Stomechinidae
Pomel, 1883
Genre type : Stomechinus
Desor, 1856, p.24
Description succinte de la famille : Système
apical hémicyclique ou dicyclique enserrant un périprocte de petite taille,
quasi circulaire. Ambulacres trigéminés. Phyllodes. Les tubercules primaires
sont de petite taille, non perforés et non crénelés. Leur taille est quasi
similaire entre les ambulacres et les interambulacres.
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Genre
Baronechinus
Vadet, 2005
Les oursins
domériens de la région de Rich (Maroc), p.29
Espèce type
Baronechinus baroni
Vadet, 2005 (désignation originale)
Extension
stratigraphique
(bibliographique, non vérifiée)
: Pliensbachien |
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Baronechinus
baroni Vadet, 2005 |
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syntype, conservé
au Museum d'Histoire Naturelle de Toulouse |
figuré in
Vadet, 2006, Les oursins
Domériens de la région de Rich (Maroc), p.29 |
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Baronechinus
baroni Vadet, 2005,
Pliensbachien, Maroc, 18 mm |
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Baronechinus
baroni Vadet, 2005,
Pliensbachien, Maroc, 18 mm |
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Baronechinus
baroni Vadet, 2005,
Pliensbachien, Maroc, 20 mm |
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Genre
Codechinus
Desor,1856
Synopsis des
échinides fossiles, p.111
Espèce type
Echinus rotundus
Gras,1858 par monotypie
Extension
stratigraphique
(bibliographique, non vérifiée)
: Aptien - Eocène |
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Diagnose originale du genre par Desor |
Synopsis des échinides fossiles, 1856, p.111 |
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Petits oursins renflés, globuleux, à péristome très petit, à zones
porifères larges, les pores étant disposés par triples paires à peu
près horizontales. Tubercules très petits dans les deux aires, à col
lisse et imperforés, sans disposition bien constante, plus nombreux et
plus serrés à la face inférieure qu'à la face supérieure, où ils sont
fréquemment limités aux côtés de l'aire, tandis que le milieu est nu.
Les sututes horizontales des plaques interambulacraires sont aussi
souvent accompagnées d'impressions lisses, tandis que rien de pareil
n'a lieu dans les aires ambulacraires. Point de pores angulaires.
Baguettes inconnues.
On n'en
connaît jusqu'ici qu'une seule espèce de la formation crétacée.
Nota. Par sa forme
élevée et globuleuse, ce genre rappelle les Amblypneustes, mais il en
diffère d'un autre côté par l'absence de pores aux angles des plaques. |
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Codechinus rotundus
(Gras,1848) |
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Diagnose originale de l'espèce par Gras,1848 |
Oursins fossiles du département de l'Isère, p.38 |
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2. E. rotundus (nobis), pl. 5, fig. 7-9. — Diamètre
très-variable de 15 à 50 mm., hauteur 5/6 à 3/4. ; test épais de forme
globuleuse, ressemblant un peu à une orange ; face inf. peu aplatie ;
l'aire ambulacraire est à l'interambulacraire environ comme 11 est à
17, ou comme 7 est à 12. Les zones porifères sont larges à cause de
l'extrême obliquité des paires de pores; chacune d'elles égale en
largeur environ la moitié d'une zone interporifère. Les tubercules,
également gros sur les deux faces, sont bien plus petits que dans les
autres espèces ; ils ne sont pas très-égaux entre eux ; un autre
caractère qu'ils présentent est de ne pas former de files bien
régulières, mais d'être groupés presque irrégulièrement. Dans la zone
interporifére , nombreux et presque confluents à la face inf., on les
trouve en bien moins grand nombre à la face sup. où ils sont placés
surtout le long des zones porifères, de manière que la partie moyenne
en est presque dépourvue. Une disposition semblable s'observe dans
l'aire interambulacraire ; au-dessus de l'ambitus les tubercules y
forment, sur chaque assule, des groupes de cinq à douze, placés
extérieurement près des lignes de pores, de sorte que la partie
moyenne et sup. de cette aire est toute nue ; des miliers de granules
très-égaux, très-fins et très-serrés remplissent tous les espaces
dépourvus de tubercules, en formant un sablé uniforme des plus
élégants. Le parquet des plaques coronales est très-distinct dans
l'aire interambulacraire ; de l'ambitus au sommet, on compte neuf
assoles , les trois sup. sont aussi hautes que larges, les autres, en
conservant à peu près la mérite hauteur, s'élargissent à mesure
qu'elles sont plus inférieures ; bouche peu entaillée. — Chemin de
Rancurel au hameau du Fa. — T. néocomien sup.
Extrait planche
V
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description de l'espèce par Cotteau |
Paléontologie française, terrains crétacés, VII, p.853 |
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N°2691 .
Codechinus rotundus, Desor, 1857.
Pl. 1198.
Espèce
de taille très-variable, circulaire, renflée et subglobuleuse en
dessus, plus étroite et arrondie vers l'ambitus, presque plane en
dessous. Zones porifères larges, droites, régulières, à fleur du test.
Pores petits, s'ouvrant à la base d'un renflement granuliforme assez
apparent, formant trois rangées verticales régulières et disposées
sur chaque plaque par triples paires snb-triangulaires. Les zones
porifères sont garnies en outre de granules homogènes et épars,
identiques à ceux qui couvrent la surface du test. Aires ambulacraires
droites, pourvues de tubercules de petite taille, sub-scrobiculés,
finement mamelonnés, disposés sans ordre, abondants surtout sur le
bord des zones porifères et à la face inférieure où ils sont plus
serrés et paraissent augmenter un peu de volume. Granules
intermédiaires très-fins, abondants, homogènes, tantôt groupés en
cercles autour des tubercules, tantôt se prolongeant en séries
linéaires. Aires interambulacraires garnies de tubercules identiques à
ceux qui recouvrent les ambulacres, comme eux abondants sur le bord
des zones porifères et surtout à la face inférieure, disposés à peu
près au hasard, à l'exception de deux rangées composées de tuber-
cules très-espacés qui occupent le milieu des plaques et s'étendent du
sommet au péristome. Granules interambulacraires fins, abondants,
homogènes, remplissant tout l'espace laissé libre par les tubercules,
et affectant le même aspect et la même disposition que dans les
ambulacres. Plaques coronales très-hautes à la face supérieure, plus
étroites et plus allongées au fur et à mesure qu'elles se rapprochent
du péristome, légèrement bombées au milieu, présentant, dans les
exemplaires les mieux conservés, une série verticale de petites taches
brunes qui correspondent à la rangée principale de tubercules et se
montrent à leur base vers la suture des plaques; ces taches sont sans
doute des vestiges de la couleur que la fossilisation a laissés
subsister. Péristome petit, à fleur du test, sub-pentagonal, muni de
légères entailles; les bords ambulacraires sont sensiblement plus
étendus que ceux qui correspondent aux aires interambulacraires.
Périprocte sub-circulaire. Appareil apicial subpentagonal, granuleux ;
plaques génitales perforées près du bord.
Hauteur, 32 millimètres ;
diamètre, 42 millimètres. Individu jeune : hauteur, 44 millimètres ;
diamètre, 47 millimètres. |
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Rapports et différences.
- Cette curieuse espèce si remarquable par l'ensemble de ses
caractères, sera toujours reconnaissable à sa forme globuleuse, à ses
zones porifères larges et granuleuses, à ses tubercules très-peu
développés, abondants principalement à la face inférieure et sur le
bord des zones porifères, aux granules fins, délicats, homogènes qui
couvrent tout l'espace intermédiaire, à son péristome étroit et
sub-pentagonal, aux taches brunes qui ornent les aires
interambulacraires.
Localités .— Chemin de
Rancurel au Fâ, Le Rimet (Isère). Assez commun. Étage aptien.
Coll. de l'École des
Mines, Musée de Grenoble (coll. A. Gras), coll. Lory, ma collection.
Localité autre que la France.
- Schrattenkalk du Hohe Kasten (Sentis) (M. Desor). Étage aptien.
Explication des figures.
- Pl. 1198 , fig. 4 , C. rotundus,
de la coll. de M. Lory, vu de côté ; fig. 2, face sup. ; fig. 3, face
inf. ; fig. 4, partie sup. des aires ambul. grossie; fig. 5, partie
inf. des aires ambul. grossie ; fig. 6, plaque ambulacraire fortement
grossie ; fig. 7, plaques interambul. grossies; fig. 8, appareil
apicial grossi ; fig. 9, individu jeune, montrant des traces de
coloration, de la coll. de M. Lory, vu de côté; fig. 10, face sup. ;
fig. 14, face inf.
Extrait planche
1198
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Codechinus rotundus
(Gras,1848) - Aptien, Morella, Catalogne, Espagne, 34 mm |
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Genre
Diplechinus
Lambert, 1931
Echinides
fossiles du Maroc, p.15
Espèce type
Diplechinus hebbriensis
Lambert,1931 (désignation originale)
Extension
stratigraphique
(bibliographique, non vérifiée)
: Pliensbachien |
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Diplechinus
hebbriensis Lambert, 1931 |
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description de l'espèce par Lambert,1937 |
Echinides fossiles du Maroc, p.68 |
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DIPLECHINUS HEBBRIENSIS
Lambert
Pl. IV, fig.23.
M.
l'abbé Dubar a retrouvé
à la casba d'Amellago et au Nord-Est d'Amellago, dans le Domérien
supérieur, quelques individus de cette espèce, dont le type est du
Domérien inférieur de Tounat-el-Mariz, décrit et figuré dans ma note
de 1931 (Mém. n°17, p. 16, fig. 12, pl. I, fig. 14, 15).
Les
plus grands sont bien conformes à ce type ; mais il est intéressant de
constater que le dédoublement des pores en dessus était beaucoup plus
faible chez les jeunes au diamètre de 14 millimètres. Les majeures ont
même leurs pores plutôt pseudotrigéminés que les bigéminés chez un
plus jeune individu de 11 millimètres de diamètre.
On
trouve chez cette espèce, dans le développement progressif du
dédoublement des pores, des états successifs semblables à ceux déjà
observés chez des Stomechinien plus récents. On sait, en effet, que
les très jeunes Stomechinus Robineaui
Cotteau du Rauracien,
observés par le regretté docteur
Séguin, ont leurs pores
presque simples et même simples au diamètre 5 millimètre et
au-dessous. Si l'on n'était pas en présence de séries d'individus
reliant les jeunes aux adultes, on aurait pu faire de ces jeunes des
Prionechinus !
Extrait planche
IV
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syntype, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert, 1931,
Echinides du Lias du Moyen-Atlas marocain, p.16 |
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figuré, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert, 1937,
Echinides fossiles du Maroc, p.68 |
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figuré, conservé
au Musée d'Histoire Naturelle de Toulouse
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figuré in
Vadet, 2006, Les oursins
Domériens de la région de Rich (Maroc), p.31 |
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Diplechinus
hebbriensis Lambert, 1931,
Pliensbachien, Amellago, Maroc, 39 mm |
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Diplechinus
hebbriensis Lambert, 1931,
Pliensbachien, Maroc, 22 mm |
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Diplechinus
hebbriensis Lambert, 1931,
Pliensbachien, Maroc, 22 mm |
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Genre
Echinotiara
Pomel,1883
Classification méthodique et genera des échinides vivants et fossiles, p.82
Espèce type
Echinodiadema bruni
Cotteau,1869 (désignation originale)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Toarcien -
Maastrichtien
Syn.
-
Echinodiadema
Cotteau, 1869,
p.142 (non Verrill,
1867).
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Leioechinus
Kier, 1972,
p.48 ; espèce type : Leioechinus namus
Kier,1972 ; synonyme subjectif plus récent.
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Diagnose originale du genre par Pomel |
Classification méthodique et généra des échinides vivants et fossiles, 1883,
p.82 |
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Echinotiara (Echinodiadema Cott. non Verr.). globuleux. Zones
porifères formées de pores trigéminés à paires en série un peu
flexueuse, peu serrées, à peine étalées vers le péristome. Celui-ci
assez grand, subdécagonal, à lèvres ambulacraires droites et beaucoup
plus longues que les autres, séparées par de faibles entailles.
Tubercules petits, lisses, peu mamelonnés, formant deux rangées
primaires sous chaque aire, des secondaires sporatiques dans les
interambulacres, au milieu d'une fine granulation. Les sutures
visibles sur les plaques ambulacraires. E. Bruni Cott. est oxfordien. |
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Echinotiara microcyphus
(Wright,1857) |
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Diagnose originale du genre par Wright,1857 |
British fossil Echinodermata from the Oolitic formations, p.213 |
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Stomechinus
microcyphus, Wright, nov. sp. PI. XV, fig. 1 a, b.
Test circular,
hemispherical, with a flat base ; ambulacral areas with four rows of
tubercles, diminishing to two on the upper surface ; inter-ambulacral
areas with ten rows of tubercles at the equator, irregularly disposed
on the plates, and a median depression in the line of the centro-suture
; poriferous zones wide, the pores in oblique ranks of threes, and
between each file two small granules regularly disposed.
Dimensions.—Height,
six tenths of an inch ; transverse diameter, nearly one inch.
Description.—The
modern generic divisions of the family Echinid^e often repose upon
characters which undergo many phases of development in the different
species ; and thus it sometimes happens, as in the urchin now under
consideration, some of the species approach, in their ensemble, nearer
to aberrant forms of an allied genus than to the one to which they are
referred.
This form certainly very
much resembles a large Polycyphus Normannus, Desor ; although
the state of conservation of the test, and the concealment of the base
by adherent rock, prevents that amount of examination so necessary for
a critical diagnosis ; still, however, the specimen exhibits such a
group of characters, that I have placed it in the genus Stomechinus
for the following reasons: 1st, The size of the body; 2d, the
thickness of the test ; 3d, the irregular arrangement of the tubercles
on the inter-ambulacral plates ; and 4th, the absence of a median
depression in the inter-ambulacra.
The ambulacral areas (fig.
1 b) have four rows of tubercles at the equator, two marginal
rows placed on the extreme borders of the area, and two inner rows
near the sutural line ; the tubercles all alternate with each other
(fig. 1 b), and the two inner rows disappear at the upper
surface.
The poriferous zones are
wide ; the pairs of pores are disposed in oblique ranks of threes,
rather widely asunder (fig. 1 b), and between each rank two
small tubercles are developed, which separate them from each other
throughout the zones (fig. 1 b), so that there is only one
trigeminal rank of pores opposite each large inter-ambulacral plate.
The inter-ambulacral
segments are twice the width of the ambulacral ; the centrosuture is
very distinctly marked, but there is no median depression, and the
division of the test into fifteen lobes, so characteristic of
Polycyphus, is not seen in this form ; each of the large plates in
general supports four or five tubercles, which are rather irregularly
disposed on its surface (fig. 1 b) ; they have narrow, ring-like
areolas around their base, encircled by rows of small granules (fig. 1
b), invisible to the naked eye, and only seen with a lens ; the
inter-ambulacra have therefore ten rows of tubercles at the equator ;
the third tubercle from the poriferous zones represents the principal
row, which is continuous from the base to the disc ; but the other
lateral rows disappear at different points between the circumference
and the vertex.
The apical disc is
unfortunately absent, and the base is adherent to a hard shelly
fragment of the Great Oolite limestone, which cannot be removed
without, at the same time, detaching the shell. In this remarkable
formation, the Oolitic grains are indented into the plates of the test
of the Echinodermata, as well as into the shells of the Mollusca and
unless the specimen separates readily from the matrix, it is almost
hopeless to expect to remove it without so much injury to the
sculpture as will render its determination doubtful, or even
impossible. For this reason I have been unable to expose the base of
this beautiful rare form. |
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Affinities and
differences.—The nearest affinities of this species is with
Polycyphus Normannus, Desor; but it has a much thicker test, the
inter-ambulacral tubercles are proportionately smaller and more
irregularly disposed, and they have circles of granules around their
areolas; the segments are not divided into lobes by median depressions;
the poriferous zones are wide and only slightly depressed, and the
trigeminal ranks of pores are separated by small tubercles : all these
diagnostic characters show how distinct Stomechinus microcyphus
is from Polycyphus Normannus, when a critical comparison is
made between these two urchins, which are often found in the same bed.
I know of no other form for which our species could be mistaken.
Locality and
Stratigraphical position.—This beautiful urchin is one of the many
exquisite fossils collected by my friend Mr. Lycett, from the Great
Oolite of Minchinhampton Common. It occurs in the shelly beds of
limestone at the large quarry, and is the only specimen found by him,
after many years' diligent search, in his favorite localities.
I have one small specimen
of the same urchin, collected from the Great Oolite of Ranville,
Calvados, by M. Tesson, in which the apical disc is preserved. It is
small and prominent; the genital plates are nearly equal-sized, the
right anterior plate is the largest, and the spongy madreporiform body
occupies all the surface of that plate ; the oculars are small, and
deeply indented where they receive the apex of the ambulacra ; the
genital holes are perforated about the outer third of the plates ; the
vent is oblong, and its long diameter lies obliquely across the test.
It is doubtless a rare urchin in France, as none of the systematic
authors make mention of it ; or it may be that it has hitherto been
confounded with Polycyphus Normannus.
Extrait planche
XV
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Echinotiara microcyphus
(Wright,1857) - Bathonien, Luc-sur-Mer, Calvados, 11 mm |
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Echinotiara
perebaskinei Lambert
in Lambert & Perebaskine,1930 |
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Diagnose originale de l'espèce par Lambert, 1930 |
Note
sur quelques échinides du Soudan, p.471 |
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Echinotiara Perebaskinei
Lambert. Cette espèce diffère sensiblement du type bathonien du
genre ; elle rappelle plutôt la physionomie générale du
Echinopedina Ameghinoi de
Loriol (Stereopedina), mais aucun rapprochement ne peut
être établi entre ces deux Echinides, l'espèce du Soudan ayant ses
tubercules imperforés.
Test de moyenne taille, mesurant 37 mill. de diamètre
sur 18 de hauteur, de forme hémisphérique, circulaire, rarement
subpentagonale. Apex c a d u c ; péristome médiocrement développé (11
mill.), subcirculaire, pourvu de faibles entailles. Ambulacres droits,
formés de majeures à trois éléments avec pores à peine
pseudotrigéminés près du péristome, en séries presque droites à
l'ambitus et droites en dessus ; deux rangées de 17 tubercules
ambulacraires qui diminuent de grosseur près du péristome et en dessus
s'atténuent au point de devenir granuliformes. Interambulacres portant
deux rangées régulières principales formées de douze tubercules assez
saillants, bien mamelonnés, lisses, imperforés, un peu plus développés
et moins serrés que ceux des ambulacres ; deux rangées adambulacraires
de tubercules secondaires dont les six de l'ambitus sont à peine moins
gros que les tubercules principaux ; ils alternent avec quelques
autres tubercules bien plus petits contigus aux zones porifères ;
au-dessous de l'ambitus, ces tubercules secondaires diminuent
sensiblement de grosseur et ils disparaissent complètement en dessus ;
dans la zone médiane il y a vers l'ambitus quelques rares petits
tubercules qui ne forment pas de rangées. Granules très rares,
inégaux, ne formant pas de cercle régulier autour des scrobicules ;
ils sont limités dans les ambulacres à un petit nombre sur la zone
médiane. Radióles en petites baguettes cylindriques d'apparence lisse
; anneau saillant, haute collerette très finement striée au long comme
le reste de la tige aciculée, avec pointe obtuse. Ceux de la face
orale mesurent environ 9 mill. de long ; ceux de l'ambitus étaient
sensiblement plus longs, mais aucun n'est entier.
Chez un jeune, à la taille de 17 mill. de diamètre et 7
de hauteur, les pores sont en séries simples jusqu'au péristome, les
tubercules sont déjà relativement très développés, mais moins nombreux
dans chaque série, et dans l'interambulacre il n'y a pas encore de
rangées secondaires, seulement au-dessous de l'ambitus quelques
granules mamelonnés adambulacraires.
Par l'ensemble de ses caractères, surtout par la
disposition de ses pores, l'espèce rentre bien dans notre Section des
Orthoporidae dans fossettes de la Tribu Prionechinidae L
L'absence de pseudo-fossettes elles-mêmes exclut les genres
Leplopleurus, Paradoxechinus, etc. Quant au genre
|
|
Prionechinus, destiné à comprendre de très petites espèces, à
petits tubercules et dont le type (P. sagitter) est pourvu de
radioles finement barbelés, il ne nous a pas paru possible d'y
introduire notre Echinide du Soudan. Celui-ci rentre au contraire
assez exactement dans le genre Echinotiara dont nous avions
fait un Triplechininae dans notre Essai de Nomenclature,
p. 237, parce que nous le considérions comme intermédiaire entre les
Orthoporinae sans fossettes et le groupe des Stoméchiniens. Ce
point de vue est exact, mais par la disposition de ses pores en séries
droites, à peine échelonnés près du péristome et par le caractère de
ce dernier, dépourvu de profondes entailles, le genre Echinotiara
n'est pas réellement un Triplechinidae. Il est mieux à sa place
parmi les Prionechinae.
Echinotiara Perehaskinei est d'ailleurs bien
différent spécifiquement du type du genre, E. Bruni
Cotteau , du Bathonien,
dont les tubercules, surtout les secondaires, sont moins développés et
les ambulacraires irréguliers, remplacés sur beaucoup de majeures par
des tubercules granuliformes. Ces différences m'ont d'ailleurs paru
insuffisantes pour légitimer un genre nouveau, alors surtout que cette
irrégularité dans le développement des tubercules ambulacraires peut
être assimilée à leur atténuation au voisinage de l'apex chez E.
Perehaskinei et qu'elle s'observe déjà chez un autre
Echinotiara. encore inédit du Bathonien du Gebel Moghara.
Localités. Calcaires inférieurs à Libycoceras,
Maestrichtien ; les types de l'Oued Tarinkat le jeune de Tchi-Dermine,
d'autres de l'Oued Tinamassine.
Extrait planche
XXXVIII
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syntypes,
conservés au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figurés in
Lambert, 1930,
Note
sur quelques échinides du Soudan, p.471 |
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figurés, conservés
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figurés in
Demnard & Neraudeau, 2001,
L'utilisation des oursins fossiles de la préhistoire à l'époque
gallo-romaine, p.693 |
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Echinotiara
perebaskinei Lambert
in Lambert & Perebaskine,1930,
Maastrichtien, Jebal Rawdah, Sultanat d'Oman, 29 mm
coll. Joaquín Espílez |
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Echinotiara
perebaskinei Lambert
in Lambert & Perebaskine,1930,
Maastrichtien, Oman, 26 mm |
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Echinotiara
perebaskinei Lambert
in Lambert & Perebaskine,1929,
Maastrichtien, Djebel Rawdah, Hatta, Oman, 20 mm |
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Genre
Magnosia
Michelin,1853
Description de
quelques nouvelles espèces d'Echinodermes fossiles, p.34
Espèce type
Echinus nodulosus
Goldfuss,1826 (désignation originale)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Bajocien -
Aptien
Syn.
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Description du genre par Cotteau |
Paléontologie française, terrain crétacé, p.798 |
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27e Genre.
Magnosia, Michelin, 1853
Echinus
(pars), Munster, 1826. - Arbacia (non Gray), Agassiz, 1836. -
Magnosia, Michelin, 1853.
Test de petite taille, circulaire, renflé en dessus, presque plane en
dessous. Zones porifère droites, composées de pores simples,
semultipliant d'une manière très-apparente autour du péristome.
Tubercules ambulacraires et interambulacraires à peu près d'égale
grosseur sur chacune des aires, imperforés et non crénelés, petits,
abondants, serrés, homogènes, augmentant un peu de volume à la face
inférieure, formant des rangées verticales et obliques. Péristome
très-grand, enfoncé, sub-circulaire, muni d'entailles apparentes.
Appareil apicial solide, étroit, granuleux, en forme d'anneau.
Radioles inconnus.
Rapports et différences.
- Le genre Magnosia offre, dans son aspect général, dans
l'arrangement de ses pores ambulacraires et interambulacraires, dans
la forme et l'étroitesse de son appareil apicial, beaucoup de
ressemblance avec le genre Cottaldia ; il s'en distingue
nettement par ses pores très-nombreux à la face inférieure, et surtout
par son péristome enfoncé, sub-pentagonal, très-largement ouvert.
Les
espèces qui composent le genre Magnosia avaient été placées,
dans l'origine, par M. Agassiz parmi les Arbacia. Nous avons
cherché à démontrer, dans nos Echinides de l'Yonne (1), que le
genre Arbacia, tel qu'il a été compris par M. Agassiz, repose
sur une erreur et ne saurait par cela même être conservé dans la
méthode. Le genre Arbacia fut institué, 1835, par M. Gray (1)
pour un groupe d'espèces vivantes, dont M. Des Moulins, de son côté,
quelques mois auparavant, venait de faire le genre Echinocidaris.
Ce dernier genre avait l'antériorité, et M. Agassiz n'hésita pas à
l'accepter, mais il eut le tort |
|
d'attribuer ce même nom d'Arbacia
à une série de petits oursins entièrement distincts (2), et que M.
Gray n'avait jamais eu l'intention de comprendre dans le genre qu'il
avait créé. Frappé des inconvénients qu'il y aurait à laisser dans la
méthode un nom de genre ainsi détourné de son acception primitive, M.
Desor dans le Synopsis des Echinides fossiles, ainsi que
l'avait déjà fait Forbes, supprima entièrement le genre Arbacia,
et fit rentrer les espèces dont il se composait dans les genres
Cottaldia, Glyphocyphus, Magnosia et Psammechinus.
A l'exemple de M. Desor, nous réunissons aux Magnosia le genre
Eucosmus de M. Agassiz, remarquable par l'étroitesse des aires
ambulacraires qui paraissent garnies d'une seule rangée sub-flexueuse
de tubercules. Ce caractère, que nous avons déjà signalé chez
certaines espèces d'Hemicidaris, de Glyphocyphus, d'Echinocyphus
ne nous paraît pas suffisant pour motiver l'établissement d'une coupe
générique particulière.
Le
genre Magnosia ne renferme qu'un petit nombre d'espèces toutes assez
rares. Il commence à se montrer dans les couches inférieures du
terrain jurassique et disparaît avec les assises supérieures de
l'étage néocomien.
(1) Proceedings Zoolog. Societ.,
part. III, p.58, Lond., 1835.
(2) Agassiz, Prod. d'une monog. des
radiaires, Mém. Soc. des sc. nat. de Neuchatel, t. I, p. 190. -
Id., desc. des Echin. foss. de la Suisse, p.94. - Agassiz et
Desor, Catal. rais. des Ech., Ann. sc. nat., 3e série, t. VI,
p.355.
(3) Desor., Synops des Ech. foss.,
p. 113. |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851) |
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Diagnose originale de l'espèce par Wright |
On
the cidaridae of the oolites, , p.29 |
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Arbacia
Forbesii, Wright, n.s. Pl. VI. fig. 4 a, b, c.
Test
hemispherical ; ambulacral areae narow, with four rows of small
tubercles ; interambulacral areae wide, divided by deep median
depressed lines, and covered with from twenty to thirty rows of small
nearly equal-sized tubercles.
Height
9/20ths of an inch, transverse diameter 15/20ths of an inch.
Description. - The test of this beautiful little Urchin is divided
into fifteen unequal lobes ; five of these are narrow and form the
ambulacral, and ten are wider, forming the divided interambulacral
areae, which present an unusual appearance, having a median furrow
descending down the centre of the areae and dividing them into two
equal convex conival lobes ; the surface of the areae is thickly
studded with small smooth tubercles ; at the widest part there are
from twenty-five fo thirty rows ; the number of these diminish at the
apex and base, the basal tubercles ar however larger than the others ;
the ambulacral areae are narrow and of a nearly uniform width ; they
are furnished with four rows of small tubercles similar to those
occupying the interambulacral areae ; they are in fact so closely set
together that the plates are invisible, so that the test presents only
a univorm granulated surface ; the avenues are straight, narrow, but
well defined ; the pores are closely arranged in simple paires ; the
base is concave and the |
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tubercles in
this region are larger ; the mouth presents almost a pentagonal form
in consequence of the wide straight arch marde by the margin over the
ambulacra and the small angles which the shallow notches make in the
interambulacra ; the apical disc is narrow and prominent ; the
madreporiform is larger than the pairs of ovarial plates, and the
oculars are small, but apparently soldered into the angles formed by
the ovarials.
Affinities and differences. - The greater number and the
diminished size of the tubercles, with the deep median furrow down the
centre of the interambulacral areae, serve to distinguish A.
Forbesii from A. nodulosa : as they are the only two forms
of this genus hitherto found in our Oolites, these characters form a
good diagnosis.
Locality and stratigraphical range. - This Arbacian was
collected from the upper beds of the Inferior Oolite near Dundry, and
we only know it from that locality. I have dedicated this species to
Prof. Edward Forbes, to whose genius, talents, and learning natural
history is so largely indebted.
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Description de l'espèce par Desor |
Synopsis des échinides fossiles, p.115 |
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Forbesi Syn. Arbacia Forbesi Wright, Cidarid. in Ann. and Magaz. of
Nat. Hist. Vol. VIII, p.38, Tab. XIII, fig. 4. Espèce de moyenne
taille ; les aires ambulacraires sont distinctement divisées en deux
lobes par un sillon profond et évasé, chaque lobe plus large que l'are
ambulacraire. Celle-ci ne porte que quatre rangées de tubercules,
tandis que les aires interambulacraires en comptent de vingt-quatre à
trente.
Grande Oolite (Bathonien) de Dundry. Rare.
Coll. Wright. |
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Magnosia
forbesi
FORMES BASSES |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851),
Bajocien, Maroc, 23 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851),
Bajocien, Maroc, 18 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851),
Bajocien, Maroc, 26 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851),
Bajocien, Maroc, 10 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851),
Bajocien, Maroc, 14 mm |
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Magnosia
forbesi
FORMES de GRANDE TAILLE, HAUTES et/ou sub-coniques |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851), Bajocien,
Maroc, 28 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851), Bajocien,
Maroc, 29 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851), Bajocien,
Maroc, 30 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851), Bajocien,
Maroc, 32 mm |
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Magnosia
forbesi
FORMES GEANTES, PYRIFORMES |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851), Bajocien,
Maroc, 49 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851), Bajocien,
Maroc, 51 mm |
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Magnosia
forbesi
(Wright,1851), Bajocien,
Talsinte, Maroc, 52 mm |
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Magnosia globulus
Cotteau,1866 |
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Description de l'espèce par Cotteau |
Paléontologie française, terrains crétacés, échinides réguliers, tome VII,
p. 804 |
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N° 2597.
- Magnosia globulus, Cotteau,1866
(Desor,
1846).
Pl.
1196, fig. 1-5.
Espèce de taille relativement assez forte, sub-circulaire,
médiocrement renflée en dessus, tout à fait plane en dessous. Zones
porifères composés de pores simples, petits, directement superposés à
la face supérieure, paraissant se multiplier autour du péristome.
Aires ambulacraires étroites à la partie supérieure, s'élargissant
seulement aux approches de l'ambitus, garnies de petits tubercules
serrés, homogènes, augmentant de volume près du sommet et dans la
région infra-marginale, formant vers l'ambitus six rangées assez
distinctes qui disparaissent au fur et à mesure qu'elles s'élèvent.
Deux de ces rangées, sensiblement plus développées que les autres et
placées sur le bord des zones porifères, occupent seules l'aire
ambulacraire à la face supérieure. Aires interambulacraires pourvues
de tubercules à peu près identiques à ceux qui recouvrent les
ambulacres, disposées en séries verticales et horizontales assez
régulières. Les deux rangées qui bordent la zone miliaire persistent
seules jusqu'au sommet et augmentent de volume d'une manière
très-prononcée à leur partie supérieure, vers l'ambitus et dans la
région'infra-marginale, les tubercules sont plus petits, plus
nombreux, moins régulièrement disposés et les rangées horizontales se
recourbent vers le milieu de l'interambulacre. Granules intermédiaires
très-petits, espacés, formant le plus souvent des lignes horizontales
qui alternent avec les séries de tubercules. Zone miliaire distincte,
droite, un peu déprimée, disparaissant vers l'ambitus. Péristome grand
et enfoncé. Périprocte sub-pentagonal. Appareil apicial étroit,
annulaire, subgranuleux, moins saillant que le reste du test; plaques
ocellaires petites, allongées, visiblement perforées.
Hauteur, 7 millimètres; diamètre, 16 millimètres.
Rapports et différences.
Le M. globulus, tel que nous venons de le caractériser, nous
parait constituer un type particulier, reconnaissable à sa taille plus
développée qu'elle ne l'est ordinairement chez les Magnosia du
terrain
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crétacé, à
set ambulacres très-étroits et n'offrant à la face supérieure que deux
rangées de tubercules, à ses tubercules ambulacraires et
interambulacraires augmentant sensiblement de volume près du sommet.
Histoire. — Décrite et
figurée pour la première fois par A. Gras, sous le nom d'Arbacia
globulus, cette espèce a été réunie par M. Desor au Magnosia
pilos ; elle nous a paru s'en distinguer par plusieurs caractères,
et en la laissant dans le genre Magnosia, nous lui avons rendu
le nom de globulus.
Localité. — Fontanil
(Isère). Très-rare. Néocomien inférieur.
Musée de Grenoble (Coll. A. Gras).
Explication des figures.
— PI. 4196, fig. 1, M. globulus, du Musée de Grenoble, vu de
côté; fig. 2, face sup.; fig. 3, face inf.; fig. 4, aire ambul.
grossie ; fig. 5, aire interambul. grossie.
planche 1195 (extrait)
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Magnosia globulus
Cotteau,1866
- Berriasien-Valanginien, Safi, Maroc, 13 mm |
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Magnosia pilos
Agassiz in Agassiz & Desor,1846 |
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Diagnose originale de l'espèce par Agassiz, 1847, p.256 |
Catalogue raisonné des échinides vivans et fossiles |
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Pilos Agass. - Q 47. -
Cat. syst. p. 12. - Echin. suiss. II, p. 94. Tab. 23, fig. 32-36.
Néoc.
du canton de Neuchâtel. - Mus. Neuchâtel. |
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Description de l'espèce par Cotteau |
Paléontologie française, terrains crétacés, échinides réguliers, tome VII,
p. 801 |
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N° 2596.
- Magnosia pilos, Desor,1856
(Agassiz,
1840).
Pl.
1195, fig. 10-16.
Q. 47.
Espèce de petite taille, sub-pentagonale, haute et renflée, plane en
dessous, sub-anguleuse et coupée à angle presque droit vers le
pourtour. Zones porifères composées de pores simples, directement
superposés à la face supérieure, se multipliant d'une manière sensible
autour du péristome. Aires ambulacraires légèrement renflées, garnies
de petits tubercules serrés, homogènes, augmentant un peu de volume à
la face inférieure ; deux rangées, un peu plus apparentes que les
autres, sont placées de chaque côté des ambulacres et persistent du.
sommet au péristome. Des granules microscopiques sont épars çà et là
au milieu des tubercules. Aires interambulacraires pourvues de
tubercules à peu près identiques à ceux qui recouvrent les ambulacres,
augmentant comme eux de volume à la face inférieure, et formant,
au-dessus de l'ambitus, quatorze à seize rangées verticales qui
disparaissent au fur et à mesure qu'elles s'élèvent vers le sommet.
Ces tubercules sont en outre disposés en séries horizontales
régulières qui se recourbent légèrement vers le milieu de l'interambulacre.
Granules intermédiaires rangés le plus souvent en lignes horizontales
qui alternent avec les séries de tubercules. Zone miliaire plus ou
moins distincte, droite, granuleuse, sub-déprimée, bordée de deux
sériés de tubercules. Plaques coronales étroites, allongées,
recourbées comme les rangées horizontales de tubercules. Péristome
grand, enfoncé, pentagonal, marqué d'entailles apparentes; le bord qui
correspond aux aires ambulacraires est très-étendu, sub-onduleux,
presque droit; les bords interambulacraires, au contraire, se
réduisent à une languette étroite et aigue ; de là l'aspect pentagonal
du péristome. La face supérieure n'est pas parfaitement conservée dans
les exemplaires que nous avons sous les yeux; d'après la description
et les figures données par Agassiz, l'appareil apicial est très-petit;
les plaques ovariales sont échancrées en dehors et percées d'un trou
assez apparent près du sommet ; les plaques ocellaires sont en forme
de petits triangles.
Hauteur, 7 millimètres; diamètre, II millimètres.
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Le M. pilos présente quelques variétés dans sa forme : le type
(Q. 47) est élevé, renflé, sub-hémisphérique et presque circulaire au
pourtour. L'individu que nous avons fait figurer et qui nous a été
communiqué par M. Renevier, est moins élevé, plus conique en dessus,
plus pentagonal à l'ambitus; il présente du reste la même disposition
dans ses tubercules et ne saurait être distingué du type.
Rapports et différences.
— M. Desor réunit, dans le Synopsis des Échinides fossiles, le M.
globulus du terrain néocomien inf. de l'Isère au M. pilos. Nous
avons sous les yeux le type du M. globulus; il nous parait se
distinguer nettement de l'espèce qui nous occupe par sa taille plus
grande, sa face supérieure moins renflée, ses ambulacres plus étroits,
ses tubercules plus gros, plus espacés, formant deux rangées seulement
sur les aires ambulacraires.
Localités. — Mauremont
(canton de Vaud); Bovaresse, Val de Travers (Suisse).Très-rare.Néocomien
sup. (urgonien).
Musée de Neuchâtel,. con. Renevier, Gilliéron.
Explication des figures.
- Pl. 1195, fig. 10, M. pilot, de M. Renevier, vu de côté ; fig. 11,
face sup.; fig. 12, face inf. ; fig. 13, aire ambul. grossie ; fig.
14, aire interambul. grossie ; fig. 15, modèle en plâtre du type de
l'espèce, de la coll. de l'École des Mines, vu de côté ; fig. 16, face
sup.
planche 1195 (extrait)
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Magnosia pilos
Agassiz in Agassiz & Desor,1846
- Aptien, Rubielos de Mora, Teruel, Espagne, 11 mm |
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Magnosia pilos
Agassiz in Agassiz & Desor,1846
- Aptien, Rubielos de Mora, Teruel, Espagne, 11 mm |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931 |
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Diagnose originale de l'espèce par Lambert,1931, p.19 |
Etude sur les échinides fossiles du Nord de l'Afrique. |
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Magnosia
Termieri LAMBERT.
Pl. 1, fig.
17,18.
Espèce de taille relativement grande, mesurant 36 mm. de diamètre sur
32 de hauteur, très haute, subglobuleuse, à test mince. Face
inférieure un peu rétrécie, en partie occupée par un large péristome.
Apex inconnu. Ambulacres très étroits, à zones porifères simples et
pores ne paraissant pas se multiplier près du- péristome ; ils sont
ornés, à la face orale, de deux rangs de petits tubercules mamelonnés,
incrénelés et imperforés ; au-dessus et jusqu'à l'apex il n'y a plus
que de très petits tubercules granuliformes, nombreux, serrés,
irréguliers, ne formant pas de rangées verticales et au nombre
d'environ trois par primaire. Dans les interambulacres, marqués d'une
dépression médiane, les tubercules forment, à la face orale près du
péristome, des rangées transverses d'environ 2'1, semblables à ceux de
la base des ambulacres ; puis, dès le dessous de l'ambitus, ces
tubercules diminuent brusquement de volume, deviennent granuliformes,
lins, serrés, très homogènes, ne formant pas de rangées distinctes,
plutôt disposés en quinconce ; au-dessus de l'ambitus les tubercules
granuliformes très petits, mais toujours mamelonnés, incrénelés et
imperforés tendent à constituer des rangées transverses, qui peuvent
atteindre pour une aire le nombre de 50 tubercules •, ces tubercules
sont entremêlés de rares granules microscopiques et l'on n'observe pas
de rangées principales distinctes.
Par sa taille, l'étroitesse de ses ambulacres, le nombre et la finesse
de ses tubercules granuliformes, cette espèce se distingue facilement
de tous ses congénères. M. gigantea
Fourteau de l'Aptien
d'Égypte est moins haut, plus hémisphérique ; ses ambulacres sont plus
larges; ses tubercules sont moins hétérogènes, plus gros et moins
serrés en dessus, plus petits sur la face orale. Mon M. Bruni du
Bajocien du Var est plus petit, sa
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base plus
large, et ses tubercules sont aussi plus homogènes. M. aalensis
Talbot-Paris a ses
tubercules bien moins nombreux dans chaque rangée transverse et plus
espacés, en sorte que cette espèce, pour ainsi dire nominale , ne
saurait être rapprochée du M. Termieri.
Par sa physionomie générale l'espèce rappelle un peu à la fois les
Codiopsis et le Gymnodiadema, mais G. choffati
de Loriol, du Callovien
du Portugal, en diffère profondément par la hauteur bien plus grande
de ses plaques coronales, ses tubercules perforés et autrement
disposés à la face orale. Quant aux Codiopsis, il n'y a en
réalité aucun rapport entre leur aspect nu résultant de la chute de
leurs tubercules radioliformes et celui de notre Magnosia dû à
la finesse de tubercules stables.
M. Henri Termier a recueilli cette très intéressante espèce au N du
Bureau de l'Oued Ali, rive gauche de l'Oued Chegg-el-Ard, dans une
couche dont je chercherai ultérieurement à préciser le niveau (voir p.
22).
Extrait de la
planche 1
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syntype, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert, 1931,
Etude
sur les échinides fossiles du Nord de l'Afrique, p.19 |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931, Bajocien,
Imouzzer, Guersif, Maroc, 51 mm |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931, Bajocien,
Talsinte, Maroc, 30 mm |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931, Bajocien,
Guercif, Maroc, 26 mm |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931, Bajocien,
Talsinte, Maroc, 29 mm |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931, Bajocien,
Talsinte, Maroc, 33 mm |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931, Bajocien,
Talsinte, Maroc, 25 mm |
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Magnosia
termieri
Lambert,1931, Bajocien,
Talsinte, Maroc, 35 mm |
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Genre
Polycyphus
Desor in
Agassiz & Desor,1847
Catalogue raisonné des
échinides
Espèce type
Polycyphus normannus
Desor,1847 (désignation originale)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Jurassique
moyen et supérieur |
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Diagnose originale du genre par Agassiz |
Catalogue raisonné des échinides, 1847 |
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XXVII.
POLYCYPHUS Agass.
Oursins de petite taille, à tubercules uniformes sur toute la surface
du test. Bouche grande, pentagonale. Pores disposés par triples paires
obliques. C'est le seul caractère qui les distingue des Arbacia.
Toutes les espèces sont fossiles, des terrains oolitiques et crétacés. |
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Polycyphus
normannus
Desor
in Agassiz & Desor,1847 |
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Diagnose de l'espèce par Desor |
Synopsis des échinides fossiles, p.117 |
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Polycyphus Normannus (Tab. XIX, fig. 4-6).
Syn.
Polycyphus nodulosus Agass. Catal. rais. p. 57, Tab. XV, fig. 18
et 18 a. - Arbacia nodulosa Wright, Cidarid. in Ann. and Magaz.
of Nat. Hist. Vol. VIII, p.39, Tab. XIII, fig. 3. Petit oursin
subconique. Quatre rangées de tubercules ambulacraires et au moins
quatorze d'interambulacraires, formant des séries ascendantes
obliques, entre lesquelles se remarquent de plus petits granules.
M.
43. S. 1.
Grande Oolite (Bathonien) de Ranville, Luc, de Stevenhampton.
Coll. Deslongchamps, Michelin, Hébert, Wright. Assez abondant. |
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Polycyphus
normannus
Desor
in Agassiz & Desor,1847,
Bathonien supérieur, Calvados, 15 mm |
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Genre
Psephechinus
Pomel,
1883
Classification
méthodique et genera des échinides vivants et fossiles, p.81
Espèce type
Stomechinus michelini
Cotteau in Cotteau &
Triger,1857 (désignation originale)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Jurassique
moyen
Syn.
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Diagnose du genre par Pomel, 1883, p.81 |
Classification méthodique et genera des échinides vivants et fossiles |
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Psephechinus.
Diffère du précédent par les paires de pores formant un seul échelon
sur chaque plaque ambulacraire, et par les tubercules bien plus
homogènes, plus régulièrement sériés transversalement. Des mêmes
terrains : S. Greslyi, gyratus, semiplacenta, etc., sont
jurassiques ; P. Pilleti (Cott. sub Psammechinus) est
néocomien. |
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Psephechinus
daguini
(Lambert,1933)
Cette espèce
devrait pouvoir être mise en synonymie avec P. quoniami
(Gauthier,1903),
extrèmement similaire et serait donc un syn. subj. plus récent |
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Diagnose de l'espèce par Lambert, 1933, p.50 |
Echinides fossiles du Maroc |
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STOMECHINUS DAGUINI
LAMBERT (nov. spec.).
Pl. I, fig. 21; pl. III, fig. 5.
M. le professeur Daguin a bien voulu me communiquer trois Échinides
recueillis par M. Célérier dans la région d'Engil et appartenant à des
Stoméchiniens.
L'un d'eux mesure 40 millimètres de diamètre sur 30 de hauteur ; son
péristome pentagonal, très développé, est large de 20 millimètres et
muni de profondes scissures interambulacraires. La forme générale du
test est plutôt arrondie que subpentagonale, la face supérieure plutôt
subhémisphérique que subconique, la face orale plane, un peu déprimée
vers le péristome. Dans les ambulacres, les pores se multiplient
beaucoup près de ce péristome dont le cadre est plus largement formé
par les aires ambulacraires que par les interambulacraires ; ils y
deviennent trigéminés. A l'ambitus les pores sont plutôt par série
simple, onduleuse que par échelons ; puis au-dessus de l'ambitus ils
forment des échelons de trois paires, mais très peu obliques ; enfin à
l'approche de l'apex ils se redressent encore, presque en série
simple. Les plaques ambulacraires portent, près des zones porifères le
plus souvent un tubercule mamelonné, parfois deux plus petits et en
dessus certaines plaques sont simplement granulifères. Les tubercules
secondaires sont les uns assez développés, mais irrégulièrement
disposés, les autres plus petits tendent à se confondre avec les
granules.
Les interambulacres portent deux séries de tubercules principaux assez
nettement scrobiculés et des rangées secondaires multiples médianes et
externes ; ces dernières au nombre de 3 + 3, les médianes de 2 ou 3 +
2 ou 3, irrégulières,; en dessus les tubercules secondaires sont
encore plus irréguliers et accompagnés de granules, les uns assez gros
mamelonnés, les autres plus fins, épars. |
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J'avais
d'abord été tenté de rapporter cet individu au Psephechinus
globosus, dont il présente bien la physionomie générale
tuberculeuse ; mais son péristome est plus développé et la disposition
de ses ambulacres, avec plaques souvent simplement granuleuses, ne
permet pas de le laisser dans la même section des Stomechiniens ;
c'est encore un vrai Stomechinus, tandis que l'espèce
globosus appartient à la section Psephechinus. Stomechinus
figuigensis LAMBERT,
du Bathonien est beaucoup plus tuberculeux et ses zones porifères
plus larges sont disposées par échelons plus obliques. S.
bigranularis LAMARCK,
d'aspect bien plus granuleux, n'est même pas à comparer. S.
multigranularis COTTEAU
en diffère par ses ambulacres plus larges avec pores en échelons
sensiblement plus obliques.
Le type
a été rencontré par M. Célérier aux environs de Boulemane, dans la
haute vallée de l'oued Guigou, aux gorges de Recifa. Dans la même
région, mais dans une roche différente plus foncée et plus dure, on a
recueilli au Gaberal le Psephechinus globosus et au N E de
Récif a un moule de Stomechinien correctement indéterminable. Un
individu médiocre qui me paraît appartenir au Stomechinus Daguini,
a été trouvé par M. Dubar sur la colline au S E de Midelt avec des
radioles du Spherotiaris Koechlini.
Extrait de la
planche I & III
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figuré, conservé
au Musée d'Histoire Naturelle de Toulouse
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figuré in
Vadet, 2010, Les Echinides
de l'Atlas marocain : Bajocien Bathonien - Première partie : les
réguliers, p.36 |
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figuré, conservé
au Musée d'Histoire Naturelle de Toulouse
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figuré in
Vadet, 2010, Les Echinides
de l'Atlas marocain : Bajocien Bathonien - Première partie : les
réguliers, p.36 |
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Psephechinus
daguini
(Lambert,1933),
Bajocien, Boulemane, Maroc, 48 mm |
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Psephechinus
daguini
(Lambert,1933),
Bajocien, Boulemane, Maroc, 44 mm |
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Psephechinus
daguini
(Lambert,1933),
Bajocien, Talsinte, Boudhar, Maroc, 36 mm |
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Psephechinus
daguini
(Lambert,1933),
Bajocien, Talsinte, Boudhar, Maroc, 40 mm |
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Psephechinus germinans
(Phillips,1829) |
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Diagnose originale de l'espèce par Phillips,1829 |
Illustrations of the geology of Yorkshire, p.127 |
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Echinus
germinans ...
... Pl. III.
fig. 15. Malton,
Scarborough, &c. also in calcareous grit
Extrait de
la planche I
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description de l'espèce par Cotteau |
Paléontologie française, terrains jurassiques, échinides réguliens, p.675 |
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N°463. -
Stomechinus germinans (Phillips.),
Desor,1857
Pl. 444, fig.
7-9 et pl. 445, fig. 1-6.
Espèce de taille assez forte, pentagonale, haute. renflée, quelquefois
subconique en dessus, arrondie sur les bords, tout à fait plane en
dessous. Zones porifères larges, droites, à fleur de test, formées de
pores nombreux, disposés par triples paires très obliques à la face
inférieure et vers l'ambitus, se relevant un peu au fur et à mesure
que les pores se rapprochent du sommet. De petits granules abondants,
inégaux, se montrent dans les zones porifères. Aires ambulacraires
assez larges, garnies de deux rangées de petits tubercules serrés,
scrobiculés, mamelonnés, augmentant un peu de volume vers l'ambitus et
à la face inférieure, placés très près des zones porifères. Deux
autres rangées de tubercules, presque aussi apparentes que les rangées
principales, existent vers l'ambitus, mais elles disparaissent à la
face inférieure, et sont remplacées, à la face supérieure, par
d'autres tubercules plus inégaux, plus irrégulièrement disposés,
tendant à se confondre avec les granules abondants qui remplissent
l'espace intermédiaire et se glissent, en petites séries fines et
délicates, entre les scrobicules. Aires interambulacraires munies de
deux rangées régulières de tubercules principaux de même taille que
les tubercules ambulacraires, augmentant comme eux de volume à la face
inférieure et vers l'ambitus, un peu plus gros cependant à la face
supérieure. Six autres rangées de tubercules, deux intermédiaires, et
deux de chaque côté des rangées principales, se montrent à la face
inférieure et au-dessus de l'ambitus, mais deviennent irrégulières et
disparaissent au fur et à mesure qu'elles s'élèvent. Granules très
nombreux, inégaux, groupés en cercle autour de chaque scrobicule,
prenant souvent l'aspect de petites séries horizontales notamment à la
face supérieure, remplissant l'espace intermédiaire, à l'exception du
milieu de la zone miliaire, qui est nu et déprimé. Péristome grand, à
fleur de test, pentagonal, marqué de profondes entailles ; les bords
interambulacraires, réduits à de simples lobes, sont très courts
relativement aux bords ambulacraires. Péripocte irrégulier,
subcirculaire. Appareil apical, pentagonal , granuleux ; plaque
madréporiforme plus grande que les autres.
Hauteur, 25 millimètres ; diamètre, 41 millimètres.
Individu très déprimé : hauteur, 15 millimètres ; diamètre, 28
millimètres.
Le type de cette espèce est élevé, renflé, subsonique; nous lui
réunissons un exemplaire de taille beaucoup plus petite et dont la
forme est bien plus déprimée.
Rapports et différences.
— Cette espèce, parfaitement décrite et figurée par M. Wright, nous a
paru se distinguer nettement de ses congénères. Assez voisine du S.
bigranularis, elle s'en éloigne par sa forme plus élevée,
ordinairement plus conique, par sa face inférieure plus plane, par ses
tubercules plus nombreux et surtout par son péristome plus étendu,
plus pentagonal et marqué d'entailles plus profondes, plus accentuées.
Plusieurs caractères rapprochent le S. germinans du S.
polyporus, mais cette dernière espèce a 'la face inférieure moins
plane et la face supérieure moins granuleuse. |
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Histoire. - C'est à M.
Wright que revient le mérite d'avoir rendu à cette espèce sa véritable
synonymie : assez mal figurée, en 1826, par Phillips, elle avait été
placée à tort par cet auteur parmi les fossiles de l'étage corallien.
En 1851, M. Wright découvrit cette erreur de gisement, mais il n'en
réunit pas moins l'espèce à l'Echinus perlatus du terrain
corallien. Cette opinion a été suivie plus tard par Forbes, Salter, et
Desor dans le Synopsis. Ce n'est qu'en 1857, que M. Wright indiqua le
véritable nom qui devait être attribué à cette espèce et rétablit sa
synonymie. L'Echinus diademata et le S. subconoideus
doivent être réunis à l'espèce qui nous occupe.
LOCALITÉS. - Bayeux (Calvados) ; la Grisière (Saône-et-Loire) ;
Corcelotte (Côte-d'Or) ; Langres (Haute-Marne). Rare. Étage bajocien.
Muséum de
Paris (Coll. Ferry), collection de la Sorbonne (Munier Chalmas),
collection Marion, ma collection.
LOCALITÉS
AUTRES QUE LA FRANCE. - Leckhampton,
Birdlip,
Crickiey Hills ; Nailsworth, Vallsquarry (Gloucestershire) ; Whitwell
près Castle Howard (Yorkshire). Angleterre.
EXPLICATION
DES FIGURES. - Pl. 444, fig. 7, S. germinans, de l'étage
bajocien de Corcelotte, de la coll. de M. Marion, vu de côté ; fig. 8,
face supérieure ; fig. 9, appareil apical et portion supérieure des
aires ambulacraires grossis. — Pl. 445, fig. 1, autre exemplaire, de
la môme localité et de la même collection, vu de côté ; fig. 2, face
inférieure ; fig. 3, partie supérieure de l'aire ambulacraire grossie
; fig. 4, partie inférieure de l'aire ambulacraire grossie ; fig. 5,
plaque interambulacraire grossie ; fig. 6, tubercule
interambulacraire, vu de profil, grossi.
Extrait planches
444 & 445
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figurés, conservé
au Musée Jardin des Sciences à Dijon, collections paléontologiques |
figuré in
Cotteau, 1884,
Paléontologie Française - Description des fossiles de la France -
Première série Animaux invertèbrés - Terrain jurassique - Tome X -
Deuxième partie - Echinides réguliers, familles des Diadematidées et des
Echinidées, p.675 |
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https://explore.recolnat.org/occurrence/3FE941977C5D407F90C903EDDF32B75E
spécimen
MJSD.2012.PAL.00195
crédit RECOLNAT (ANR-11-INBS-0004)
Trans'Tyfipal/MH
Cotteau,
p. 675, pl. 444, fig. 7, 8 & 9 |
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https://explore.recolnat.org/occurrence/6FCD006458494977B518C8CD5EDD19D5
spécimen
MJSD.2012.PAL.00196
crédit RECOLNAT (ANR-11-INBS-0004)
Trans'Tyfipal/MH
Cotteau,
p. 675, pl. 445, fig. 1, 2, 3,
4, 5 & 6 |
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Syntype de
Echinus diademata McCoy
(considéré ici comme syn. de P. germinans) conservé
au Sedgwick Museum of Earth
Sciences, University of Cambridge |
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Echinus diademata McCOY |
crédit
British Geological Survey, NERC
specimen SM J 24409
McCoy 1848 On some new Mesozoic Radiata, p.410
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Psephechinus germinans
(Phillips,1829) -
Bajocien supérieur, Landaville, Vosges, 51 mm |
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Psephechinus
michelini
(Cotteau,1857) |
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description de l'espèce par Cotteau,1884 |
Paléontologie française - Terrain Jurassique - Echinides réguliers,
t. 10, part. 2, p.719 |
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N°478. -
Stomechinus Mieheliui, Cotteau, 1857.
PI. 460.
Espèce de taille assez forte, subcircirculaire, haute, renflée, plus
ou moins hémisphérique. Zones porifères étroites, à fleur de test,
composées de pores rangés par triples paires très obliques à la face
inférieure, se relevant aux approches du sommet et de l'ambitus, se
multipliant autour du péristome; de petits granules inégaux se mêlent,
ça et là, aux paires de pores. Aires ambulacraires assez larges, à
peine renflées, garnies de deux rangées de petits tubercules serrés,
homogènes, mamelonnés, placés régulièrement sur le bord des zones
porifères. Deux autres rangées, de même nature et à peu près de même
taille que les autres, occupent le milieu des aires ambulacraires,
s'élèvent assez haut et ne disparaissent qu'en approchant du sommet.
Granules abondants, inégaux se prolongeant entre les tubercules et
occupant tout l'espace intermédiaire. Aires interambulacraires très
tuberculeuses, munies de deux rangées principales un peu plus
développées que les autres, et de seize à dix-huit autres rangées bien
apparentes vers l'ambitus, mais qui disparaissent successivement, au
fur et à mesure que l'aire interambulacraire se rétrécit. On en compte
ordinairement dix au milieu des rangées principales, et quatre de
chaque côté; ces tubercules ne forment pas seulement des rangées
verticales; ils affectent, notamment vers l'ambitus, une disposition
horizontale assez régulière; le milieu de l'aire interambulacraire
n'est ni lisse ni déprimé et reste partout couvert de tubercules ;
cependant, près du sommet, les tubercules qui accompagnent les deux
rangées principales sont plus petits et plus atténués. Granules
intermédiaires nombreux, inégaux, quelquefois mamelonnés, bordant le
plus souvent la suture des plaques qui sont longues, étroites, un peu
flexueuses. Les tubercules ambulacraires et interambulacraires
augmentent légèrement de volume à la face inférieure et sont par cela
même moins nombreux et plus largement scrobiculés. Périprocte
irrégulièrement circulaire. Appareil apical peu développé, granuleux ;
plaques génitales anguleuses, perforées aune certaine distance du bord
; plaques ocellaires petites, intercalées à l'angle des plaques
génitales.
Hauteur, 21 millimètres ; diamètre, 36 millimètres.
Nous rapportons à cette espèce un exemplaire recueilli
par M. Guillier dans l'étage callovien de Marolles-lesBrault (Sarthe)
; il diffère un peu du type par ses tubercules ambulacraires un peu
moins nombreux et par ses tubercules interambulacraires principaux
formant des rangées plus apparentes, surtout aux approches du sommet.
Nous n'hésitons pas, malgré cette différence, à réunir cet exemplaire
au S. Michelini.
Rapports et différences.
— Nous avons fait connaître, pour la première fois, cette espèce dans
nos Échinides de la Sarthe; malheureusement l'exemplaire, très bien
conservé, qui, à celte époque, nous a servi de type, n'a pu être
retrouvé. Les caractères du S. Michelini n'en
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sont
pas moins établis d'une manière positive soit par la description et
les figures que nous avons données dans l'origine, soit par celles que
M. de Loriol a publiées plus tard dans l'Echinologie helvétique,
et c'est bien à celte espèce que nous paraissent appartenir les
échantillons que nous décrivons aujourd'hui. Le S. Michelini du
reste sera toujours facilement reconnaissable à ses tubercules très
nombreux, serrés, homogènes, tendant à se grouper en rangées
transverses sur toute la surface, et ne laissant, au miheudes aires
interambulacraires, aucun espace lisse et déprimé. L'abondance de ses
tubercules rapproche cette espèce du S. Robineaui, qui occupe
un niveau beaucoup plus élevé et présente, au milieu de l'aire
interambulacraire, une zone nue et déprimée faisant toujours défaut
chez le S. Michelini. En décrivant plus loin le S. Heberti,
du callovieu de Châtiilon-sur-Seine, nous indiquerons les différences
qui séparent les deux espèces.
Localités.—Villey-Saint-Étienne
(Meurlhe-el-Moselle); Gesnes-le-Gandelin (Satihe); environs de Toulon
(Var). Très rare. Étage bathonien. — Marolles-les-Brault (Sarthe).
Très rare. Étage callovien.
Collections Michalet, Guillier, ma collection.
Localités autres
que la France. — Valdenburg, Lunzgen près Sissach (Bâle
campagne); Movelier (Jura bernois). Étage bathonien.
Explication des
figures. — PI. 460, fig. 1, S. Michelini, de Villey-Sainl-Etienne,
vu de côté ; fig. 2, plaques ambulacraires et interambulacraires
grossies; fig. 3, fragment, de la collection de M. Michalet, vu de
côlé; fig. 4, plaques interambulacraires grossies ; fig. 5, S.
Michelini, de l'étage callovien de Marolles-les-Biault, de
la collection de M. Guillier, vu de côté ; 6g. 6, face supérieure.
Extrait planche
460
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figuré, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Cotteau, 1884,
Paléontologie française - Terrain Jurassique - Echinides réguliers,
t. 10, part. 2, p.719 |
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Psephechinus
michelini
(Cotteau,1857),
Bajocien, Talsinte, Maroc, 45 mm |
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Psephechinus
michelini
(Cotteau,1857),
Bathonien supérieur, Calvados, 15 mm |
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Psephechinus
michelini
(Cotteau,1857),
Bathonien, Maroc, 45 mm |
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Psephechinus microcyphus
(Wright,1856) |
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Diagnose originale de l'espèce par Wright,1856 |
British fossil Echinodermata from the Oolitic formations, p.213 |
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Stomechinus microcyphus,
Wright, nov. sp. Pl. XV, fig. 1 a, b.
Test
circular, hemispherical, with a flat base ; ambulacral areas with four
rows of tubercles, diminishing to two on the upper surface ; inter-ambulacral
areas with ten rows of tubercles at the equator, irregularly disposed
on the plates, and a median depression in the hue of the centro-suture
; poriferous zones vide, the pores in oblique ranks of threes, and
between each file two stnall granules regularly disposed.
Dimensions.—Height, six tenths of an inch ; transverse diameter,
nearly one inch.
Description.—The modem generic divisions of the family
Echinidae
often repose upon characters which undergo many phases of development
in the different species ; and thus it sometimes happens, as in the
urchin now under consideration, some of the species approach, in their
ensemble, nearer to aberrant forms of an allied genus than to the one
to which they are referred.
This form certainly very much resembles a large
Polycyphus Normannus,
Desor ; although the state of conservation of the test, and the
concealment of the base by adherent rock, prevents that amount of
examinatiou so necessary for a critical diagnosis ; still, however,
the specimen exhibits such a group of characters, that I have placed
it in the genus Stomechinus for the following reasons I st, The size
of the body ; 2d, the thickness of the test ; 3d, the irregular
arrangement of the tubercles on the inter-ambulacral plates ; and
4th, the absence of a median depression in the inter-ambulacra.
The ambulacral areas (fig. 1
b) have four rows of tubercles at the
equator, two marginal rows placed on the extreme borders of the area,
and two inner rows near the sutural line; the tubercles all alternate
with each other (fig. 1 b), and the two inner rows disappear at the
upper surface.
The poriferous zones arc wide ; the pairs of pores arc disposed in
oblique ranks of threes, rather widely asunder (fig. 1 b), and between
each rank two small tubercles are developed, which separate them from
each other throughout the zones (fig. 1 b), so that there is only one
trigeminal rank of pores opposite each large inter-ambulacral plate.
The inter-ambulacral segments are twice the width of the ambulacral
; the centrosuture is very distiuctly marked, but there is no median
depression, and the division of the test into fiftcen lobes, so
characteristic of Polycyphus, is not seen in this form ; each of the
large plates in general supports four or five tubercles, which are
rather irregularly disposed on its surface (fig. 1 b) ; they have
narrow, ring-like areolas around their base, encircled by rows of
small granules (fig. 16), invisible to the naked eye, and only seen
with a lens; the inter-ambulacra have therefore ten rows of tubercles
at the equator ; the third tubercle from the poriferous zones
represents the principal row, which is continuons from the base to
the dise; but the other lateral rows disappear at différent points
between the circumference and the vertex.
The apical dise is unfortunately absent, and the base is adherent
to a hard shelly fragment of the Great Oolite limestone, which cannot
be removed without, at the same time, detaching the shell. In this
remarkable formation, the Oolitic grains are indented into the plates
of the test of the Echinodermata, as well as into the shelly of the
Mollusca ; and unless the specimen separates readily from the matrix,
it is almost hopeless to expect to remove it without so ranch injury
to the sculpture as will render its determination doubtfull, or even
impossible. For this reason I have been unable to expose the base of
this beautiful rare form.
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Affinities and differences.—The nearest affinities of this species
is with Potycyphus Normannus, Desor ; but it bas a lunch thicker test,
the inter-ambulacral tubercles are proportionately smaller and more
irregularly disposed, and they have circles of granules around their
areolas ; the segments are not divided into lobes by median
depressions ; the poriferous zones are wide and only slightly
depressed, and the trigeminal ranks of pores are separated by small
tubercles all these diagnostic characters show how distinct
Stomechinus microcyphus is from Polycyphus Normannus, when a critical
coniparison is made between these two nrchins, which are often found
in the saine bed. I know of no other brin for which our species could
be mistaken.
Locality and Stratigraphical position.--This beautiful urchin is
one of the many exquisite fossils collected by my friend Mr. Lycett,
from the Great Oolite of Minchinhampton Common. It occurs in the
shelly beds of limestone at the large quarry, and is the only
spechnen found by him, aller many years' diligent search, in his
favorite localities.
I have one small specimen of the saine urchiti, collected from the
Great Oolite of Ranville, Calvados, by M. Tesson, in which the apical disc is
preserved. It is small and prominent ; the genital plates are nearly
equal-sized, the right anterior plate is the largest, and the spongy
madreporiform body occupies all the surface of that plate ; the
oculars are small, and deeply indented where they receive the apex of
the ambulacra ; the genital holes are perforated about the outer third
of the plates; the vent is oblong, and its long diameter lies
obliquely across the test. It is doubtless a rare urchin in France, as
none of the systematic anthors make mention of it ; or it may be that
it has hitherto been confounded with Polycyphus Normannus.
Extrait de la
planche XV, fig. 1 a, b
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Psephechinus
microcyphus
(Wright,1856) -
Bathonien, Luc-sur-Mer, Calvados, 7 mm |
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Psephechinus quoniami
(Gauthier,1903)
cf. supra les
exemplaires de P. daguini, que nous mettons en synonymie avec
cette espèce |
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Diagnose originale de l'espèce par Gauthier,1903 |
Contribution à l'étude des échinides fossiles, p.25 |
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STOMECHINUS (Psephechinus)
QUONIAMI Ganthier, 1903.
(Pl. I, fig.
13-16)
Dimensions : diamètre, 40 mill.; hauteur, 33 mill.
— 33 —
— 25 —
Espèce de taille moyenne, à base subcirculaire, de forme subsonique,
dont la hauteur atteint o,82 du diamètre. Face infériere plate,
pourtour pulviné, côtés légèrement renflés ; face supérieure rétrécie,
bombée, ne finissant pas en pointe.
Appareil apical d'étendue médiocre ; les plaques génitales forment
seules le cercle périproctal ; elles sont petites, pentagonales,
perforées au tiers inférieur de leur hauteur; le corps madréporiforme
est peu développé mais parfois saillant ; toutes les plaques sont
granuleuses.
Aires ambulacraires très étroites près du sommet, s'élargissant
progressivement jusqu'au-dessus du pourtour où elles mesurent huit
millimètres en largeur, puis se rétrécissant jusqu'au péristome. Zones
porifères droites, superficielles. formées de paires de pores arrondis
disposées par trois autour de chaque tubercule, dont l'inférieure est
fortement rentrante ; parfois le tubercule est remplacé par deux ou
trois granules en rangée horizontale ; les plaquettes qui portent les
paires de pores sont entières, alternativement larges on rétrécies au
milieu, étalées ou amincies à l'extrémité interne ; elles sont très
granuleuses à la surface ; les paires se multiplient près du
péristome. L'espace interzonaire est occupé par quatre rangées de
tubercules mamelonnés, petits, incrénelés et imperforés ; les deux
séries externes sont les plus régulières et les plus développées et
montent seules jusqu'à l'apex ; près da péristome les deux premiers
sont très réduits et sont suivis de quatre ou cinq plus gros que tous
les autres. Les deux séries internes sont incomplètes et peu
régulières, quoique bien alignées ; elles ne commencent qu'au-dessus
du bord et ne montent pas jusqu'au sommet ; les tubercules un peu plus
petits que ceux des séries externes se suivent directement mais sont
parfois interrompus et remplacés par des granules semblables à ceux
qui ornent toute la surface de l'aire entre les tubercules.
Aires interambulacraires larges au sommet de près de quatre
millimètres, se développant régulièrement et atteignant dix-huit
millimètres à l'ambitus ; elles portent douze rangées verticales de
tubercules ; la quatrième, dans chaque moitié de l'aire est plus
développée que les autres et monte seule jusqu'à l'apex ; elle compte
vingt-cinq tubercules faiblement scrobiculés et entourés de cercles de
granules, surtout à la partie supérieure ; ceux qui forment les
rangées principales restent gros jusqu'au sommet, ce qui fait que la
région supérieure du test est toute étoilée de gros tubercules ; ils
sont encore plus développés à la partie inférieure, ce qui se
reproduit dans tontes les espèces du genre Stomechinus.
L'exemplaire type est le plus grand de ceux qui m'ont été communiqués
: chez les cinq autres, dont la taille est inférieure, le nombre des
rangées de tubercules interambulacraires est naturellement moins
considérable et la série principale est la troisième an lieu d'être la
quatrième. Ces variations qui ont pour cause l'âge de l'Oursin n'en
changent point la physionomie. Les tubercules forment en même temps
des séries horizontales, beaucoup moins régulières, souvent mal
alignées ; une granulation très dense remplit les intervalles et le
test n'est nulle part dénudé ; la suture verticale au milieu de l'aire
interambulacraire est à peine indiquée. |
|
Péristome subdécagonal, s'ouvrant dans une légère dépression du test,
marqué de dix entailles larges et profondes ; les lèvres ambulacraires
sont plus larges que les interambulacraires.
Rapports et différences. — Le Stomechinus Quoniami est voisin
du St. Michelini Cotteau ; le test est également couvert de
tubercules et de granules qui ne laissent à nu aucun espace et la
disposition des tubercules en séries verticales et horizontales est
analogue. L'espèce algérienne se
distingue par
les séries internes de ses tubercules ambulacraires moins complètes,
par ses rangées de tubercules interambulacraires moins nombreuses à
taille égale, moins bien ordonnées horizontalement, par sa forme plus
élevée et presque constamment subconique. Cotteau, d'après la
description donnée par lui dans la Paléontologie française (Terrains
jurass., III, p. 7?9, pl. 46o), ne connaît les dimensions de ses
spécimens que pour le plus petit (fig. 5.6), qui mesure 36 millimètres
de diamètre et 21 de haut, soit 0,61. M. de Loriol a figuré un
exemplaire du St. Michelini provenant des environs de Bâle, et
il en connaît d'antres du Jura ; les rapports de la hauteur au
diamètre sont de 0,62 à o,68 (Echinologie helvétique, terr. jurass.,
p. 218, pl. XXXVI, fig. 1). M. Lambert a signalé la même espèce dans
le Vésulien de Saint-Gaultier (Indre) ; il ne donne ni description, ni
figures (B. S. G. F., [3], XVIII, p. 488) ; je possède un exemplaire
provenant de la même localité dont le diamètre est de 48 millimètres
et la hauteur de 3o, soit 0,62. Nos exemplaires, en les considérant
sous ces mêmes rapports, mesurent de 0,75 à 0,82 ; voilà une
différence constante qui suffirait pour séparer les deux espèces.
Pour le nombre des rangées de tubercules interambulacraires, Cotteau
indique dix-huit rangées sur l'exemplaire figure r ; c'est celui dont
les dimensions se rapprochent le plus du type algérien ; ce dernier ne
porte que douze rangées ; on ne saurait donc songer à assimiler les
deux espèces.
Localité. —
Djerman Tahtani, au nord-est de l'oasis de Figuig. — Probablement
Bathonien.
Extrait de la
planche I
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Psephechinus quoniami
(Gauthier,1903) -
Bajocien, Boulemane, Maroc, 35 mm |
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Psephechinus vacheyi
(Cotteau,1850) |
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Diagnose originale de l'espèce par Cotteau,1850 |
Etudes sur les échinides fossiles du département de l'Yonne, p.60 |
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Echinus vacheyi, Cot.
PI. 3, fig.
12-16.
Testa
parvà levissimè pentagonali, infernè plana, supernè subinflata.
Tnberculis principalibus parvis, oequalibus in areis
interambulacrariis et ambulacrariis. Tuberculis secundariispassim
sparsis. Poris ambulacrariis per tria paria valdè obliqua dispositis.
Ore magno et decies inciso.
Dimensions. — Hauteur, 8
millimètres 1/2; diamètre transversal, 14 millimètres.
La taille, la forme et le faciès général de celte espèce la
rapprochent beaucoup du genre polycyphus dans lequel j'avais cru tout
d'abord devoir la placer, mais un examen plus attentif rue l'a fait
reporter dans le genre Echinus dont les polycyphus ne sont qu'un
démembrement. Le caractère distinctif des polycyphus consiste dans
l'homogénéité des tubercules qui recouvrent toute leur surface; or, ce
caractère essentiel manquant dans notre espèce, elle redevenait un
véritable Echinus.
La forme générale de cette petite espèce est légèrement pentagonale,
renflée en-dessus et plane en-dessous. Les tubercules principaux qui
garnissent les aires interambulacraires sont de petite taille;
indépendamment de deux rangées qui s'élèvent jusqu'au sommet on en
compte plusieurs autres incomplètes, irrégulières et qui cessent à la
partie supérieure. Les aires ambulacraires sont garnie de deux rangées
de tubercules principaux qui s'étendent très-près des pores
ambulacraires; ils sont plus serrés, plus nombreux et un peu moins
gros que ceux des aires interambulacraires ; les uns et les autres
sont plus apparents à la face inférieure. Les tubercules secondaires
sont irrégulièrement disséminés à la surface du test. Aucun tubercule,
et c'est là un caractère spécial au groupe des échinides |
|
proprement
dits, ne porte trace de crénelure et de perforation. Les pores
ambulacraires sont disposés par triples paires obliques. La bouche est
grande et décagonale.
J'ai donné à cette espèce nouvelle le nom de M. Vachey qui me prête un
si utile concours en dessinant les planches jointes à ce travail.
Rapports et différences.
— L'échinus Vacheyi, par sa taille, par sa forme et par la disposition
de ses tubercules, se distingue des autres espèces d'échinus.
Localité. — J'ai
recueilli cette espèce à Montillot, dans les couches calcaires du
forest-marble. Je n'en possède qu'un seul échantillon.
Extrait de la
planche 3
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Description de l'espèce par Cotteau, |
Paléontologie française, 7, terrains jurassiques, p.696 |
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N° 470. —
Stomechinus Vacheyi (Cotteau),
Desor, 1857.
Pl. 451, fig.
4-9.
Espèce de petite taille, subpentagonale, médiocrement renflée en
dessus, plane en dessous. Zones porifères droites, assez larges, à
fleur de test, composées de pores trigéminés, disposés par paires
régulièrement obliques, se -multipliant un peu autour du péristome.
Quelques rares petits granules se montrent au milieu des zones
porifères. -Aires ambulacraires étroites au sommet, s'élargissant au
fur et à mesure qu'elle se rapprochent de l'ambitus, garnies de deux
rangées de petits tubercules saillants, serrés, -homogènes, placés sur
le bord des zones porifères, au nombre de vingt et un ou vingt-deux
par série, ne paraissant pas augmenter sensiblement de volume à la
face inférieure. Granules intermédiaires peu abondants, épars à la
face supérieure, plus nombreux vers l'ambitus ; quelques-uns isolés,
un peu plus gros, mamelonnés, tiennent lieu de tubercules secondaires.
Aires interambulacraires pourvues -de deux rangées de tubercules
principaux de même nature que les tubercules ambulacraires, mais un
peu plus gros et un peu plus espacés à la face supérieure. Tubercules
secondaires assez abondants surtout dans la région inférieure,
formant, au milieu des deux rangées principales et sur le bord des
zones porifères, des séries inégales, irrégulières, qui s'atténuent et
disparaissent au fur à mesure que l'aire interambulacraire se
rétrécit. Granules intermédiaires nombreux vers l'ambitus, groupés
autour des tubercules, rares et espacés à la face supérieure, laissant
le milieu de la zone miliaire presque nu. Péristome grand, décagonal,
à fleur de test.
Hauteur, 8 millimètres 1/2; diamètre, 14 millimètres.
Rapports et différences.
- Cette petite espèce nous a paru distincte de celles que nous
connaissons ; elle ne peut être considérée comme le jeune âge du
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S.
bigranularis ; elle en diffère par sa forme moins renflée, par sa
face inférieure plus plane, par son aspect plus tuberculeux. Elle ne
saurait non plus être confondue avec les individus jeunes du S.
Schlumbergeri dont les tubercules sont beaucoup plus développés
et les zones porifères plus étroites, ou du S. Michelini dont
l'aspect au contraire est plus finement tuberculeux.
Localités. - Montillot
(Yonne). Très rare. Etage ba‑
Ma collection.
Explication des figures.
- Pl. 451, fig. 4, S. Vacheyi vu de côté ; fig. 5, face
supérieure; flg. 6, face inférieure; fig. 7, aire ambulacraire
grossie; flg. 8, aire interambulacracre grossie ; fig. 9, tubercule
interambulacraire, vu de profil, grossi.
Extrait de la
planche 451
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Psephechinus vacheyi
(Cotteau,1850) -
Bathonien, Luc-sur-Mer, Calvados, France 8 mm |
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Genre
Stomechinus
Desor,1847
Synopsis des échinides
fossiles, p.124
Espèce type
Echinus bigranularis
Lamarck,1816 (désignation subséquente par
Lambert in
Lambert & Thiery (1911) Essai
de nomenclature raisonnée des échinides fossiles, p.237)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Aalénien - ?
Aptien
Syn.
-
Glyptechinus
de Loriol, 1873, p.169 ;
espèce type : Glyptechinus rochati
de Loriol,1873, p.170 ; synonyme subjectif plus récent.
-
Spaniocyphus
Pomel, 1883, p.81 ; espèce
type : Echinus fallax Agassiz
in Agassiz & Desor,1846
; synonyme subjectif plus récent.
-
Sporotaxis Pomel, 1883,
p.84 (genre défini sur une erreur de figuration)
-
Cretacechinus
Lambert & Thiery, 1911, p.81 ; espèce
type : Stomechinus camarensis
de Loriol,1887, p.65
; probablement synonyme subjectif plus récent, type très mal conservé et
partiel, apex non présent.
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Diagnose originale du genre par Desor |
Synopsis des échinides fossiles, 1847, p.124 |
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XLIe
Genre. - STOMECHINUS (1)
Desor, nov. gen.
Tab. XVIII,
fig. 5-7.
Oursins de moyenne taille, subconiques, à pores distinctement
trigéminés comme chez les vrais Echinus. Péristome grand, profondément
entaillé, non plus régulièrement décagonal, mais en forme de pentagone
dont les angles bifides correspondent aux aires interambulacraires.
Radioles en forme de petites épines striées longitudinalement.
Ce type, dont il existe bon nombre d'espèces, ne nous est connu
jusqu'ici que des terrains oolitiques. Les plus anciens sont ceux de
l'Oolite inférieure (Bajocien).
Nota. Pour bien
apprécier la valeur des caractères tirés de la forme du péristome, sur
lesquels est fondé le genre Stomechinus, il suffira de comparer la
fig. 7 de Pl. XIX avec les fig. 3 et 8 de la même planche.
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Par suite de la
largeur des entailles, la lèvre interambulacraire se trouve réduite
dans notre genre à une lobe aigu : la lèvre ambulacraire, en revanche,
est d'autant plus large. Il en résulte que le péristome, au lien de
former un décagone régulier, se présente plutôt sous la forme d'un
pentagone à angles bifurqués.
(1) de στο'μα
bouche.
Extrait de la
planche XVIII, fig.5-7, d'après Desor
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Stomechinus
bigranularis
(Lamarck,1816) |
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Diagnose originale de
l'espèce, d'après Lamarck |
Histoire naturelle des
animaux sans vertèbres, 1816, p.50 |
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30. Oursin
bigranulaire. Echinus biganularis.
Ech.
hemisphaerico-depressus ; fasciis porosis, subnudis, quadriporis ;
tuberculorum majorum seriebus undiquè binis.
Habite .
. . . fossile . . . .
Mon cabinet. |
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Description de
l'espèce, d'après Desor |
Synopsis des échinides
fossiles, 1847, p.125 |
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Stomechinus
bigranularis (Tab. XVIII, fig.5-7).
Syn. Echinus bigranularis Lamk. Forbes, Decad. V. - Echinus
antiquus Defr. Mss. - Echinus serialis Wright (non Agass.),
Cidarid. of the Oolites in Ann. and Mag. of Nat. Hist. Octbr. 1851,
Tab. XIII, fig. 2. - Echinus intermedius Agass. Catal. syst. p.
12. - Echinus arenatus Lamk. Oursin circulaire ou subpentabonal,
plus ou moins déprimé, jamais très renflé. Deux rangées principales de
tubercules ambulacraires et six d'interambulacraires. Comme les
rangées secondaires ne s'élèvent pas au-dessus de l'ambitus, il en
résulte qu'à la face supérieure le milieu des aires interambulacraires
correspond à de larges bandes déprimées et d'apparence lisses,
quoiqu'elles soient pourtant garnies d'une fine granulation très
homogène. A la face inférieure, les tubercules sont saillants et
serrés ; ceux des aires ambulacraires sont cependant un peu moins
développés que ceux des aires interambulacraires. Péristome
profondément entaillé, mais moins grand proportionnellement que dans
la plupart des autres espèces. Lèvre interambulacraire très étroite,
en forme de lobe pointu. |
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M. 25 (type). M. 81 (Echinus arenatus). M. 79 (jeune âge).
Grande Oolite (Bathonien) de Ranville, Ainnes.
Oolite de Shurdington et Dundry-Hills.
Mus. Paris, Coll. Deslongchamps, Michelin, d'Archiac, Hébert, Wright,
Mus. géol. prat. de Londres.
Nota. J'ai été longtemps
dans le doute sur l'indentité de cette espèce, qu'il était d'autant
plus difficile de bien définir, que parmi les originaux du musée de
Paris étiquetés de la main de Lamarck, il se trouvait plusieurs
espèces. Après bien des hésitations, je propose de restreindre le nom
de bigranularis à l'espèce de l'oolite, si bien figurée par M.
Wright sous le nom de E. serialis et plus tard par M. Forbes.
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syntype, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lamarck, 1816,
Histoire naturelle des animaux sans vertèbres, présentant les caractères
généraux et particuliers de ces animaux, leur distinction, leurs
classes, leurs familles, leurs genres, et la citation des principales
espèces qui s'y rapportent, t. 3, p.50 |
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Stomechinus
bigranularis
(Lamarck,1816),
Bajocien, Maroc, 25 mm |
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Stomechinus
bigranularis
(Lamarck,1816),
Bajocien, Maroc, 45 mm |
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Stomechinus
bigranularis
(Lamarck,1816),
Bajocien, Maroc, 42 mm |
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Stomechinus
bigranularis
(Lamarck,1816),
Bajocien, Maroc, 60 mm |
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Stomechinus
bigranularis
(Lamarck,1816),
Bajocien, Maroc, 44 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851) |
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Description de
l'espèce, d'après Desor |
Synopsis des échinides
fossiles, 1847, p.128 |
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multigranularis Syn. Echinus multigranularis Cot. Ech.
foss. p. 61, Tab. VII, fig. 6-8. Assez grande espèce du type du
S. Caumonti, mais beaucoup plus haute et plus conique. Huit à
dix rangée de tubercules interambulacraires et quatre ambulacraires.
Bathonien de Grimayx (Yonne). Rare.
Coll.
Rathier.
Nota. Par une erreur du
dessinateur les quatre rangées de tubercules ambulacraires ne sont pas
suffisamment indiquées dans la figure de M. Cotteau. |
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Diagnose originale de
l'espèce, d'après Cotteau |
Etudes sur les
échinides fossiles du département de l'Yonne, 1851, p.61 |
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Echinus multigranularis,
Cot.
Pl. 7, fig.
6-8.
Testa, subpentagonali, supernè maximè inflatâ, conicâ, infernè planà.
Areis interambulacrariis latis, in medio depressis et supernè lavibus,
proeditis plurimis seriebus tuberculorum principalium. Areis
ambulacrariis strictis, quatuor seriebus tuberculorum praeditis.
Seriebus tuberculorum irregulariter dispositis ; tuberculis internè
majoribus. Ano subcirculari. Assulà ovariali impari magnâ. Ore magno,
decies et profundè inciso.
Dimensions. - Hauteur,
35 millimètres ; diamètre transversal, 43 millimètres ; largeur de
l'ouverture buccale, 21 millimètres.
Cette espèce est visiblement subpentagonale ; la face supérieure est
conique et fortement renflée ; la face inférieure est presque plane.
Les aires interambulacraires présentent, sur le milieu de leur
surface, une dépression qui est lisse à la partie supérieure ; elles
sont garnies de nombreuses séries de tubercules principaux assez
irrégulièrement disposés ; les rangées se réduisent à deux aux
approches du sommet et bordent parallèlement la dépression lisse qui
occupe le milieu des aires. Les aires ambulacraires sont relativement
très-étroites et garnies de quatre rangées de tubercules très-peu
régulières. Tous ces tubercules principaux sont à peu près d'égale
grosseur, à l'exception de ceux qui se développent à la partie
inférieure et qui sont un peu plus volumineux ; l'espace intermédiaire
est rempli par de fines granules. Les pores ambulacraires sont
disposés par triples paires, mais aux approches de l'ouverture buccale
ils se multiplient, et la zone qu'ils occupent s'élargit
considérablement. L'appareil oviducal est de médiocre grandeur ; les
plaques ovariales sont pentagonales, granuleuses et perforées ; la
plaque ovariale impaire, d'apparence spongieuse est beaucoup plus
grande que les autres ; les plaques interovariales sont très-petites.
L'anus est subcirculaire. La bouche est très-grande et décagonale ;
les entailles sont profondes et disposées de manière à rendre le bord
qui correspond aux aires ambulacraires très-grand et presque droit,
tandis que celui qui correspond aux aires interambulacraires est petit
et anguleux.
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Rapports et différences.
- Les espèces qui appartiennent au genre Echinus sont de tous les
oursins les plus difficiles à distinguer. Les différences à l'aide
desquelles on sépare les espèces consistent le plus souvent dans la
forme générale, dans la disposition des tubercules ; or, ces
caractères, presque toujours variables suivant l'âge des individus,
suivant la localité d'où ils proviennent, sont très-difficiles à
saisir et sont de nature à entraîner dans plus d'une erreur. Au
premier abord on serait tenté de réunir l'espèce qui nous occupe à l'échinus
brigranularis, var. major (echinus intermedius, Ag.), dont elle se
rapproche par l'uniformité de ses tubercules et par l'espace lisse
qu'on remarque au milieu des aires interambulacraires ; cependant de
notables différences existent entre les deux espèces. L'échinus
multigranularis est beaucoup plus renflé, beaucoup plus conique que l'échinus
bigranularis. Comme l'indique le nom que je lui ai donné, il est
recouvert d'un nombre de tubercules beaucoup plus considérable ; on en
compte huit ou dix rangées sur les aires interambulacraires et quatre
sur les aires ambulacraires, tandis que l'echinus bigranularis n'en
présente jamais que deux sur chacune des aires. Ces différences m'ont
paru suffisantes pour constituer une espèce nouvelle.
Localité. - M. Rathier a
recueilli cette espèce à Grimaux dans les couches supérieures de
l'étage bathonien ; elle y est très-rare.
Planche 7
(extrait)
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 60 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 43 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 45 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 46 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 48 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 48 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 35 mm |
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Stomechinus
multigranularis
(Cotteau,1851),
Bajocien, Maroc, 49 mm |
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Stomechinus
figuigensis
Lambert,1925 |
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Diagnose originale de
l'espèce, d'après Lambert |
Essai de nomenclature
raisonnée des échinides, 1925, p.571 |
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(1) Stomechinus figuigensis Lambert (Pl. XV, fig. 8).
Test
hémispérique, mesurant 39 mill. de diamètre sur 21 de hauteur.
Ambulacres avec quatre rangées de tubercules homogènes et zones
porifères larges par suite de la grande obliquité des échelons
porifères ; majeures dont les tubercules alternent, appartenant l'un à
la série externe, l'autre à la série interne. Tubercules
interambulacraires très homogènes, au nombre à l'ambitus de dix à
douze par rangée transverse ; pas de zone médiane dénudée. - S.
multigranularis a ses tubercules ambulacraires plus inégaux.
Localité : Djebel Klakh au N. W. de Figuig ; Bathonien. Recueilli
par le Dr Russo.
Planche XV
(extrait)
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Description de
l'espèce, par Lambert |
Etude sur les
échinidés fossiles du Nord de l'Afrique, 1931, p. 17 |
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Stomechinus
figuigensis
Lambert.
Etablie
dans notre Essai de nomenclature raisonnée des Echinides, p.
571, pl. XV, fig. 8, cette espèce subhémisphérique est remarquable par
la largeur de ses zones porifères en échelons très obliques, le grand
nombre et l'homogénéité de ses tubercules interambulacraires formant
dix à douze rangées verticales et en même temps des rangées
transverses régulières.
Lors même que l'on n'aurait sous les yeux qu'un fragment de cette
espèce, la largeur de ses zones porifères et la régularité de ses
tubercules interambulacraires ne permettent pas de la confondre avec
notre Psephechinus globosus. Chez Psephechinus Michelini
les pores sont aussi par échelons moins obliques et les rangées de
tubercules interambulacraires sont plus nombreuses.
Le
S. figuigensis a été trouvé par le Dr Russo au Djebel Klakh ; il
paraît rare. |
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syntype, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert & Thiery, 1909-1925,
Essai de nomenclature raisonnée des échinides, p.571 |
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Stomechinus
figuigensis
Lambert,1925, Bajocien,
Maroc, 48 mm |
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Stomechinus
figuigensis
Lambert,1925, Bajocien,
Maroc, 50 mm |
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Stomechinus
figuigensis
Lambert,1925, Bajocien,
Maroc, 62 mm |
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Stomechinus
morierei
Cotteau,1880 |
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Description de
l'espèce, par Cotteau |
Paléontologie
française, terrains jurassiques, tome 2, 1880, p. 703 |
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N° 473.
Stomechinus Morierei, Cotteau,1881,
Pl.
454.
Espèce de taille moyenne, circulaire, renflée, subconique en dessus,
presque plane en dessous. Zones porifères larges, droites, formées de
pores arrondis, rapprochés les uns des autres, séparés seulement par
un petit renflement granuliforme, disposés par triples paires
obliques. Quelques petits granules se montrent çà et là dans les zones
porifères et forment même, près des aires ambulacraires, une rangée
assez irrégulière. Aires ambulacraires présentant deux séries de
petits tubercules principaux, lisses, mamelonnés, scrobiculés, placés
très près des zones porifères. Deux autres rangées secondaires,
composées de tubercules à peu près identiques aux premiers, existent
vers la base des aires ambulacraires, mais ces rangées sont inégales,
irrégulières ; elles disparaissent plus ou moins promptement à la face
supérieure et sont remplacées par quelques tubercules rares et épars.
De petites verrues inégales se groupent en cercle plus ou moins
distinct autour de chaque scrobicule, et sont plus nombreuses vers
l'ambitus qu'à la face supérieure. Aires interambulacraires
relativement peu développées, pourvues de deux rangées principales de
petits tubercules de même structure et de même taille que ceux des
aires ambulacraires, un peu plus gros cependant et un peu plus
distincts près du sommet. Dix ou douze rangées de tubercules
secondaires se montrent vers l'ambitus ; ces tubercules, aussi
volumineux, quelquefois même plus développés que les tubercules
principaux, sont inégaux, irrégulièrement disposés et disparaissent
aux approches du sommet. Comme dans les aires ambulacraires, de petits
granules assez serrés et un peu plus abondants vers l'ambitus qu'à la
face supérieure, accompagnent les tubercules et tendent à se grouper
en cercle autour de chaque scrobicule. Zone miliaire lisse et nue.
Périprocte grand, sub-circulaire. Appareil apical étroit, saillant,
légèrement granuleux ; plaques génitales perforées près du bord ;
plaque madréporiforme un peu plus développées que les autres.
Nous rapportons à cette espèce un Stomechinus que M. Martin a
recueilli dans l'étage bathonien des environs de Dijon, et qui fait
aujourd'hui partie du musée de Genève ; sa taille est plus petite,
mais sa forme est la même, haute, renflée, subconique ; ses zones
porifères sont larges, droites, à fleur de test, composées de pores
petits, arrondis, disposés par triples paires obliques qui se relèvent
un peu près du sommet et vers l'ambitus, et se rapprochent de nouveau
autour du péristome. Ses tubercules ambulacraires et
interambulacraires sont très petits et augmentent à peine de volume à
la face inférieure ; iles forment, sur les aires ambulacraires, deux
rangées régulières, homogènes, placées très près des zones porifères,
et deux autres rangées secondaires à peu près de même taille, souvent
même un peu plus fortes, mais moins régulières et disparaissant avant
d'arriver au sommet. Les tubercules interambulacraires présentent la
même physionomie que chez le type du S. Morierei. Les
tubercules secondaires, à peu près de même taille que les tubercules
principaux, sont abondants et forment huit ou dix rangées bien
distinctes, mais plus irrégulières à la face supérieure, s'élevant
assez haut, et disparaissant au fur et à mesure que l'aire
interambulacraire se rétrécit. Granules intermédiaires inégaux, peu
abondants, laissant souvent la partie supérieure et inférieure des
plaques presque lisse. La face inférieure est remarquable par la
petitesse de ses tubercules principaux et secondaires qui, comme nous
l'avons dit, augmentent à peine de volume. Le péristome est très
grand, enfoncé, un peu rentrant et marqué de légères entailles.
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Exemplaire type : hauteur, 23 millimètres ; diamètre, 30 millimètres.
Individu de la Côte-d'Or : hauteur, 19 millimètres ; diamètre, 26
millimètres 1/2 ;
Rapports et différences.
- Cette jolie espèce est une de celles qui, au premier aspect,
rappellent la physionomie des Polycyphus, et démontrent combien
il est difficile d'établir les limites qui les séparent des
Stomechinus ; ses tubercules espacés et inégaux, nous ont engagé
dès l'origine à la réunir à ce dernier genre. Voisine par sa forme
conique, par le nombre et la petitesse de ses tubercules du S.
sulcatus, cette espèce s'en distingue par ses zones porifères
beaucoup moins granuleuses, tout en présentant, au milieu des pores,
une rangée verticale plus distincte, par ses tubercules ambulacraires
et interambulacraires augmentant moins rapidement de volume à la face
inférieure, par ses tubercules secondaires plus abondants, par ses
granules moins serrés et moins nombreux, par son péristome plus
enfoncé, et surtout par l'absence de sillons profonds et lisses qui
accusent, chez le S. sulcatus, le milieu des aires
interambulacraires. Le S. Morierei présente aussi quelques
rapports avec le Polycyphus textilis, de l'étage callovien,
mais cette dernière espèce, que nous laissons dans le genre
Polycyphus, sera toujours reconnaissable à ses tubercules plus
fins, plus nombreux, plus homogènes, et surtout à l'absence de rangées
interambulacraires principales.
Localités. - Ranville (Calvados) ; environs de Dijon (Côte-d'Or). Très
rare. Etage bathonien.
Musée de Genève (collection Martin), ma collection.
Explication des figures.
- Pl. 454, fig. 1, S. Morierei, de Ranville, de ma collection,
vu de côté ; fig. 2, face supérieure ; fig. 3, plaques ambulacraires
et interambulacraires prises au-dessus de l'ambitus, grossies ; fig.
4, tubercule interambulacraire, vu de profil, grossi ; fig. 5,
appareil apical grossi ; fig. 6, autre exemplaire, du Musée de Genève,
vu de côté ; fig. 7, face supérieure ; fig. 8, face inférieure ; fig.
9, plaques interambulacraires grossies.
planche 454 (extrait)
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Stomechinus
morierei
Cotteau,1880,
Bajocien, Maroc, 60 mm |
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Stomechinus
morierei
Cotteau,1880,
Bajocien, Maroc, 36 mm |
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Stomechinus
morierei
Cotteau,1880,
Bajocien, Maroc, 34 mm |
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Stomechinus
morierei
Cotteau,1880, Bajocien, Maroc,
45 mm |
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Stomechinus theveneti
(Gras,1848) |
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description de l'espèce par Savin, 1905 |
Révision des échinides du département del'Isère, p.191 |
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Spaniocyphus Theveneti A. Gras (Echinus), 1850
Il existe plusieurs exemplaires de cette intéressante espèce dans les
collections de la Faculté des sciences de Grenoble, du Muséum
d'Histoire naturelle (Coll. A. Gras) et de M. le Conseiller Gevrey.
J'en possède également un bon individu que j'ai recueilli au rimet,
dans une course faite avec mon ami, M. Gevrey.
Je crois devoir maintenir cette espèce dans le Genre Spaniocyphus
créé, en 1883, par Pomel pour certains Psammechinus comme
Ps. fallax, Ps. Montmolini, etc.
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Le spaniocyphus Theveneti se dinstinguera toujours facilement
de ses congénères par ses tubercules peu nombreux, formant seulement
deux rangées dans les ambulacres et quatre dans les interambulacres,
par ses granules fins, abondants, homogènes, par son péristome muni de
faibles entailles.
Localité. - Le Rimet.
Aptien supérieur (couche à Orbitolines supérieure).
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description de l'espèce par Cotteau |
Paléontologie française, terrains crétacés, oursins réguliers, tome VII,
p.843 |
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N° 2608.
Psammechinus Theveneti, Desor,1857
(Echinus,184.8)
Pl. 1203.
C. 34.
Espèce de taille moyenne, sub-circulaire, médiocrement renflée en
dessus, presque plane en dessous. Zones porifères droites,
granuleuses, s'élargissant un peu autour du péristome. Aires
ambulacraires garnies de deux rangées de petits tubercules.
sub-scrobiculés, finement mamelonnés, augmentant à peine de volume à
la face inférieure, placés très-près des zones porifères, au nombre de
vingt-huit à trente. Serrés et très-régulièrement disposés en dessous
et vers l'ambitus, ces tubercules deviennent quelquefois inégaux et
plus ou moins espacés aux approches du sommet. L'intervalle qui sépare
ces deux rangées, dépourvu de tubercules secondaires, est large et
occupé par des granules fins, abondants, homogènes, plus espacés à la
face supérieure que vers l'ambitus et dans la région infra-marginale.
Aires interambulacraires pourvues de deux rangées principales de
tubercules plus gros, plus espacés et plus fortement scrobiculés que
ceux qui garnissent les ambulacres, au nombre de seize à dix-huit par
série. Deux autres rangées moins complètes et moins régulières, l'une
à d roi te, l'autre à gauche, se montrent sur le bord des
interambulacres ; elles s'atténuent et disparaissent un peu au-dessus
de l'ambitus. La zone très-large qui sépare les deux rangées est
dépourvue de tubercules. Granules intermédiaires abondants, homogènes,
identiques à ceux qui couvrent les ambulacres, tantôt épars, tantôt
groupés en cercles autour des scrobicules, laissant, au milieu de l'interambulacre,
une zone lisse et déprimée, apparente surtout vers le sommet Plaques
coronales relativement assez hautes, offrant, à la base des
tubercules, une impression lisse et horizontale plus ou moins visible.
Péristome à fleur du test, sub-circulaire, marqué de légères
entailles; les bords ambulacraires sont arrondis et beaucoup plus
étroits que ceux qui correspondent aux aires ambulacraires. Périprocte
grand, sub-elliptique. Appareil apicial sub-pentagonal, granuleux ;
plaque madréporiforme un peu plus développée que les autres. |
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Hauteur, 14 millimètres ; diamètre, 24 millimètres.
Rapports et différences.
- Cette jolie espèce se distingue nettement de ses congénères par ses
tubercules peu nombreux, formant seulement deux rangées sur les aires
ambulacraires et quatre sur les aires interambulacraires, par ses
granules fins, abondants, homogènes, par son péristome muni de faibles
entailles, mais offrant cependant un aspect sub-pentagonal qui tend à
rapprocher cette espèce des véritables Stomechinus.
Localité. - Le Rimet
(hère). Assez rare. Étage néocomien sup. ou aptien.
Musée de Grenoble (coll. A. Gras) ; coll. Thevenet, Lory, ma
collection.
Explication des figures.
- Pl. 1203, fig. 1, P. Theveneti, de la coll. de M. Thevenet,
vu de côté ; fig. 2, face sup.; fig. 3, face inf.; fig. 4, aire ambul.
grossie; fig. 5, aire interambul. grossie; lig. 6, plaques ambul.
fortement grossies ; fig. 7, plaques interambul. fortement grossies;
fig. 8, individu plus jeune, de ma coll., vu de côté ; fig. 9, face
sup.; fig. 10, face inf.; fig. 11, appareil apicial grossi.
planche 1203 (extrait)
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Stomechinus theveneti
(Gras,1848) - Rubielos
de Mora, Teruel, Espagne, Aptien, 30 mm |
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Stomechinus
tinginatus
Vadet & Nicolleau,2006 |
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paratype, conservé
au Musée d'Histoire Naturelle de Toulouse
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figuré in
Vadet, 2006, Les oursins
Domériens de la région de Rich (Maroc), p.33 |
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Stomechinus
tinginatus
Vadet & Nicolleau,2006,
Pliensbachien, Amellago, Maroc, 11 à 15 mm (11mm pour le spécimen
isolé) |
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Stomechinus
tinginatus
Vadet & Nicolleau,2006,
Pliensbachien, Amellago, Maroc, 16 mm |
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Genre
Thierychinus
Lambert,1910
Sur trois genres
d'échinides nouveaux, p.5
Espèce type
Thierychinus delaunayi Lambert
in Lambert & Thiery,1911 (désignation
subséquente par Lambert
in Lambert &
Thiery,1911, Essai de nomenclature raisonnée des échinides. p.244)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) :
Bajocien |
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Diagnose originale du
genre et de
l'espèce type, d'après Lambert, 1910 |
Sur trois genres
d'échinides nouveaux, p.5 |
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Genre
THIERYCHINUS Lambert
Echinide de la tribu des Stomechinae, à ambulacres composés de
majeures oligopores ; forme générale renflée, subconique ; large
péristome, dépourvu de profondes scissures branchiales ;petits
tubercules granuliformes, saillants, formant six rangées ambulacraires
et dix interambulacraires. Pores disposés en deux séries bien
distinctes : la série externe, plus fournie, comprend deux paires de
pores, la centrale au contact de l'interambulacre, l'aborale un peu en
retrait ; la paire de pores adorale, retirée entre les tubercules,
forme une série interne, bien séparée.
Le rejet de l'une des paires de pores de chaque majeure en série
interne et séparée était jusqu'ici complètement inconnu chez les
Echinides secondaires. Cette disposition est, en réalité, presque
concomitante du premier large développement des Echinides, bien
qu'elle ait attendu jusqu'au Miocène pour se généraliser,
principalement dans le groupe pourvu de profondes scissures
branchiales.
Type unique : T. Delaunayi Lambert, du Vésulien de
Saint-Gaultier (Indre), suffisamment caractérisé par la diagnose
générique et la figure ci-dessus. |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911 |
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holotype, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert & Thiery, 1911,
Essai de nomenclature raisonnée des échinides, pl.6 |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 39 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Talsinte, Maroc, 83 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 67 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 77 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 81mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 70 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 72 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 83 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 66 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 68 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 79 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 92 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 72 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 77 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 85 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Maroc, 90 mm |
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Thierychinus
delaunayi
Lambert,1911,
Bajocien, Talsinte, Foum Slimane, Maroc, 68 mm |
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Genre
Tiarechinopsis
Lambert
in Besairie,1936
Echinides
du Bajocien du Plateau de l'Ankara, p.120
Espèce type
Tiarechinopsis besairiei Lambert
in Besairie,1936 (désignation originale)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) :
Bajocien |
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Tiarechinopsis besairiei
Lambert |
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syntype, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris
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figuré in
Lambert, 1936, Echinides
du Bajocien du Plateau de l'Ankara, p.120 |
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Tiarechinopsis besairiei
Lambert
in Besairie,1936,
Bajocien, Maroc, 25 mm |
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