Trigonocidaridae
Mortensen, 1903
Genre type : Trigonocidaris
Agassiz, 1869, p.263
Description succinte de la famille : Apex
dicyclique, ambulacres trigéminés, tubercules non perforés, légèrement
crénelés, voir pas du tout.
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Genre
Arbacina
Pomel,
1869
Espèce type
Echinus monilis
(Desmarest in
Defrance,1825)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Miocène -
Pliocène
traité ici comme
synonyme subjectif de Genocidaris |
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description du genre
par Pomel |
Classification
méthodique et genera des échinides vivants et fossiles, 1883, p.84 |
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Arbacina Pom. Globuleux
; apex rond, caduc. Zones porifères trigéminées, à paires de pores à
peine dissociées en échelons de trois. Péristome petit, arrondi, à
entailles obsolètes avec rebord calleux. Tubercules lisses, faiblement
mamelonnés en deux rangées principales dans chaque aire, avec des
rangées secondaires interambulacraires et des granules grossiers,
inégaux, qui oblitèrent plus ou moins les rangées secondaires. Des
traces d'impressions suturales sous les tubercules principaux,
surmontant un groupe de trois granules allongés contigus. A.
Forbesiana A. Ag. (sub Cottaldia) est vivant ; A.
monilis, catenatus, sulcatus, Spadae,
Henslowi, Charlesworthii, Woodsii (Psammechinus
des auteurs) sont tertiaires. |
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Genre
Genocidaris
Agassiz,1869
Espèce type
Genocidaris maculata
Agassiz,1869
Par désignation
originale
Preliminary report on
the Echini and Starfishes dredged in deep water between Cuba and Florida
reef by L.F. De Pourtalès,
p.262
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Miocène
inférieur - Actuel |
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diagnose originale du
genre par Agassiz,1869 |
Preliminary report on
the Echini and Starfishes dredged in deep water between Cuba and Florida
reef by L.F. De Pourtalès,
p.262 |
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Genocidaris
maculata
A. Ag. nov. gen. et sp.
This
genus is established for a small Sea-urchin, the living representative
of Opechinus, which Desor separated from Temnopleurue. The spinnes
resemble in their structure those of Temnopleurus, but are short ; the
Sea-urchin with its spines resembling a Psammechinus, and having, like
it, a large number of tubercles, of nearly uniform size, closely
crowded together, but of a peculiar chiselled structure (so that it
may be said that this genus is a Psammechinus among Temnopleuridae),
there is one principal row in the ambulacral and interambulacral area
larger than the others. The poriferous zone is narrow ; the pores are
arranged in an unbroken vertical row separated by an arched ridge. The
mamelon of the primary tubercles is smooth, imperforate. Near the base
of the tubercle the test is ornamented by cuts specially marked near
the suture of the plates, and the small tubercles are frequently
connected by a ridge with the main tubercles, the ridge forming spokes
radiating from a hub, similar to the structure of Glyphocyphus
radiatus, and sonme species oe Echinocyphus. The genera Opechinus,
Temnotrema, Trigonocidaris, and Genocidaris form a transition between
Psammechinus and Temnopleurus. The actinal membrane is bare, with the
exception of the ten small circular buccal plates. The actinal opening
is not large, with slight indentations : the test is irregularly
covered with pedicellariae, having a blunt head surmounting a long,
slendeer stem, argiculating upon a shorter, stout rod. The abactinal
system is peculiar, as we find, in the largest specimens even, which
appear fuly developed, but a single circular plate, slightly conical,
occupying nearly the whole anal system, with the exception of a small
crescent-shaped slit, covered by four very small plates. The genital
plates are large pentagonal, with a deep groove, in which is situated
the genital opening, having on the anal edge a cluster of three or
four small tubercles ; the ocular plates are also pentagonal,
elongated horizontally. The color of the test is greenish (in alcohol),
mottled with dark violet patches ; the spines are of the same greenish
tinge, banded irregularly with reddish, transverse bands. In other
specimens we have the same pattern of coloration, in different shades
of green, witth white spots irregularly scattered over the surface.
From 30
to 160 fathoms. |
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Genocidaris maculata
(Agassiz,1869) |
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Genocidaris maculata
(Agassiz,1869)
- Pliocène
inférieur, Balmera, Almeria, Espagne, 10 mm |
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Genocidaris maculata
(Agassiz,1869)
- Pliocène
inférieur, Balmera, Almeria, Espagne, 12 mm |
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Genocidaris catenata
(Desor in
Ag. & Desor,1846) |
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description de
l'espèce par Lambert, 1910 |
Description des
échinides néogènes du bassin du Rhône, p.27 |
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Arbacina catenata Desor
(Psammechinus), 1846.
(Pl. 1, fig. 52 à
58.)
Cette espèce, à l'origine non figurée et de provenance exacte
inconnue, a été mal interprétée. Desor l'indiquait comme «voisine du
Psammechinus fallax, mais «à tubercules miliaires plus petits,
comme du chagrin.» Il ajoute au Synopsis : « renflée, avec tubercules
principaux formant des rangées qui se détachent bien « dans chaque
aire ; granules miliaires très petits, comme du chagrin.»
L'interprétation d'une pareille espèce était délicate, Savin l'a
cependant heureusement tentée, et son interprétation doit aujourd'hui
être suivie, parce qu'elle est la première en date et parce qu'il y a
identité entre ses individus de l'Isère et la forme typique du Comtat.
La nouvelle description et les figures données par Savin ne sauraient
cependant être acceptées sans critique. Je dois au savant Echinologue
une dizaine d'individus recueillis par lui à Ste-Marie d'Alvey, à
divers états de développement et, après les avoir examinés, je crois
pouvoir dire que Savin a pris des granules mamelonnés pour des rangées
secondaires de tubercules. Il a ainsi attribué à l'espèce des rangées
multiples qui, encore exagérées sur sa figure 67, lui donnent la
physionomie d'un Magnosia. L'espèce adulte montre bien entre
ses tubercules principaux quelques tubercules secondaires en rangées
irrégulières et comme perdus dans la granulation générale du test,
mais elle n'a pas de troisième rangée secondaire formant avec les
autres des séries. horizontales.
Je prends comme néotype de l'espèce un individu de la région du Comtat
d'où provenait sans doute le type du Musée d'Avignon. En voici la
description :
Espèce de moyenne taille, mesurant 12mm de diamètre sur 7mm de
hauteur, subrotulaire, assez renflée, à petit péristome (4mm)
circulaire et apex caduc. Zones porifères droites, formées de paires
de pores que séparent de petites cloisons saillantes, les unes
régulièrement transverses, les autres un peu obliques. Tubercules
principaux ambulacraires contigus aux pores, les interambulacraires
flanqués des côtés externe et interne de quelques tubercules
secondaires, en rangées assez régulières en dessous, disparaissant en
dessus; granules miliaires serrés, très inégaux, souvent mamelonnés,
simulant des rangées ternaires dans l'interambulacre et des rangées
secondaires dans l'ambulacre. Les tubercules principaux d'une même
rangée sont reliés entre eux et comme enchaînés (catenati) par
des saillies costiformes qui laissent entre elles des pseudo-fossettes
et la granulation générale présente bien l'aspect chagriné signalé par
Desor. |
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Au diamètre de 9mm les caractères généraux sont déjà ceux de l'adulte,
mais les tubercules secondaires sont moins apparents, les granules
mamelonnés moins nombreux et ceux-ci se groupent principalement autour
des tubercules. Au diamètre de 6mm, les tubercules secondaires
disparaissent à peu près complètement, et cependant j'estime avec
Savin que ces petits individus, que l'on trouve dans les mêmes
gisements, appartiennent bien à la même espèce. On observe déjà sous
les tubercules les irradiations costiformes qui semblent les enchaîner
bien qu'elles soient souvent moins nettes.
Ces petits individus, voisins du A. Piae Lovisato, en diffèrent
par leurs tubercules plus espacés et leur granulation miliaire moins
homogènes.
Localités. Beaucaire,
Les Angles (Gard), Vedènes (Vaucluse), Plan d'Arren
(Bouches-du-Rhône), Ste-Colombe, Gattières près Vence
(Alpes-Maritimes), Ste-Marie d'Alvey (Isère); étage Langhien. Coll.
Allard, Chatelet, Jacquemet, Lambert. Musée de Lyon (Savin). Le
néotype décrit et figuré est l'individu du Plan d'Arren.
Extrait planche
1
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Genocidaris monilis
(Desmarest in Defrance,1825) |
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diagnose originale de
l'espèce par Desmarest in Defrance, 1825 |
Dictionnaire des
Sciences Naturelles, t.37, p.100 |
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Echinus
monilis, Desm. Cette espèce, qui n'a que six à sept lignes de
diamètre, est hémisphérique, un peu déprimée et couverte de tubercules
peu élevés ; elle a de très-grands rapports avec l'espèce qui est fort
commune dans les couches du calcaire de Doué en Anjou, qui n'est point
pétrifiée, et à laquelle il manque presque toujours les pièces de la
bouche et celles de l'anus. Ces petits oursins étant légers, solides
et percés de part en part, il arrive que quelques personnes, en
passant un cordon au travers, en forment des sortes de colliers. On
trouve à Thorigné, près d'Angers, dans la couche du calcaire grossier,
de petits oursins qui ont encore beaucoup d'analogie avec cette
espèce. |
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figuré, conservé
au Musée National d'Histoire Naturelle de Paris |
figuré in
Lambert 1910
- Description des échinides des terrains néogènes
du Bassin du Rhône |
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Genocidaris
monilis
(Desmarest in
Defrance,1825)
- Helvétien,
Meigné-le-Vicomte, Indre et Loire, 14 et 11 mm |
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Genocidaris mutellaensis
(de loriol),1896 |
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Diagnose originale de l'espèce par de Loriol, 1896 |
Description des
échinodermers tertiaires du Portugal, p.8
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arbacina mutellaensis,
P. de Loriol, 1896.
PI. I, fig. 10
Dimensions
Diamètre.................................... 9 mill.
hauteur, par
rapport au diamètre....... 0,55
Test subhémisphérique, un peu renflé au pourtour, uniformément convexe
en dessus, un peu pulviné à la face inférieure.
Appareil apical inconnu.
Zones porifères assez larges, droites, un peu déprimées. Pores
disposés par petits arcs de trois paires à peine obliques, constituant
presqu'une série verticale simple; une petite saillie sépare les
paires de pores.
Aires ambulacraires étroites, bordées de chaque côté par une série de
petits tubercules assez fortement mamelonnés, lisses, imperforés,
écartés, tout à fait contigus aux zones porifères; on compte treize
tubercules par série, un ou deux granules entre chaque tubercule. La
zone médiane est étroite et garnie de granules relativement assez
gros, peu abondants, un peu oblongs, et très serrés. Au sommet de
l'aire, les deux séries de tubercules sont presque contiguës.
Aires interambulacraires larges, avec deux séries de tubercules
semblables à ceux des aires ambulacraires, au nombre de onze par
série. La zone miliaire est garnie de granules oblongs, assez gros,
relativement, inégaux, épars, très serrés, accompagnés de petites
verrues microscopiques. Le long des zones porifères, outre quelques
granules, se trouve encore comme une série peu régulière de très
petits tubercules secondaires. |
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Péristome petit, assez enfoncé, circulaire, faiblement entaillé; son
diamètre égale 0,44 de celui de l'oursin.
Rapports et
différences.—Cette petite espèce, dont je ne connais qu'un seul
exemplaire, mais en très bon état de conservation, se distingue de
suite de l'Arbacina monilis, (Desor) Pomel, par sa forme déprimée et
sa granulation entièrement différente. Je ne trouve, du: reste, aucune
espèce, parmi celles qui ont été décrites, avec laquelle celle-ci
pourrait être confondue.
Localité.—Entre Mutella et Cacilhas, (VI b).
Extrait planche
I
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Genocidaris mutellaensis
de loriol,1896
- Langhien,
Portimao Vao, Portugal, 9 mm |
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Genocidaris mutellaensis
de loriol,1896
- Pliocène,
Aguilas, Murcia, Espagne, 14 mm |
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Genocidaris piae
(Lovisato,1895) |
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description de
l'espèce par Cottreau |
Echinides néogènes du
bassin méditerranéen, 1913, p.80 |
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Arbacina
Piae Lovisato (Pl. I, fig. 9).
J'avais remarqué, lors d'une visite aux collections du British Museum
à Londres, un petit Arbacina provenant de Malte. Aucune espèce
de ce genre n'ayant été signalée dans la liste, pourtant si riche, des
Echinides maltais, M. le Professeur F.-A. Bather eut l'amabilité de me
communiquer sur ma demande ce précieux et unique échantillon : je suis
heureux de lui exprimer ici mes vifs remerciements.
Cet exemplaire a été comprimé latéralement et la face inférieure est
encroûtée de calcaire ; mais l'un des côtés, bien dégagé, présente
fort nettement les caractères des Arbacina, et, en particulier,
de l'Arbacina Piae Lov. Il mesure tranversalement un peu plus
de 4 millimètres ; sa hauteur est de 2mm,5 (dimensions
légèrement plus petites que celles de l'exemplaire figuré par Cotteau).
Les caractères qui le rattachent à Arbacina Piae sont les
suivants :
1° Zones porifères non déprimées à paires de pores directement
superposées.
2° Aires ambulacraires de même largeur avec tubercules inégaux, bien
développés à l'ambitus, atténués à la face supérieure. Les
granulations contiguës, s'irradiant tout autour des tubercules
mamelonnés, scrobiculés et les reliant à des granules disposés en
cercle autour de ces tubercules, sont particulièrement bien visibles.
3° Zone miliaire partout granuleuse, ce qui le différencie de
Prionechinus tener de Lor. et Arbacina mutellensis de Lor.
- Je n'ai pas noté d'impressions suturales sous les tubercules : elles
n'ont, d'ailleurs, pas été signalées par Cotteau, mais M. Lambert a
constaté sur des Arbacina Piae de Sardaigne trois
pseudo-fossettes. Peut-être, leur absence sur l'exemplaire de Malte
doit-elle être attribuée à sa petite taille. On sait, d'ailleurs, que
ces fossettes sont souvent fort peu distinctes chez certains
Arbacina classés récemment, en raison de l'absence dûment reconnue
d'impressions suturales, dans le genre Prionechinus Ag.
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4° Absence absolue de tubercules secondaires.
Niveau. - L'exemplaire de Malte appartenant aux collections du
British Museum (catalogué E.4303) provient des "Transition Beds 4 et
5" entre le Globigerina Limestone et le Lower Coralline
Limestone, c'est-à-dire de l'Aguitanien supérieur ou, tout au plus, de
la base du Burdigalien. - En Sardaigne, Arbacina Piae
Lov. a été cité par M.
J. Lambert dans l'Aquitanien (grès de Mandas), le Burdigalien (Cadreas)
et l'Helvétien (Cap Sant'Elia, Portotorres, Thiesi). Ce serait un des
premiers Arbacina, ce genre ne faisant son apparition, dans
l'état actuel de nos connaissances, qu'au Néogène inférieur
(Aquitanien supérieur), en même temps que le genre Prionechinus
qui ne s'en différencie que par l'absence de fossettes suturales et
par les pores parfois disposés faiblement en arcs, ce qui ne me paraît
avoir tout au plus qu'une valeur de sous-genre.
Extrait planche
I
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Genocidaris piae
(Lovisato,1895)
- Lhangien, Upper
Globigerina limestone, Gozo, Malte, 9 mm |
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spécimen avec son appareil apical |
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Genocidaris piae
(Lovisato,1895)
- Lhangien, Middle
Globigerina limestone, Gozo, Malte, 10 mm |
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Genocidaris romana
(Merian in
Desor,1858) |
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Diagnose originale de l'espèce par Merian in Desor, 1858 |
Synopsis des échinides fossiles, p.122 |
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Romanus
Merian, nov. sp. Petite espèce renflée, voisine du P. monilis,
mais plus tuberculeuse.
Tertiaire supérieur (Pliocène) de Palerme.
Mus.
Bâle. Exemplaire unique. |
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Genocidaris romana
(Merian in
Desor,1858)
- Pliocène
inférieur, Balema, Almeria, Espagne, 7-7-5-4 mm |
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Genre
Circopeltis
Pomel,
1883
Classification
méthodique et genera des échinides vivants et fossiles, p.253
Espèce type
Leiosoma meridanense
(Cotteau,1867)
Paléontologie française, terrains crétacés, tome VII, p.765, pl.1186.
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Turonien -Ilerdien
Syn.
-
Pseudarbacia
Lambert, 1897, p.515. Espèce
type Leiosoma archiaci
Cotteau, 1866, p.767 ; synonyme subjectif plus récent
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Circopeltis meridanensis
(Cotteau,1866) |
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N° 2385.
Leiosoma Meridanense, Cotteau, 1866.
Pl, 1186, fig. 1-7.
Espèce de petite taille, circulaire, sub-hémisphérique en dessus,
presque plane en dessous. Zones porifères subonduleuses, garnies de
pores très-petits, serrés, séparés par un renflement granuliforme, se
multipliant à peine autour du péristome. Aires ambulacraires
très-étroites près du sommet, s'élargissant au fur et à mesure
qu'elles descendent vers la région infra-marginale, garnies de deux
rangées de tubercules serrés, homogènes, fortement mamelonnés,
entourés de scrobicules saillants, au nombre de onze à douze par série
; les tubercules les plus rapprochés du sommet affectent une
disposition alterne. L'espace laissé libre par ces deux rangées est
étroit et occupé par des granules assez gros, homogènes, et pénétrant
çà et là entre les scrobicules. Les plaques porifères sont
irrégulières, apparentes et prolongent leurs sutures à la base externe
des tubercules. Aires interambulacraires relativement étroites,
pourvues de deux rangées, de tubercules de médiocre grosseur, à peu
près identiques it ceux qui occupent les ambulacres, comme eux
saillants et fortement mamelonnés, au nombre de, onze à douze par
série. Zone miliaire étroite, marquée au milieu d'un sillon assez
apparent qui correspond à la suture des plaques. Granules
intermédiaires inégaux, serrés, plus abondants vers l'ambitus qu'a la
face supérieure, groupés en demi-cercles autour des scrobicules.
Péristome assez grand, circulaire, légèrement enfoncé. Périprocte
sub-elliptique., Appareil apicial•étroit, vaguement arrondi, saillant
au-dessus du test, granuleux ; plaques génitales inégales, perforées
près de l'angle externe, la plaque madréporiforme spongieuse et
beaucoup plus étendue que les autres ; plaques .ocellaires
très-petites, sub-pentagonales, placées dans l'angle des, plaque,
génitales, à l'exception de la plaque postérieure de droite qui
aboutit directement sur le périprocte.
Hauteur, 7 millimètres.; diamètre, 44 millimètres. |
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Rapports et différences.
- Nous avions d'abord considéré cette espèce comme le jeune âge du
L. Archiaci avec lequel elle offre, au premier aspect, beaucoup de
rapport. En l'étudiant avec plus de soin nous avons reconnu qu'elle en
différait d'une manière très-nette par ses zones porifères plus
onduleuses, ses tubercules plus épais et séparés, dans les ambulacres
comme dans les interambulacres, par une zone miliaire beaucoup moins
large, par ses granules moins fins, moins abondants et moins
homogènes.
Localité. — Figuières (Bouches:lu-Rhône).
Très-rare, associé à de nombreux polypiers. Étage turonien..
Ma collection.
Explication des figures.
— PI. 1186, fig. 1, L, Meridanense, de ma collection, vu de
côté; fig. 2, face sup.; fig. 3, face inf.; fig. 4, aire ambul.
grossie; fig. 5, aire interambul. grossie ; .fig. 6, tubercule grossi,
vu de profil ; fig. 7, appareil apicial grossi.
planche 1186 (extrait)
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Circopeltis meridanensis
(Cotteau,1866) - Santonien supérieur, Sougraigne, Aude, 17 mm |
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Circopeltis meridanensis
(Cotteau,1866) - Santonien supérieur, Sougraigne, Aude, 15 mm |
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Circopeltis baicheri
Cotteau,1892 |
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Diagnose originale de l'espèce par Cotteau, 1892 |
Paléontologie française - Terrain Tertiaire - Echinides éocènes, t.
2, p.510 |
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N° 294. - Circopeltis
Baicherei, Cotteau, 1892.
Pl. 319 et 320.
Espèce de taille assez forte, élevée, renflée en dessus, subdéprimée
au sommet, presque plane en dessous, pulvinée et arrondie sur les
bords, subconcave au milieu. Zones porifères presque droites, un peu
onduleuses cependant vers l'ambitus et à la face inférieure, formées
de pores simples, arrondis, très rapprochés les uns des autres,
déviant de la ligne droite à la face inférieure et surtout ausx
approches du péristome ; quatre ou cinq paires de pores correspondent
à une plaque ambulacraire majeure. Aires ambulacraires étroites près
de l'appareil apical, s'élargissant au fur et à mesure qu'elles
descendent vers l'ambitus, garnies de tubercules bien développés,
saillants, lisses, ipmperforés, fortement mamelonnés, au nombre de
dis-sept ou dix-huit par série. Près du sommet, les tubercules sont
ordinairement irréguliers, alternes. Point de tubercules secondaires.
Granules intermédiaires peu nombreux, inégaux, quelquefois mamelonnés,
formant une rangée sinueuse au milieu de l'aire ambulacraire et se
prolongeant çà et là entre les scrobicules. Tubercules
interambulacraires de même nature, mais un peu plus gros cependant, et
plus espacés que les tubercules ambulacraires, au nombre de quinze ou
seize par série. Les deux rangées de tubercules principaux sont très
rapprochées, mais, de chaque côté, s'élève une série de tubercules
secondaires, moins développés que les autres, très apparents
cependant, régulièrement disposés et s'élevant au-dessus de l'ambitus.
L'espace intermédiaire est occupé par d'autres tubercules secondaires
plus petits, inégaux, peu nombreux, et par des granules quelquefois
mamelonnés, comme ceux des aires ambulacraires. Ces granules forment
une rangée sinueuse au milieu des aires interambulacraires, et se
prolongent çà et là entre les scrobicules des tubercules principaux et
secondaires. Péristome subcirculaire, un peu déprimé, marqué de très
faibles entailles. Appareil apical étroit, subpentagonal, un peu
granuleux. Plaques génitales pentagonales, perforées très près du bord
externe, la plaque madréporiforme plus développée que les autres ;
plaques ocellaires petites, subtriangulaires, les unes intercalées à
l'angle externe des plaques génitales, les autres, aboutissant
directement sur le périprocte.
Nous connaissons un assez grand nombre d'exemplaires de cette espèce,
de taille variable ; les caractères paraissent les mêmes, dans les
exemplaires jeunes comme chez ceux qui sont le plus développés : les
pores sont simples dans toute leur étendue et offrent la même tendance
à dévier de la ligne droite à la face inférieure. Les tubercules
secondaires varient, cependant, un peu dans leur nombre et leur
développement, sans que les différences proviennent de la taille de
nos individus.
Exemplaire de taille moyenne : hauteur, 19 millimètres ; diamètre, 36
millimètres.
Individu jeune : hauteur, 13 millimètres ; diamètre, 27 millimètres. |
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Localités. - Montazels,
Conques (Montagne-Noire) aude, Assez commun. Eocène moyen.
Rapports et différences.
- Cette espèce est bien caractérisée par se forme renflée ; par ses
zones porifères à peine flexueuses à la face supérieure, beaucoup plus
arrondies à la face inférieure ; par ses tubercules ambulacraires et
interambulacraires à peu près de même taille ; par ses tubercules
secondaires interambulacraires très nombreux, bien développés, et
donnant à cette espèce un aspect tuberculeux tout particulier ; par
ses granules peu abondants, inégaux, quelquefois mamelonnés. L'espèce
est voisine du Coptosoma atacicum, que nous avons décrit plus
haut ; elle s'en rapproche par sa forme bombée, par la petitesse de
son appareil et de son péristome, mais elle s'en distingue par des
zones porifères plus droites, par ses tubercules interambulacraires
secondaires beaucoup moins gros et surtout par l'absence de petites
crénelures à la base des mamelons, caractère essentiel et qui place
l'espèce dans un genre différent.
Coll. Gauthier. Baichère.
Explication des figures.
- Pl. 319, fig. 1, C. Baicherei, de la colleciton de M.
Gauthier, vu de côté ; fig. 2, face supérieure ; fig. 3, face
inférieure ; fig. 4, partie supérieure du test et appareil apical,
grossis ; fig. 5, plaques ambulacraires, grossies ; fig. 6, plaques
interambulacraires, grossies ; fig. 7, tubercule interambulacraire, vu
de côté, grossi. Pl. 320, fig. 1, autre exemplaire de grande taille,
de la collection de M. Baichère, vu de côté ; fig. 2, face supérieure
; fig. 3, autre exemplaire, de petite taille, de la collection de M.
Baichère, vu de côté ; fig. 4, face supérieure ; fig. 5, partie
supérieure de l'aire ambulacraire, grossie ; fig. 6, partie inférieure
de l'aire ambulacraire montrant la disposition des pores, grossie ;
fig. 7, plaques interambulacraires prises vers l'ambitus, grossies.
planches 319 et
320 (extrait)
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Circopeltis baicheri
Cotteau,1892
- Ilerdien, Aude, 33 mm |
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Circopeltis emiratus
Smith,1995 |
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Diagnose originale de l'espèce par Smith,1995 |
Late
Campanian-Maastrichtian echinoids from the United Arab emirates-Oman border
region, p.172 |
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Circopeltis? emiratus sp. nov.
PI. 15, figs 1-3; PI. 17, figs 1,2; Fig. 37
Types. The holotype is
BMNH EE3584 and paratypes are BMNH EE3582, EE3583, EE3585 and EE3596.
Other material. There is
one other fragment tentatively attributed to this species, BMNH
EE3586.
Occurrence. In the
western Oman mountains this species is found at thefollowing levels:
Jebel Buhays section 1: loose in scree (derived from lower beds of the
Simsima Formation) (1).
Jebel Buhays section 3: immediately overlying prominent red marly sand
level (ca. 3 m above the base of the SimsimaFormation) (2).
Jebel Rawdah section 3: bed 6 (1). Section 3b basal 1 m (1).
Jebel Rawdah, section 4: bed 4 (1).
It is thus known from the Maastrichtian of the western Oman Mountains.
Diagnosis. Test low,
domal; apical disc hemicyclic with plates firmly bound to the corona.
Ambulacra straight, plating compound in the phymosomatoid style with
five or six elements to a compound plate; pore-pairs arranged in
arcs from apex to peristome. There is a single large primary tubercle
to each plate with broad adradial and interradial zones of secondary
tuberculation.
Description. Tests range
in diameter from 20-1 mm to 47-2 mm and in height from 11-8 to 23-5
mm (mean test height is 53% of test diameter). The test is circular in
outline and flattened ovate in profile, with the ambitus at
approximately 40% of test height above the base.
The apical disc is hemicyclic, with the three anterior oculars
insert and the posterior two exsert (Fig. 37A). The apical disc is
19-24% of the test diameter in diameter (mean = 22%) and the periproct
occupies approximately 55% of the apical disc diameter. The periproct
is D-shaped in outline, with the slightly flattened edge abutting the
madreporite. Genital plate 2 is the largest and is tumid and covered
in dense madrepores. Other genital plates and all ocular plates have a
scattering of small miliary tubercles.
The ambulacra are 22-24% of the test diameter in width at the
ambitus. They are straight and taper gradually adapically. All plates
are compound in the phymosomatid style (Fig. 37B) and most are
composed of five, or occasionally six, elements. The three most adoral
plates however are composed of just four elements. Pore-pairs are
arranged in arcs and phyllodes are developed around the peristomial
edge. Each compound plate has a single large primary tubercle
(imperforate and non-crenulate) that overlaps all five (or six)
elements that make up the compound plate (Fig. 37C; PI. 17, fig. 1).
There is a much smaller secondary tubercle lying perradially, plus one
or two scattered miliary granules. The perradial zone is relatively
broad. There are 14 compound plates and 73 pore-pairs at 20 mm test
diameter, rising to 18 compound plates and 88 pore-pairs at 37 mm test
diameter. There are no sphaeridial pits.
Interambulacra are broad and carry two rows of primary tubercles,
set close to the adradial margin. There are 13 plates in a column at
20 mm test diameter, rising to 17 at 37 mm test diameter. Areoles are
almost contiguous adorally but
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are separated
adapically. The mamelon is large and imperforate and there is a narrow
ledge that may retain faint traces of crenulation in well-preserved
individuals. Adradially there is a narrow band of small secondary
tubercles and miliary granules. Interradially the plates are slightly
depressed and there are small and irregularly scattered secondary
tubercles throughout (PI. 17, fig. 2). Both columns reach the
peristomial margin.
The peristome is about 42% of the test diameter across. It is
slightly invaginated. Buccal notches are moderately well-developed and
have a thickened lip. Lantern and spines are unknown.
Remarks. This species
has a phymosomatid style of ambulacral compounding. However, the
apical disc structure differentiates it from the great majority of
phymosomatids, since these almost all have monocyclic apical discs
that are typically caducous. Only Glyptocidaris has a
comparable apical disc. Furthermore, this species has tuberculation
that is virtually non-crenulate, whereas other genera, including
Glyptocidaris, show stronger crenulation. The species is here
tentatively assigned to the genus Circopeltis. Circopeltis
has polygeminate plate compounding and a hemicyclic apical disc.
Circopeltis also has non-crenulate tuberculation. However, its
ambulacral compounding style is unreported and it is not yet known
whether it is phymosomatoid.
It differs from Phymechinus ? perplexus in its finer
tuberculation, with more extensive scattered secondary tuberculation.
More importantly it has ambulacral pore-pairs in simplearcs
throughout. In Phymechinus pore-pairs become irregularly
biserial adapically. Furthermore, Circopeltis? has a larger
peristome and much less well developed phyllodes than does
Phymechinus? perplexus from the same levels. However, there
is little doubt that the two forms are rather closely related.
Extrait planche
15 (holotype)
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Circopeltis emiratus
Smith,1995
- Maastrichtien,
Simsima Fm, Jebel Buhays, Emirats Arabes Unis, 20mm |
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Genre
Cryptechinus
Philip,1969
The Tertiary echinoids
of south-Eastern australia IV, (2), p.236
Espèce type
(?) Psammechinus humilior
Bittner,1892
Echiniden des Tertiärs
von Australien, p.337
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Miocène |
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diagnose originale du
genre par Philip,1969 |
description du genre
par Duncan, 1889 |
(courtesy of Royal Society of Victoria for providing online
diagnosis) |
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Genus
Cryptechinus gen. nov.
Type species :
Psammechinus (?) humilior Bittner 1892, pp. 337-338; Pl. 1,
fig. 3.
Diagnosis :
Comparatively large, sculptured temnopleurids with strongly crenulate
tubercles and sharp gill slits. The pore-pairs of the ambulacra are
uniserial, and the apical system is dicyclic. Strongly developed
radiating sculpture on each plate may be lost during growth. The
perignathic girdle consists of styliform auricles not united above the
ambulacra.
Remarks : Among the
sculptured temnopleurids discussed by Mortensen (1943a), the living
genus Asterechinus Mortensen alone possesses distinctly
crenulate tubercles, and this genus in other respects is quite unlike
Cryptechinus (the characters of Asterechinus are reviewed below
in discussion of Asaphechinus). The large size, the general
pattern of the sculpture which may be lost on growth, the well-developed
gill slits and the non-united auricles, suggests comparison of
Cryptechinus with the living genus i H. L. Clark. In this genus,
however, the pore-pairs of the ambulacra are strongly arcuate, the
posterior oculars of the apical system are usually insert, and, most
fundamental of all, the tubercles are smooth. Cryptechinus undoubtedly
is most closely related to Asaphechinus gen. nov.
described below, and perhaps this latter genus should merely be
considered as a subgenus of Cryptechinus.
Mention should be made of the N. American Eocene species
Orthechinus pretiosus W. B. Clark (in Clark and Twitchell 1915, p.
118; Pl. 56, fig. 2a-b). The illustrations of this form recently
placed in the genus Brochopleurus by Cooke (1959) who also regarded
Gagaria americana W. B. Clark (op. cit. p. 159; Pl. 73, fig. 8a-b)
as its synonym. However, Gagaria americana was originally
described as possessing perforate, crenulate tubercles, which suggests
glyphocyphid rather than temnopleurid affinities for the species.
Until these forms are more completely known, particularly in the
character of the compounding of the ambulacra, the true affinities of
the American forms cannot be decided.
The generic name, from κρνρτσς, hidden, refers to the fact that,
although the peculiarities of the type species were made known over
seventy years ago, the species has been neglected as a synonym of 'Psammechinus'
woodsi Laube by Australian workers ever since. |
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Cryptechinus humilior
(Bittner,1892) |
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diagnose originale de
l'espèce par Bittner, 1892 |
Ueber Echiniden des
Tertiärs von Australien, p.337 |
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?
Psammechinus humilior nov. spec.
(Tab. I, Fig.
3.)
Weit beträchtlicher entfernen sich vom Typus des Psammechinus
Woodsi zwei andere Exemplare, welche in der Tate' schen Sendung
damit vereinigt waren; sie messen auf 21 mm Durchmesser nur 12mm
in der Höhe und fallen ausserdem sogleich durch ihren viel grösseren
Mundausschnitt, der bei weitem kräftigere Einkerbungen besitzt, auf.
Auch sind ihre Hauptwarzen undeutlich gekerbt und, wie es scheint,
auch durchbohrt; darnach müsste man sie im Sinne der älteren
Auffassung sogar von Psammechimis und Verwandten entfernen. Neuestens
wird aber auf die Kerbung und Durchbohrung der Warzen nur mehr
geringes Gewicht gelegt und Dune an spricht beispielsweise in seiner
Revision, S. 128, von einem Psammechinus mit crenulirten und
perforirten Primärtuberkeln. Da es bei der heute existirenden
Zersplitterung dieser Formen in zahlreiche Genera sehr schwer ist,
ohne grosses Vergleichsmateriale jeder einzelnen Form ihren bestimmten
Platz anzuweisen, so begnüge ich mich hier, eine genaue Beschreibung
der in Rede stehenden Form, welche wohl nur einer der beiden, einander
überdies sehr nahestehenden Familien (oder Subfamilien) der Echiniden
s. str. oder der Glyphocyphinen zufallen kann, mitzutheilen:
Die Apicalplatten fehlen, der ganze Scheitelapparat hat etwa 2/3 des
Durchmessers der Mundlücke besessen. Die Ambulacra sind am Umfange
nicht viel breiter als die Hälfte der Interambulacra. Sie enthalten 13
oder 14 Primärtuberkeln in einer Reihe; nach aussen von diesen beiden
Reihen liegen die etwas vertieften Porenzonen, welche in dreizähligen
Bögen, wie bei Psammechinus und Verwandten, angeordnet sind und
allem Anscheine nach auch ebenso gebauten Plattensystemen entsprechen.
Aus der feineren, dichten Granulirung der Interporiferenzone innerhalb
der beiden Hauptwarzenreihen tritt ziemlich prägnant eine Doppelreihe
halbgrosser Warzen hervor, welche so angeordnet sind, dass jede dieser
Warzen einer der Hauptwarzen entspricht und ein wenig höher liegt, als
die entsprechende Hauptwarze. Letztere besitzen keine Warzenhöfe, an
deren Stelle stehen eine Anzahl von jeder Warze ausstrahlende kurze
Körnchen oder Leistchen; die einzelnen Porenpaare sind ebenfalls durch
erhöhte Leistchen geschieden; jede Hauptwarze erscheint also mehr oder
weniger sternförmig ; die Warzenhälse sind nur sehr undeutlich gekerbt,
die Durchbohrung des Warzenknopfes ist nicht vollkommen sicher
constatirbar und ihr Vorhandensein bleibt fraglich. |
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Die
Interambulacra besitzen ebenfalls je eine Hauptreihe von 13—14
Primärwarzen von gleicher Gestalt und Grösse wie die der Ambulacren,
ihre Basis ist ebenso strahlenförmig verziert und aus der dichten
Miliargranulirung heben sich besonders am Umfange und auf der
Unterseite sowohl rechts als links mittelgrosse Warzen heraus, welche
nahezu vier selbständige Reihen bilden. Besonders die inneren beiden
dieser secundären Warzenreihen haben theilweise eine radiale
Gruppirung der sie umgebenden kleinen Körnchen aufzuweisen, und
letztere zeigen gegen die Mitte jedes Interambulacrums überdies eine
ausgesprochene Tendenz, zu kleinen Leistchen sich zu vereinigen,
welche an der Oberseite parallel der zickzackförmigen Mediannaht der
Interambulacralplatten sich anzuordnen trachten. Die
Oberflächensculptur dieser Art zeigt somit gewisse Anklänge an die
Gruppe der Glyphocyphinen, die ja auch sonst, insbesondere im Baue der
Ambulacralplattensysteme, den Echininen äusserst nahe steht. Wie schon
oben erwähnt, bleibt die genauere systematische Stellung dieser Art
vorläufig zweifelhaft, die Zuweisung zu Psammechinus kann nur
als eine provisorische gelten.
Extrait planche
I
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Cryptechinus humilior
(Bittner,1892)
- Pléistocène,
Madura, Australie, 25 mm |
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Genre
Goniosigma
Fell,1964
Oligocene echinoids
from the Trelissic Basin, New Zealand, p.201
Espèce type
Temnechinus lineatus
Duncan,1877
On
the Echinodermata of the Australian (Cainozoic) Tertiary deposits, p.46 (par
monotypie)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Oligocène
supérieur - Miocène
Syn.
-
Brochopleurus
Fourtau, 1920, p.25. Espèce
type Temnechinus stellatus
Duncan & Sladen, 1886 ; synonyme subjectif plus récent
-
Irenechinus
Fell, 1964, p.211. Espèce
type Irenechinus hentyi Fell,
1964 ; synonyme subjectif plus récent
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diagnose originale du
genre par Fell, 1964 |
Oligocene echinoids from the Trelissic Basin, New Zealand, p.201 |
Royal Soc. of New Zealand (publ.) |
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Order
TEMNOPLEUROIDA
Family
Temnopleuridae
Goniosigma
n. g.
A
temnopleurid resembling Grammechinus, but differing in having
the small secondary tubercles of the interradial (admedian) angles of
the interamb plates arranged in vertical zig-zag series, parallel to
the abradial sutures, so as to form sigmoid patterns on either side of
the interradius. The generic name is of neuter gender.
Type
Species. Echinus enysi Hutton, 1873. |
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Goniosigma enysi
(Hutton,1873) |
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description de
l'espèce par Fell, 1964 |
Oligocene echinoids from the Trelissic Basin, New Zealand, p.201 |
Royal Soc. of New Zealand (publ.) |
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Goniosigma
enysi (Hutton) (Plate 1, figs. 1,2).
Echinus enysi Hutton, F. W. Catalogue of the Tertiary Mollusca
and Echinodermata of New Zealand, 1873, p. 39.
Diagnosis. As for the
genus, only the type species being known.
Hutton’s brief description matches the type, though the species would
have been quite unrecognisable but for the preservation of the
holotype in the collection of the N.Z. Geological Survey. The
characteristic temnopleurid sculpture and non-crenulate imperforate
tubercles are not mentioned by Hutton, nor the sigmoidal pattern of
the secondary tubercles, the distinctive feature of the genus; no
figure was given. Hutton’s name may, nonetheless, be retained on the
basis of the labelled holotype specimen.
The genus Grammechinus Duncan and Sladen was recorded from New
Zealand by Hawkins (1925) on the basis of Echinus enysi, and this
determination was accepted by Fell (1953). However, a review of the
temnopleurid genera since carried out suggests that E. enysi should
not be referred to Grammechinus, for the differences from the
type of that Indian Miocene genus (indicated in the diagnosis of
Goniosigma) are of the order now regarded as generic rather than
specific. Other differences of lesser value are the presence on each
ambital amb plate of one primary and one secondary tubercle (as
opposed to three similar tubercules in Grammechinus ), and the
lack of horizontal sunken sutural depressions in Goniosigma.
The two genera are doubtless related, and both share the unusually
broad interambulacral plates, bearing a horizontal series of enlarged
secondary tubercles, with a slightly larger primary placed midway
along the series. Goniosigma, though restricted to New Zealand,
should probably be considered as an Indo-West-Pacific element
therefore. |
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Holotype. Registration
No. EC272, in the collection of the New Zealand Geological Survey.
Horizontal diameter 28 mm, height approximately 16 mm. Apical region
lost. Peristome obscured, but evidently small, approximately 8 mm
diameter. Locality. “ Broken River (L) ”, Trelissic Basin, Canterbury.
Horizon. Whaingaroan-Duntroonian (Lower-Middle Oligocene).
Fig. I.— Goniosigma enysi (Hutton),
holotype, × 6, test in lateral aspect; reg. no. EC 272, N.Z.
Geological Survey. Photo, M. D. King.
Fig. 2.— Goniosigma
enysi (Hutton), holotype; detail of interamb showing sigmoidal pattern
of secondary tubercles, and part of amb (on left side); X 15. Photo,
M. D. King.
Extrait planche
1
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Goniosigma
enysi
(Hutton,1873)
- Oligocène,
Chattien, Otekaike Lmst, Duntroon, Nouvelle Zélande, 10,6 mm |
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Genre
Ortholophus
Duncan,
1887
Classification
méthodique et genera des échinides vivants et fossiles, p.414
Espèce type
Temnechinus lineatus
Duncan,1877
On
the Echinodermata of the Australian (Cainozoic) Tertiary deposits, p.46 (par
monotypie)
Extension
stratigraphique (bibliographique,
non vérifiée) : Oligocène
supérieur - Miocène
Syn.
-
Brochopleurus
Fourtau, 1920, p.25. Espèce
type Temnechinus stellatus
Duncan & Sladen, 1886 ; synonyme subjectif plus récent
-
Irenechinus
Fell, 1964, p.211. Espèce
type Irenechinus hentyi Fell,
1964 ; synonyme subjectif plus récent
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description du genre
par Duncan, 1889 |
A revision of the
Echinoidea from the Australian Tertiaries, p.100 |
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Genus
Ortholophus, Duncan,
1887, Quart. Journ. Geol. Soc.,vol. xliii. p. 414.
Test small, low, more or less pentagonal in marginal outline,
subconical above the tumid ambitus. Epistroma well developed.
Apical system wanting. Periproct small and circular.
Ambulacra half of the width of the interradia at the ambitus,
straight, with slightly suuken poriferous zones ; pairs in ill-defined
triplets, nearly in straight series, appearing on the actinal flanks
of the costulation. Compound plates made up of a middle demi-plate and
an adorai and aboral primary. A vertical row of small imperforate,
non-crenulated primary tubercles is close to the poriferous zone in
the interporiferous area ; and the space between the rows is occupied
by crowded, transverse, ridge-like costœ, passing from the opposite
tubercles and carrying small secondaries.
Interradia with two vertical rows of primary tubercles, of the same
size and shape as those of the ambulacra ; their scrobicules raised,
united with those placed actinally and dorsally by vertical, straight
costœ, and with those of the opposite row by numerous crowded,
transverse, straight costœ with small secondaries upon them.
Peristome small, almost without cuts.
Fossil. Australian. Tertiaries (Mordialloc). |
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Ortholophus pulchellus
(Bittner,1892) |
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diagnose originale de
l'espèce par Bittner, 1892 |
Ueber Echiniden des
Tertiärs von Australien, p.342 |
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Coptechinus
pulchellus nov. spec.
(Tab. I, Fig.
5.)
Unter den bei der vorigen Art erwahnten weiteren drei Exemplaren
kleiner Echiniden ist das eine ein überaus schon verziertes Stück; es
soli nachstehend beschrieben werden. Sein Durchmesser betragt 11 mm,
seine Mlle etwa 7-8 mm, der Scheitelapparat fehlt, seine Lücke betragt
etwa 4mm im Durchmesser, die Peristomialoffnung ist ein wenig weiter.
Die v1undeinschnitte sind schwach, aber deutlich, der Apical-apparat
dürfte vom Typus der zuvor beschriebenen gewesen sein. Auch der Bau
der dreizahligen Ambulacralplatten ist offenbar derselbe, wie bei den
vorher beschriebenen Formen von Coptechinus und Psammechinus. Die
Ambulacra dieser Form sind ansehnlich breit, am Umfange fast 3/4 so
breit, als die Interambulacra. Die Verzierung der Ambulacra weicht von
jener der Interambulacra ziemlich betrachtlich ab. Interambulacra
sowohl als Ambulacra besitzen zwei Hauptreihen von Warzen, in einer
Reihe circa 13-14. Dieselben sind ungekerbt, die Warzenkopfchen
ziemlich gross. Die Secundarwarzchen ordnen sich auf den Ambulacren,
indem sie eine verlangerte Gestalt annehmen, zu Zickzackreihen, welche
die Hauptwarzen der beiden Reihen quer verbinden, jedoch nicht die
Gestalt wahrer Querleistchen, wie bei der vorigen Art, annehmen,
obwohl sie solchen hie und da recht nahe kommen. Eine
Verticalverbindung der Hauptwarzen der Ambulacra ist nur sehr schwach
angedeutet. Weit starker ist eine solche auf den Interambulacren
vorhanden, wo von Warze zu Warze in jeder Verticalreihe drei langliche
kornchen sich erstrecken, die an der Unterseite jeder Platte einander
stärker geni.hert sind als an der Oberseite, wo besonders die beiden
seitlichen mehr die Gestalt kleiner Secundarwarzchen oder Tuberkeln
besitzen. Die übrige Granulirung der Interambulacralplatten bietet
sehr viele Abwechslung. Gegen aussen, das heisst gegen die Ambulacra,
stehen im Allgemeinen drei knopfformige, theilweise etwas verlangerte
Warzchen, welche gegen die angrenzenden Ambulacra zumeist vier
längliche Kornchen aussenden, die ziemlich regelmassig angeordnet sind;
die zwei mittleren davon entspringen von dem grosseren mittleren
Warzchen und verbinden dieses gleichzeitig mit der untersten Platte
des einen und mit der obersten Platte des zunächst angrenzenden der
dreizahligen Ambulacralplattensysteme, wâhrend die beiden übrigen
lânglichen Kornchen der Interambulacralassel mit den zugehorigen
mittleren Platten der betreffenden dreizahligen Ambulacralsysteme
Fühlung besitzen. Die Porenzonen selbst sind frei von Kornchen und
Leistchen; eine Verbindung über diese hinweg, wie bei der vorigen Art,
findet hier nicht statt. Die gegen die Mittelnaht liegenden
Secundârwarzchen oder Miliargranulationen der Interambulacralasseln
sind auf der Unterseite in der Weise zu länglichen Kornchen entwickelt
und in derselben Tendenz, sich zu Zickzackreihen zu ordnen, gruppirt,
wie auf den Ambulacren, gegen den Umfang aber wird das irnmer weniger
deutlich, die Mittelnaht bleibt frei, und auf der Oberseite ist keine
längliche Gestalt der Karnchen mehr vorhanden, es sind gewohnliche
Miliarwarzchen von runder Form und dicht gedrângter Stellung, welche
die Nähte der Platten frei lassen, so dass diese auf eine gewisse
Erstreckung hin glatt erscheinen. Der Übergang von der auf der |
|
Unterseite herrschenden Structur
mit Verbindungsleistchen in die auf der Oberseite herrschende ohne
diese Leistchen, mit einfacher Kornelung, vollzieht sich ziemlich
rasch in der Region der sechsten Platte vom Munde an gerechnet. Die
glatte Naht der Interambulacra ist also eine ahnliche Erscheinung, wie
bei recenten Arten der Gattung Microcyphus. Trotz dieser
Eigenthümlichkeit dürfte diese Form am besten beim Genus
Coptechinus Cott. unterzubringen sein, da sie wohl in ein anderes
noch weniger leicht einzureihen ist. Es sind ja überhaupt alle hier
als Psammechinus und Coptechinus beschriebenen kleinen
Echinidenformen ohne allen Zweifel einander durchaus nahe verwandt,
wie der tibereinstimmende Bau des Apicalapparates und der Ambulacra,
ja selbst der gleiche Grundtypus der Verzierung der Asseln mit je
einer Reihe von Hauptwarzen lehrt. Nur in der Anordnung und Gestaltung
der secundaren Verzierungen, der Miliartuberkeln oder des »Epistroma«
lassen sich Unterschiede erkennen und diese haben genügt, um bei dem
heutigen Stande der Echinologie diese nahe verwandten Formen nicht nur
in zahlreiche Genera, sondern in mehrere Familien zu trennen, von
denen die Glyphocyphinen, respective Temnopleuriden und die Echiniden
gewiss nur schwer auseinander zu halten sind.
Die
oben bei Coptechinus lineatus erwahnten letzten zwei Exemplare
unter den sectes als Paradoxechinus bestimmt gewesenen Stücken
gehoren abermals einer neuen Art an, sind aber zu ungenügend erhalten,
uni berücksichtigt werden zu konnen. Es erübrigt, noch einige Worte
über Paradoxechinus selbst hinzuzufügen.
Extrait planche
I
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Ortholophus
pulchellus
(Bittner,1892)
- Miocène moyen,
Glenforslan fm, Murray River cliffs, Australie du Sud, 28 mm |
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Ortholophus
pulchellus
(Bittner,1892)
- Miocène moyen,
Mannum, Murray River, Australie du Sud, 13 mm |
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Ortholophus
pulchellus
(Bittner,1892)
- Miocène moyen,
Glenferslan formation, Overland Corner, Australie du Sud, 14 mm |
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Ortholophus stellatus
(Duncan & Sladen,1886) |
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Ortholophus stellatus
(Duncan & Sladen,1886)
- Miocène,
Attarakotte, Golden Bay, Nouvelle Zélande, 10 mm |
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Ortholophus stellatus
(Duncan & Sladen,1886)
- Miocène,
Attarakotte, Golden Bay, Nouvelle Zélande, 10 mm |
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Ortholophus woodsi
(Laube,1869) |
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diagnose originale de
l'espèce par Laube, 1869 |
Über einige fossile
Echiniden von den Murray Cliffs Süd-Australien, p.[185] |
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Psammechinus Agassiz.
Psammechinus Woodsi
Laube.
(Fig. 1.)
Ein
kleiner Seeigel von schwach coonisher Form mit flacher Basis. Die
Interambulacralfelder sind nicht viel breiter als die ambulacralfelder
etwa um ein viertel, man zählt in einer Reihe Fünfzehn primäre Warzen,
welche auf den Asseln nicht ganz genau im Centrum stehen, sondern
etwas gegen die Porenzonen hingerückt sind. Die Warzen sitzen auf
einem ziemlich hohen Warzenhals, der Warzenhof aber ist nicht deutlich
abgegranzt. Die Assel ist mit kleineren secundären Wärzchen bedeckt,
aus welchen je eine oder zwei auf einer Assel besonders hervorragen,
welche einwärts von den primären Warzen mit dieser in einer Linie auf
der Mitte der Assel stehen, dit Asseln selbst sind ziemlich breit und
hoch. Die Ambulacralfelder trennen sich von den Interambulacralfeldern
durch die etwas vertieften Porenzonen. Diese sind schmal ; die
Porenpaare stehen in sehr schiefen Trippelreihen, und zwar je drei
Paare einen kurzen Bogen um eine ambulacralwarze beschreibend. Auf den
ambulacral-assseln zählt man 17-18 Primärwarzen in der Reihe, welche
sich von jenen der Interambulacralfelder nicht unterscheiden. Auch si
sind nach Innen von je einer aus der übrigen secundären Wärzchen
herausragenden Warze becleitet. Die Unterseite ist fas eban, der Mund
ziemlich gross, schwach, zehnseitig. Der Scheitelapparat ist bei dem
vorliegenden Exemplare ausgefallen.
Es muss
bei dieser Art hervorgehoben werden, dass dieselbe mit einer
europäischen Art Psammachinus monilis Defr. (Vergl. Desor
Synops. p. 121, Tab. XVIII, Fig. 8) viele ähnlichkeiten hat, die hier
in jüngeren Tertiärschichten auftritt ; nach Forbes selbst lebend im
mittelländischen Meere vorkommen soll. Nach verglichenen Exemplaren
liegt der besonders auffallende Unterschied der |
|
beiden Arten
in den beträchtlich verschiedenen Höhen beider, so wie auch darin,
dass bei der australischen Art die ambulacralfelder etwas breiter sind,
und in der vershiedenen Anordung der Porenpaare bei beiden.
Ein
einziges bis auf die ausgefallenen Scheitelplatten sehr gut erhaltenes
Exemplar.
Höhe
16.5 Mm., Durchmesser 22 Mm.
Extrait planche
I
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Ortholophus woodsi
(Laube,1869)
- Miocène
inférieur, Mannum Fm, Ponde, près de Mannum, Australie du Sud, 12 mm |
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