriei
Lambert,1905, nom indisponible (déjà utilisé pour une espèce à une
Astérie).
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diagnose originale du
genre, par Lambert in Doncieux, 1905 |
Catalogue
descriptif des fossiles nummulitiques de l'Aude et de l'Hérault, p.139
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A côté du petit Porpitella porpita, on trouve dans le Calcaire
à Astéries une plus grande espèce, dont Tournouër a figuré un fragment
(fig.6) et dont M. l'abbé Labrie de Lugasson (Gironde) a bien voulu me
donner un bel individu du Calcaire à Astéries d'Espiet. En voici la
description : Test très déprimé (longueur 23 millimètres, largeur 22,
hauteur 2 1/2), subcirculaire, à bords sinueux en arrière, arrondis en
avant, très faiblement renflé sous les pétales ; marges très étendues
et très minces, avec bord légèrement épaissi. Les ambulacres sont
nettement pétaloïdes, à pétales semblables, très réduits, relativement
assez larges, mais très courts, presque complètement fermés, composés
de pores inégaux, conjugués, les externes allongés, avec zones
interporifères à peu près aussi larges que l'une des zones porifères.
Le périprocte très petit, supramarginal, se relie au bord par une
légère dépression qui n'atteint pas la profondeur d'une véritable
échancrure. Tournouër en avait cependant figuré une sur le fragment
par lui figuré. La face inférieure plane a son péristome arrondi,
central, entouré d'une rosette buccale très apparente, composée de dix
plaques ambulacraires et cinq interambulacraires. Aucune trace de
sillon à la face orale. Tout le test est uniformément couvert de très
petits tubercules scrobiculés, serrés, épars au milieu d'une
granulation un peu inégale. Structure interne inconnue, mais
l'étendue, le peu d'épaisseur des marges et cependant leur résistance
doivent faire supposer l'existence d'un réseau de piliers et de
cloisons, analogue à celui du Scutella germanica.
L'espèce ne peut donc rester confondue avec Porpitella
porpita, car elle n'appartient pas à la même sous-famille et,
malgré l'absence de sillons à la face orale, elle doit être rapprochée
de Praescutella, par conséquent placée dans la sous-famille des
Arachnidae, où elle forme un type bien particulier caractérisé
par ses courts pétales, ses vastes marges, l'absence de sillons et son
périprocte supramarginal. Cette espèce est d'ailleurs trop différente
des autres pour leur être génériquement rattachée et je propose pour
elle un nouveau genre Stenaster en dédiant l'espèce nouvelle à
mon savant correspondant, sous le nom de Stenaster Labriei. |
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Cette espèce offre beaucoup de ressemblance avec le prétendu
Scutella germanica qui n'a pas non plus de vais sillons à la face
orale, présente une forme générale et des pétales semblables et qui en
diffère par son test un peu moins déprimé, son ambitus non sinueux en
arrière, ses amorces de sillons près du péristome et surtout par son
périprocte paraissant plus marginal. Ces différences, très suffisantes
pour légitimer la séparation des espèces, ne me paraissent pas l'être
pour les placer dans des genres distincts et je propose de faire du
Scutella germanica une seconde espèce de Stenaster.
Le genre Scutulum Tournouër ne saurait être confondu avec le
mien, puisque, pourvu à la face inférieure de sillons anastomosés, il
appartient à la sous-famille des Dendrasteridae.
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remarque de Lambert dans la revue critique de paléozoologie, reconnaissant
Stenaster comme nom pré-occupé par une astérie (1910, p.63) |
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Porpitella
Doncieuxi n. sp. me fournit l'occasion de revenir sur la
caractéristique du Genre et de séparer une forme jusqu'ici confondue
avec P. porpita Desmoulins (Cassidulus). Je l'ai placée
dans un Genre nouveau que j'ai nommé Stenaster, ayant perdu de vue que
ce nom avait été donné, dès 1858, par Billings à une Astérie. J'ai
donc immédiatement changé ce terme sur certains exemplaires distribués
en celui de Parmulechinus, dont le type reste P. Labriei
Lambert (Stenaster). |
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Parmulechinus subtetragona
(Grateloup,1836) |
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diagnose originale de
l'espèce par Grateloup, 1836 |
Mémoire de
géo-zoologie sur les oursins fossiles (échinides) qui se rencontrent
dans les terrains calcaires des environs de Dax (département des
Landes), p.139 |
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3.
Scutelle subtétragone,
Scutella subtetragona. Nob.
Sc. planulata, sub-tetragona ; ambitu sinuoso ; ambulacris quinis
brevibus, convexiusculis.
Charmante espèce plus petite que les précédentes avec lesquelles elle
a quelques légers rapports. Elle en diffère en ce qu'elle n'est ni
orbiculaire, ni ovale. Sa forme plutôt quadrilataire ressemble assez à
celle du grand Clypéastre tarbellien que je ferai connaître plus bas.
Les bords sont minces, tranchans et sinueux. Sa surface supérieure est
élégamment parquetée de petites assules ou pièces hexagonales. Cinq
petits ambulacres oblongs, irréguliers, légèremenet proéminents. Il
règne quelquefois un petit sillon longitudinal qui divise la rosette
ambulacraire en deux portions égales.
Loc. Empatée dans les faluns jaunes durcis qui reposent sur la
craie aux environs de Dax. Saint-Gabriel à Montfort. R.
sainte-Marie-de-Gosse. |
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figuré, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Roman, 1990,
L'ancêtre éocène des Scutellidae (Echinoidea, Clypeasteroida), p.41 |
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Parmulechinus
subtetragona
(Grateloup,1836)
- Lutétien,
environs de Biarritz, 49 mm (Coll.C. Chataigner) |
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Genre Scaphechinus
(Agassiz,
1863)
Synopsis of the
echinoids collected by Dr Stimpson, p.359
Espèce type
Scaphechinus mirabilis
Agassiz, 1863,
par désignation originale.
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Pliocène (peut
être Miocène terminal) - Actuel
syn.
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Chaetodiscus
Lütken, 1864, p.172 ; espèce
type : Chaetodiscus scutella
Lütken,1864, synonyme
objectif.
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diagnose originale du
genre, par Agassiz |
Synopsis of the
echinoids collected by Dr W. Simpson on the north pacific exploration
expedition under the commandant of captains Ringold and Rodgers, 1863,
p.359 |
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SCAPHECHINUS Barn. MS.
This genus is closely
allied to Echinarachnius. It has, however, remarkable points of
difference in the small number and great thickness of the walls
joining the two floors, as well as in the mode of branching of the
grooves on the lower surface, which is exactly that of the fossil
genus Scutella. It has the ambulacral rosette of Echinarachnius and
the depression of the interambulacral space on the upper surface of
Arachnoides. |
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Scaphechinus
mirabilis
Agassiz,1863 |
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diagnose originale de
l'espèce, par Agassiz |
Synopsis of the
echinoids collected by Dr W. Simpson on the north pacific exploration
expedition under the commandant of captains Ringold and Rodgers, 1863,
p.359 |
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SCAPHECHINUS MIRARILIS Barn. MS.
Test depressed in interambulacral spaces ; outline somewhat scolloped
; genital openings outside of the pentagon of the centre of the
rosette.
"Seined on sandy shores. The sandy bottom of Hakodadi Bay, (north
side) from 1. w. m. to 1-2 f., is covered so closely with this species
that no space of e square foot can be found free of them. In some
places a boat-hook can not be thrust to the bottom without striking
one. Color above deep purplish crimson, below light olive. The deep
crimson pigment cornes off easily and stains the hand. Hakodadi,
Island of Jesso." — (W. Stimpson.) |
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Scaphechinus
mirabilis
Agassiz,1863
- Pléistocène,
Kioroshi formation, Japon, 46 mm |
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Scaphechinus
mirabilis
Agassiz,1863
- Pléistocène,
Kioroshi formation, Japon, 46 mm |
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Scaphechinus
mirabilis
Agassiz,1863
- Pléistocène,
Narita group, Japon, 72 mm |
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Scaphechinus raritalis
(Nisiyama,1951) |
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description de
l'espèce, par Nixiyama, 1968 |
The echinoid
fauna from Japan and adjacent regions, p.110 |
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Scaphechinus raritalis (Nisiyama,
1951)
Echinarachnius (Scaphechinus) raritalis NISIYAMA, 1951, p. 3,
text-figs. 1-3.-Echinarachnius raritalis NISIYAMA: MORISHITA,
1960, p. 59.-Scaphechinus raritalis (NISIYAMA) NISIY AMA, 1965,
p. 79.
Holotype.-IGPS colI. cat. no. 72978.
Locality and geological horizon.-IGPS loco no.-Ak-51.-Cliff
along the River Sannai, opposite Taya, Iwami-Sannai-mura, Kawabe-gun,
Akita Prefecture (tm Taiheizan, Lat. 39°42'N., Long. 140017'E.). Taya
formation, Mio-Pliocene or late Miocene (HATAI and NAKAMURA, 1940, p.
22.-HATAI and NISIYAMA, 1952, p. 344).
There are six specimens of this species at the writer's
disposal, ranging from 14 mm to 38 mm in longitudinal diameter. The
holotype measures 38 mm in longitudinal diameter, 39 mm in transverse
one, and 6.5 mm in height. Periproct rather large, elliptical in
outline, supramarginal in position; basicoronal row encircled by first
post-basicoronal row of ten large second ambulacral plates (discontinuous
arrangement of the interambulacral plates); oral ambulacral furrows
rather narrow and distinct, bifurcate on median area of the distal end
of basicoronal ambulacral plates.
This species is related to Scaph. griseus (MORTENSEN,
1927), a Recent one from Sakhalin and the northern japan Sea and as
fossil from the Pliocene and Pleistocene of japan, in the
supramarginal position of the periproct and in lacking the depression
of the interambulacral spaces on the aboral surface and a slight
depression around the petaloid area; but is disinguished from that
species in the much thicker marginal area, the eccentric position of
the highest point which is a little nearer to the posterior margin,
and in the larger basicoronal ambulacral and interambulacral plates
and smaller first post-basicoronal ambulacral plates.
This species is the oldest representative of the known
Scaphechinus in japan. The large basicoronal row and small first post-basicoronal
ambulacral plates of this
species being in contrast to the small basicoronal row and large first
post-basicoronal ambulacral plates of the Scaph. mirabilis-griseus-brevis
group are very interesting; because these features may be regarded as
primitive characters and are observable in the young specimens of the
Recent species of the genus.
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Scaphechinus raritalis
(Nisiyama,1951)
- Pliocène,
Miaoli, Taiwan, 17 mm |
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